Pélever des cellules souches de la moelle osseuse d'une victime de brûlure par irradiatoin pour les greffer sur ses plaies et lui éviter l'amputation de trois doigts: c'est la première mondiale réalisée par les médecins de l'hopital Percy, à Clamard (Hauts-de-Seine).
habituellement, les autogreffes de peau donnent de mauvais résultats pour ce genre de lésions car la nécrose récidive.
Mais ici, les cellules souches ùésenchymateuses (CSM), injectées en complement de la greffe classique, ont colonisé les tissus lésés. Elles ont permis une reconstruction de la peau, tout en calmant la douleur du malade jusque -là à peine apaisé par la morphine.
Grâce à une méthode de culture totalement innovante, les chercheurs du Centre de transfusion sanguine des armées ont obtenu une quantité suffisante de CSM en seulement 14 jours.
Ces cellules pluripotentes sont également capables de produire un grand nombre de facteurs de croissance.
"C'est probablement ce rôle qui est prépondérant dans la répartition des tissus irradiés", précisent les docteurs Jean-Jacques Lataillade et Christelle Doucet.
Un mois et demi après l'opération, le patient a retrouvé l'usage de sa main, "mais il faudra attendre plusieurs mois pour être certain que le danger de récidive de nécrose soit écarté" M. T.
S et A
habituellement, les autogreffes de peau donnent de mauvais résultats pour ce genre de lésions car la nécrose récidive.
Mais ici, les cellules souches ùésenchymateuses (CSM), injectées en complement de la greffe classique, ont colonisé les tissus lésés. Elles ont permis une reconstruction de la peau, tout en calmant la douleur du malade jusque -là à peine apaisé par la morphine.
Grâce à une méthode de culture totalement innovante, les chercheurs du Centre de transfusion sanguine des armées ont obtenu une quantité suffisante de CSM en seulement 14 jours.
Ces cellules pluripotentes sont également capables de produire un grand nombre de facteurs de croissance.
"C'est probablement ce rôle qui est prépondérant dans la répartition des tissus irradiés", précisent les docteurs Jean-Jacques Lataillade et Christelle Doucet.
Un mois et demi après l'opération, le patient a retrouvé l'usage de sa main, "mais il faudra attendre plusieurs mois pour être certain que le danger de récidive de nécrose soit écarté" M. T.
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