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Par Nazim Fethi à Alger pour Magharebia – 01/10/2013
Les services algériens de sécurité ont tué 190 terroristes depuis le début de l'année, a indiqué le président de la cellule d’assistance judiciaire Merouane Azzi le dimanche 29 septembre à Alger.
Ce chiffre englobe les militants tués dans des opérations menées à proximité des frontières avec le Mali, la Tunisie et la Libye, selon les services de sécurité.
Des dizaines de personnes ont été arrêtées en Algérie en raison de leur appartenance à des groupes terroristes et à des gangs de trafiquants, et seize opérations anti-terroristes ont été recensées dans le pays.
Les forces d'élite de l'armée algérienne ont ainsi réussi à déjouer huit tentatives d'introduction d'armes à travers les frontières avec la Libye et le Mali, tandis que des renforts ont été déployés sur la zone frontalière que partage l'Algérie avec la Tunisie.
Mais c'est al-Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) qui reste au centre des préoccupations des forces de sécurité, en particulier en Kabylie.
Vendredi dernier, les troupes de l'ANP ont éliminé cinq terroristes à Dellys et ont mis la main sur une cache d'armes.
"Cette opération qui intervient suite à des renseignements traduit la détermination et la persévérance de l’ANP à assainir la patrie de ces criminels", a expliqué le ministre de la Défense.
Azzi, président de la cellule d’assistance judiciaire pour l’application des dispositions de la Charte pour la Paix et la Réconciliation nationale, a affirmé que cette campagne algérienne du repentir a porté ses fruits.
Intervenant sur un forum du journal El Moudjahid, Azzi a déclaré que ce sont 15 000 terroristes qui ont déposé les armes grâce à cette mesure.
Azzi a par ailleurs souligné que la lutte antiterroriste n’a jusqu'à présent jamais connu de répit.
Selon Farouk Ksentini, président de la Commission nationale de Promotion et de Protection des Droits de l'Homme, " le nombre de terroristes restés au maquis est estimé entre 300 et 400 individus".
"L’Etat est prêt à les accueillir s'ils venaient à déposer les armes, et à faciliter leur réinsertion", a-t-il ajouté.
Lundi dernier, le Premier ministre Abdelmalek Sellal a considéré que la stabilité dont jouit l’Algérie "dans un contexte difficile" constitue "un acquis important réalisé grâce à la politique de concorde civile puis de réconciliation nationale".
Les groupes terroristes ont du mal, depuis le début de l’année en cours, à commettre des attentats terroristes et se contentent souvent de se cacher, pour échapper aux opérations de ratissages des forces de sécurité.
Le bilan le plus lourd infligé à ces groupes remonte au mois de janvier, lorsque les forces de l'armée ont mis hors d'état de nuire 46 combattants liés aux Signataires par le Sang et à al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), lors de l'opération menée sur le site gazier d'In Amenas.
Les services algériens de sécurité ont tué 190 terroristes depuis le début de l'année, a indiqué le président de la cellule d’assistance judiciaire Merouane Azzi le dimanche 29 septembre à Alger.
Ce chiffre englobe les militants tués dans des opérations menées à proximité des frontières avec le Mali, la Tunisie et la Libye, selon les services de sécurité.
Des dizaines de personnes ont été arrêtées en Algérie en raison de leur appartenance à des groupes terroristes et à des gangs de trafiquants, et seize opérations anti-terroristes ont été recensées dans le pays.
Les forces d'élite de l'armée algérienne ont ainsi réussi à déjouer huit tentatives d'introduction d'armes à travers les frontières avec la Libye et le Mali, tandis que des renforts ont été déployés sur la zone frontalière que partage l'Algérie avec la Tunisie.
Mais c'est al-Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) qui reste au centre des préoccupations des forces de sécurité, en particulier en Kabylie.
Vendredi dernier, les troupes de l'ANP ont éliminé cinq terroristes à Dellys et ont mis la main sur une cache d'armes.
"Cette opération qui intervient suite à des renseignements traduit la détermination et la persévérance de l’ANP à assainir la patrie de ces criminels", a expliqué le ministre de la Défense.
Azzi, président de la cellule d’assistance judiciaire pour l’application des dispositions de la Charte pour la Paix et la Réconciliation nationale, a affirmé que cette campagne algérienne du repentir a porté ses fruits.
Intervenant sur un forum du journal El Moudjahid, Azzi a déclaré que ce sont 15 000 terroristes qui ont déposé les armes grâce à cette mesure.
Azzi a par ailleurs souligné que la lutte antiterroriste n’a jusqu'à présent jamais connu de répit.
Selon Farouk Ksentini, président de la Commission nationale de Promotion et de Protection des Droits de l'Homme, " le nombre de terroristes restés au maquis est estimé entre 300 et 400 individus".
"L’Etat est prêt à les accueillir s'ils venaient à déposer les armes, et à faciliter leur réinsertion", a-t-il ajouté.
Lundi dernier, le Premier ministre Abdelmalek Sellal a considéré que la stabilité dont jouit l’Algérie "dans un contexte difficile" constitue "un acquis important réalisé grâce à la politique de concorde civile puis de réconciliation nationale".
Les groupes terroristes ont du mal, depuis le début de l’année en cours, à commettre des attentats terroristes et se contentent souvent de se cacher, pour échapper aux opérations de ratissages des forces de sécurité.
Le bilan le plus lourd infligé à ces groupes remonte au mois de janvier, lorsque les forces de l'armée ont mis hors d'état de nuire 46 combattants liés aux Signataires par le Sang et à al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), lors de l'opération menée sur le site gazier d'In Amenas.