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Médias défaillants et Bandar : Tuer des enfants syriens pour justifier…une intervention militaire« humanitai

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    Médias défaillants et Bandar : Tuer des enfants syriens pour justifier… une intervention militaire « humanitaire »

    L’étude d’investigation indépendante menée par ISTEAMS[1]*contredit les affirmations du régime d’Obama, ainsi que ses services de renseignement*; par des observations simples des bandes vidéos mises en avant comme «*preuves*» par le régime de Washington ! (Pour lire le rapport en anglais, cliquez ici)

    Le rapport d’ISTEAMS ne nie pas que des armes chimiques aient été utilisées ou que des syriens innocents aient été tués. Ce que l’étude souligne à travers ses observations, qu’il existe des preuves empiriques et logiques que les échantillons de vidéos analysés et présentés par l’agence de renseignement américaine, comme étant des séquences authentiques, sont bien manipulés et trafiqués !

    Cette constatation est importante, car elle réfute les affirmations des représentants d’agence de renseignement américaine que les vidéos qu’ils ont authentifiés, fournissent la preuve de la responsabilité de l’attaque aux armes chimiques ayant eu lieu dans Al-Ghouta orientale, près de Damas, et que ce responsable serait le gouvernement syrien*!

    Beaucoup de faits ne semblent pas raisonnables dans les vidéos présentées par le régime d’Obama. Regardez de vos propres yeux, quelques scènes trafiquées dans ses vidéos :

    *Le même petit garçon en rouge est filmé dans deux quartiers différents*:
    à droite à Joubar, à gauche à Zamalka à 2 km de Joubar*!

    Neuf enfants apparaissent dans des séquences morbides à deux autres quartiers :
    à gauche*à Al-Marj, à droite à Kafar Batna à 4 km de Joubar*!


    Un petit garçon qui apparaît dans deux vidéos différentes
    avec deux scénarios différents
    *
    Les attentats aux gaz chimiques qui ont eu lieu à Damas le 21 août 2013, auraient tué de 100 à 1500 personnes selon les différentes sources de l’opposition, armée et soutenue pas certains pays de l’OTAN et ceux du Golf. Parmi ses conclusions importantes, le rapport d’ISTEAMS note que les victimes qui apparaissent dans les vidéos sont essentiellement des enfants dont plusieurs sont exposés inhumainement dans différentes vidéos et que les mêmes petits enfants auraient été tués en divers endroits*!



    Bien que ce rapport remette sérieusement en question l’affirmation selon laquelle le gouvernement syrien était derrière ces attaques, il n’a pas été couvert par les médias occidentaux*! Défendant sans relâche la liberté d’expression, ces médias à*grande diffusion continuent encore à suivre la ligne impériale en répétant tel un perroquet les allégations de Washington, même dépourvue des preuves en dehors de celles trafiquées…*!

    En outre, une controverse est née concernant les allégations selon lesquelles les rebelles étaient responsables des attaques et que les armes chimiques y utilisés, ont été fournis par le service de renseignement saoudiens. Dale Gavlak, le co-auteur d’un article contenant ces allégations, veut maintenant se dissocier de l’article suite aux menaces qu’elle doit désormais confronter.

    Sa carrière est en péril :

    L’article de MintPress publié le 29 août, à travers des entrevues avec des rebelles, des membres de leurs familles et des villageois d’Al-Ghouta orientale, allègue que des éléments au sein de l’opposition armée étaient responsables de l’attaque, présumée aux armes chimiques du 21 août, et que les obus chimiques avaient été fournis par le chef du service de renseignement saoudien, le prince Bandar bin Soultan*!

    Dale est sous pression croissante pour l’écriture de cet article par des tiers. Elle a informé les éditeurs de MintPress et Mahdi Darius Nazemroaya le 30 et le 31 août par email et par appels téléphoniques, que des tiers mettaient d’immenses pressions sur elle relativement à cet article et la menaçaient de mettre fin à sa carrière. Elle a continué à confirmer qu’elle croit que ces tiers étaient sous la pression du chef du service de renseignement saoudien, le prince Bandar lui-même. C’est-à-dire celui qui est accusé par les villageois d’Al-Ghouta, de fournir les obus chimiques aux rebelles*!

    Le 30 août, Dale a demandé à MintPress de retirer son nom complètement de l’article, car elle a déclaré que sa carrière et sa réputation étaient en danger. Elle a continué à dire que ces tierces personnes lui réclamaient qu’elle se dissocie de l’article ou qu’elle mette fin à sa carrière. Le 31 août, Nazemroaya a informé Dale par courriel qu’il voudrait ajouter une précision sur le fait qu’elle était l’écrivaine et la coordinatrice de l’article et que Yahya ABABNEH était le journaliste sur le terrain, mais sans enlever son nom car cela constituerait une violation à l’éthique du journalisme. (Phil Greaves,Syria: Controversy surrounding MintPress Chemical Weapons Ghouta Report)

    De plus, l’information selon laquelle le service de renseignement saoudien aurait été impliqué dans les attaques chimiques d’Al-Ghouta, a été mentionnée par un responsable de l’ONU qui a souhaité garder l’anonymat :

    Un haut fonctionnaire des Nations Unies qui traite directement avec les affaires syriennes a déclaré à Al-Akhbar que le gouvernement syrien n’a pas été impliqué dans l’attaque, supposée aux armes chimiques d’Al-Ghouta : ” Bien sûr que non, il (le président Bachar Al-Assad) commettrait le suicide ! ”

    Lorsqu’on lui a demandé qui il croyait être responsable de l’utilisation des armes chimiques dans Al-Ghouta, le responsable de l’ONU a déclaré : ” Le service de renseignement saoudien était derrière les attaques et, malheureusement, personne n’osera dire cela*! ” Le fonctionnaire affirme que cette information a été fournie par des rebelles d’Al-Ghouta…

    Les accusations de ce fonctionnaire nous rappellent les déclarations d’une autre personnalité de l’ONU, faites plutôt cette année*: Carla Del Ponte, qui a déclaré en mai dernier à la télévision suisse, suite aux attaques, présumées aux armes chimiques à Khan Al-Assal, Cheik Maqsoud et Saraqeb qu’il y avait « des soupçons concrets et forts mais pas encore la preuve irréfutable » que les rebelles avaient perpétré les attentats. Del Ponte a également observé que les inspecteurs de l’ONU n’avaient vu aucune preuve confirmant que l’armée arabe syrienne avait utilisé des armes chimiques. Elle a ajouté qu’une enquête plus approfondie était nécessaire. (Sharmine Narwani et Radwan Mortada,*Questions Plague UN Syria Report. Who was behind the East Ghouta Chemical Weapons Attack?)

    Tout ce qui précède nous amène à croire que cette attaque chimique commise dans la banlieue orientale de Damas, était l’un des crimes les plus horribles perpétrés*dans l’histoire moderne*: une opération diabolique avec des mises en scènes macabres. Pour sa réalisation, il fallait tuer un nombre conséquent de petits enfants, en produisant et trafiquant des séquences vidéos et des séances photos des mêmes cadavres dans différents endroits et selon différents scénarios, avec un seul objectif sournois*:*fabriquer un prétexte pour une intervention militaire occidentale en Syrie en vertu d’un prétendu mandat humanitaire*!

    Les médias à grande diffusion qui ont occulté les faces dévoilées de ces crimes, portent une lourde responsabilité. Entre autres, Le New York Times a barbouillé les conclusions de Mère Agnès et son équipe, l’accusant de « défendre le régime » et de « jouer la carte chrétienne ». Le NYT rejette négligemment les preuves irréfutables que les vidéos chères au régime d’Obama, sont fausses. Lisez le rapport d’ISTEAMS, puis juger par vous-même.

    Les criminels de guerre qui ont conçu et lancé ces opérations militaires et médiatiques et ces mises en scènes diaboliques doivent faire face à la justice.

    Le comportement des dirigeants occidentaux d’accuser facilement le gouvernement syrien sur des bases douteuses, leurs sanctions qui suivent précipitamment leurs accusations infondées, contre le peuple arabe syrien, l’alignement inconditionnel des médias occidentaux sur ces accusations et les procédures du Conseil de sécurité des Nations Unies qui les accompagnent systématiquement, contre la Syrie, son gouvernement et son peuple courageux et résistant, doivent être suspendues immédiatement !

    Nous invitons nos lecteurs à consulter le rapport ISTEAMS, ainsi que les articles et les productions vidéo suivants. Certains documents sont en anglais, les originaux sont en arabes. Malheureusement, ils ne sont pas encore traduits en français. Pour la paix dans le monde et pour éviter que la folie des hommes irresponsables, nous mène vers une guerre facilement extensible en 3ème*guerre mondiale, veuillez faire le travail inaccompli des médias dits «*grand public ! » mais*défaillants, en partageant et en diffusant ces articles et le rapport ISTREAMS [réf. 3]*!

  • #2
    Tueurs d'enfants, de civils par milliers, l'impérialisme et ses sous-fifres wahabites et israéliens est apparu sous sa nature véritable criminelle, hypocrite, non-crédible et faussaire et ses grands médias : menteurs.

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