Après les fausses promesses de Lénine, les tromperies de Staline. Rappel:
Les trois principales promesses de Lénine n'étaient que ruses et tromperies:
1) Lénine promet la paix… mais il déclenche une guerre civile qui fera 14 millions de morts, plus que la Première Guerre mondiale et la grippe espagnole réunis.
2) Lénine promet le pain et la terre… mais provoque les réquisitions, l'enrôlement forcé dans l'armée rouge et la famine de 1921 (5 millions de victimes).
3) Lénine promet "tout le pouvoir aux soviets"… afin de détruire par la violence le gouvernement Kerenski et l'Assemblée constituante, tous deux légitimes. Ceci fait, les soviets seront soumis par la ruse, puis par la force et le sang (apothéose: mars 1921, Lénine devenu le Versaillais fait liquider le soviet de Kronstadt par l'armée dite des ouvriers et des paysans dont le chef est Trotski ).
Au même moment, le Xe congrès du parti bolchevik consacre le fait que "tout le pouvoir aux soviets" est devenu "tout le pouvoir à Lénine". Le centralisme-démocratique transforme le parti en une armée, comme Troski voulait faire avec la militarisation de la production. La dictature du prolétariat est devenue la dictature sur le prolétariat!
L'ESCLAVAGE DES PAYSANS APRES CELUI DES OUVRIERS AU NOM DE MARX
Camouflée sous une opération contre les koulaks (paysans riches mais servant à désigner tout ennemi du parti communiste), une collectivisation forcée qui réintroduit, en bien pire, le servage pourtant aboli en 1861.
La stratégie établie par Staline est un classique des arnaques à deux étages. D'abord, on mobilise les paysans pauvres et ouvriers agricoles contre des soi disant riches ou soi-disant riches. En effet, qui étaient encore riches en URSS en 1930, si ce n'est les membres supérieurs du parti communiste? Staline n'avait pas de titre de propriété, mais il possédait tout: terres, bâtiments et même les individus! Et les cadres supérieurs du parti et de l'état vivaient, eux, plutôt bien. Les membres du parti-état et de son appareil répressif, le guépéou, forment une nouvelle bourgeoisie avec de nombreux privilèges.
La collectivisation est-elle la première phase nécessaire à la Grande famine de 1932-33?
La fin de la NEP, c'est la fin de certaines libertés de commerce, en particulier pour les paysans qui, de producteurs, deviennent des ouvriers agricoles, la production des kolkhozes étant entièrement gérée par l'état qui l'achète avec des prix très bas, 20 fois moins que ceux de marché. L'introduction du passeport intérieur (1932) et la loi punissant de mort tout vol, fut-ce un épi de blé, enlèvent toutes les libertés. Rappelons qu'un des motifs de la Grande Famine a été de réaliser en 3 ans l'accumulation primitive afin de financer l'industrialisation, accumulation primitive qui a été faite en 3 siècles en Occident. L'autre était de détruire le sentiment national en Ukraine, au Kazakhstan, et dans le Causase, tout en permettant une russification par les paysans russes amenés pour remplacer les morts!
Un document des “Archives de Smolensk”. Mais les questions posées montrent que ces historiens oublient la terreur expliquant l'attitude du paysan qui tient à sauver sa peau et celle de sa famille.
Il n ’y a pas toujours du beurre, du poisson, de la semoule. ... Ejov, commissaire du peuple à l’Intérieur, http://www.college.clionautes.org/IMG/URSS_Staline.pps
Robert Conquest a publié un ouvrage considérable par ces sources sur la dékoulakisation-collectivisation sous le titre de “Sanglantes moissons” suivi de “La Grande terreur”: après la catastrophe de Lénine, une décennie d'horreurs staliniennes.
Chapitre VI, le sort des koulaks
Mais qui étaient les koulaks? une invention du parti (page 79)
Robert Conquest montre que Staline manoeuvre à la fois pour imposer la dékoulakisation-collectivisation tout en éliminant ses opposants comme Zinoviev, Boukharine et autres qui seront fusillés après les 3 Procès de Moscou entre 1936 et 1938. Staline et ses séides, en dépit de l'hostilité des paysans, veulent faire croire que l'élimination des koulaks permettra de susciter l'adhésion de le paysannerie à sa mise en esclavage qu'est la collectivisation.
L'holocauste de 100'000 koulaks, l'exil de leurs familles dont 15 à 20 % meurent lors de la déportation, permettra de faire régner la terreur, car accuser un individu, un fonctionnaire ou même un comité de village ou du parti d'être un koulak, entraîne sa liquidation comme «ennemis du peuple». En tout cas, la base paysanne du parti communiste est quasi nul, et se résume aux seuls fonctionnaires de l'état ou du parti.
Le but de la collectivisation est double: d'abord obtenir gratuitement les céréales, en remplaçant les réquisitions qu'avaient imposés par la terreur Lénine, par un impôt; et de contrôler la paysannerie attachée aux kolkhozes, le passeport intérieur l'empêchant de quitter la campagne pour aller en ville en espérant un emploi un peu mieux payé. Cette dépendance totale des paysans de l'Etat, tout comme celle des ouvriers, permet de tenir les individus, car toute opposition entraîne l'expulsion du kolkhoze ou de l'usine, c'est-à-dire la misère, perte de salaire, de coupons d'alimentation et de logement.
Quant aux soi-disant riches koulaks, les statistiques de leurs biens confisqués lors de leurs arrestations ne comptabilise qu'une ou deux vaches, un cheval et quelques moutons, c'est-à-dire pas grand chose. En tout cas, le revenu des koulaks est bien moindre que celui des fonctionnaires, en particulier des membres de la Guépéou.
Robert Conquest décrit les nombreuses oppositions des paysans à devenir kolkhoziens, résistance qui va jusqu'à l'abattage du bétail et l'incendie de leur maison.
Page 139: “Le 25 janvier 1930, un décret du Comité exécutif central annonça franchement qu'un soviet villageois qui n'entreprendrait pas la collectivisation massive de façon satisfaisante serait considéré en fait comme «un soviet de koulaks». Et, tôt ou tard, on procéderait à son épuration ou au remplacement de ses membres.” L'épuration se faisait par des quotas: un détachement de la Guépéou d'un rayon, d'un oblast ou d'une ville devait arrêter un certain pourcentage de la population qu'elle contrôlait. Pour cela, la Guépéou disposait dès 1924 de listes de «ennemis secrets de la révolution», basées sur la proposition de Peters. Les critères seront ensuite augmentés pour y inclure la famille des «ennemis du peuple»!
Page 140. Vassili Grossman, Juif et principal auteur soviétique à rendre compte de l'holocauste, il établit un rapprochement avec les nazis et les Juifs. Dans son livre (Tout passe), une activiste explique: « A l'époque, je me disais, ce ne sont pas des êtres humains, ce sont des koulaks et plus j'y pense, plus je me demande qui a inventé ce mot: les koulaks. Comme ils ont soufferts, ces gens, comme on les a traités! Pour les tuer, il fallait déclarer: les koulaks ne sont pas des êtres humains. Tout comme les Allemands disaient: les Juifs, ce ne sont pas des êtres humains. C'est ce qu'on dit Lénine et Staline.
La collectivisation forcée provoque la chute drastique de la production agricole
Une propagande totalement trompeuse présente la collectivisation comme un progrès alors que les vrais objectifs étaient d'une part obtenir gratuitement les productions agricoles des paysans et d'autre part, attacher le paysan au kolkhoze, de manière pire que les serfs avant la fin du servage en 1861. Le massacre des koulaks, la déportation de leurs familles, ce génocide de classe permettait d'accuser tout opposant à la collectivisation d'être un suppôt des koulaks, ce qui suffisait à son arrestation. Si l'individu n'était pas exécuté immédiatement, il était exilé dans les camps de travaux forcés où la durée de vie n'excédait pas 3 ans. Conquest rappelle (page 155) que Soljénytsine avait mentionné que 60 à 70 milles déportés avaient été abandonnés sur une île de Vasyugan où tous moururent de faim, comme sur l'île de Nazino décrit par l'ouvrage de Nicolas Werth: “L'île aux cannibales”.
Conquest révèle que, page 203, la production agricole chuta dramatiquement à cause de la collectivisation, mais, et en dépis d'importantes pertes lors des transports, l'Etat était sûr de collecter ce qu'il avait besoin, et tant pis pour les morts de faim. Khrouchtchev admit en septembre 1953 et en février 1954, que l'agriculture mécanisée produisait moins de céréales par habitant et moins de bétail en valeur absolue que le moujik à l'époque tsariste (page 204). Mais, peu importe, l'appareil de propagande clame des récoltes immenses qui n'existent que dans les désirs des dirigeants. Mais présenté comme une victoire dans l'édification du socialisme, les paysans voyaient bien leur situation catastrophique, alors que les sympathisants et les «idiots utiles» pensaient que l'agriculture soviétique était la preuve de la supériorité du socialisme sur le capitalisme, ceci d'autant plus que le crac de Wall Street, en 1929, avait ruinés de nombreux paysans et que des aliments étaient détruits.
Selon les chiffres de la page 239, production céréalière en millions de tonnes:
La récolte de 1931 est réduite au 2/3 de celle de 1930 à cause de la collectivisation. Mais, peu importe la quantité produite, l'Etat accapare la même quantité. Et pour cacher le désastre économique, dès 1930, les statistiques de l'indice des prix et celles démographiques, ne sont plus publiées (page 203).
La propagande alors vante les Stations de tracteurs et de machines agricoles (MTS), en nombre totalement insuffisant et qui coûte cher, puisque elles sont financées par le 20% de la production du kolkhoze.
La suite...
Les trois principales promesses de Lénine n'étaient que ruses et tromperies:
1) Lénine promet la paix… mais il déclenche une guerre civile qui fera 14 millions de morts, plus que la Première Guerre mondiale et la grippe espagnole réunis.
2) Lénine promet le pain et la terre… mais provoque les réquisitions, l'enrôlement forcé dans l'armée rouge et la famine de 1921 (5 millions de victimes).
3) Lénine promet "tout le pouvoir aux soviets"… afin de détruire par la violence le gouvernement Kerenski et l'Assemblée constituante, tous deux légitimes. Ceci fait, les soviets seront soumis par la ruse, puis par la force et le sang (apothéose: mars 1921, Lénine devenu le Versaillais fait liquider le soviet de Kronstadt par l'armée dite des ouvriers et des paysans dont le chef est Trotski ).
Au même moment, le Xe congrès du parti bolchevik consacre le fait que "tout le pouvoir aux soviets" est devenu "tout le pouvoir à Lénine". Le centralisme-démocratique transforme le parti en une armée, comme Troski voulait faire avec la militarisation de la production. La dictature du prolétariat est devenue la dictature sur le prolétariat!
L'ESCLAVAGE DES PAYSANS APRES CELUI DES OUVRIERS AU NOM DE MARX
Camouflée sous une opération contre les koulaks (paysans riches mais servant à désigner tout ennemi du parti communiste), une collectivisation forcée qui réintroduit, en bien pire, le servage pourtant aboli en 1861.
La stratégie établie par Staline est un classique des arnaques à deux étages. D'abord, on mobilise les paysans pauvres et ouvriers agricoles contre des soi disant riches ou soi-disant riches. En effet, qui étaient encore riches en URSS en 1930, si ce n'est les membres supérieurs du parti communiste? Staline n'avait pas de titre de propriété, mais il possédait tout: terres, bâtiments et même les individus! Et les cadres supérieurs du parti et de l'état vivaient, eux, plutôt bien. Les membres du parti-état et de son appareil répressif, le guépéou, forment une nouvelle bourgeoisie avec de nombreux privilèges.
La collectivisation est-elle la première phase nécessaire à la Grande famine de 1932-33?
La fin de la NEP, c'est la fin de certaines libertés de commerce, en particulier pour les paysans qui, de producteurs, deviennent des ouvriers agricoles, la production des kolkhozes étant entièrement gérée par l'état qui l'achète avec des prix très bas, 20 fois moins que ceux de marché. L'introduction du passeport intérieur (1932) et la loi punissant de mort tout vol, fut-ce un épi de blé, enlèvent toutes les libertés. Rappelons qu'un des motifs de la Grande Famine a été de réaliser en 3 ans l'accumulation primitive afin de financer l'industrialisation, accumulation primitive qui a été faite en 3 siècles en Occident. L'autre était de détruire le sentiment national en Ukraine, au Kazakhstan, et dans le Causase, tout en permettant une russification par les paysans russes amenés pour remplacer les morts!
Un document des “Archives de Smolensk”. Mais les questions posées montrent que ces historiens oublient la terreur expliquant l'attitude du paysan qui tient à sauver sa peau et celle de sa famille.
Il n ’y a pas toujours du beurre, du poisson, de la semoule. ... Ejov, commissaire du peuple à l’Intérieur, http://www.college.clionautes.org/IMG/URSS_Staline.pps
Robert Conquest a publié un ouvrage considérable par ces sources sur la dékoulakisation-collectivisation sous le titre de “Sanglantes moissons” suivi de “La Grande terreur”: après la catastrophe de Lénine, une décennie d'horreurs staliniennes.
Chapitre VI, le sort des koulaks
Mais qui étaient les koulaks? une invention du parti (page 79)
Robert Conquest montre que Staline manoeuvre à la fois pour imposer la dékoulakisation-collectivisation tout en éliminant ses opposants comme Zinoviev, Boukharine et autres qui seront fusillés après les 3 Procès de Moscou entre 1936 et 1938. Staline et ses séides, en dépit de l'hostilité des paysans, veulent faire croire que l'élimination des koulaks permettra de susciter l'adhésion de le paysannerie à sa mise en esclavage qu'est la collectivisation.
L'holocauste de 100'000 koulaks, l'exil de leurs familles dont 15 à 20 % meurent lors de la déportation, permettra de faire régner la terreur, car accuser un individu, un fonctionnaire ou même un comité de village ou du parti d'être un koulak, entraîne sa liquidation comme «ennemis du peuple». En tout cas, la base paysanne du parti communiste est quasi nul, et se résume aux seuls fonctionnaires de l'état ou du parti.
Le but de la collectivisation est double: d'abord obtenir gratuitement les céréales, en remplaçant les réquisitions qu'avaient imposés par la terreur Lénine, par un impôt; et de contrôler la paysannerie attachée aux kolkhozes, le passeport intérieur l'empêchant de quitter la campagne pour aller en ville en espérant un emploi un peu mieux payé. Cette dépendance totale des paysans de l'Etat, tout comme celle des ouvriers, permet de tenir les individus, car toute opposition entraîne l'expulsion du kolkhoze ou de l'usine, c'est-à-dire la misère, perte de salaire, de coupons d'alimentation et de logement.
Quant aux soi-disant riches koulaks, les statistiques de leurs biens confisqués lors de leurs arrestations ne comptabilise qu'une ou deux vaches, un cheval et quelques moutons, c'est-à-dire pas grand chose. En tout cas, le revenu des koulaks est bien moindre que celui des fonctionnaires, en particulier des membres de la Guépéou.
Robert Conquest décrit les nombreuses oppositions des paysans à devenir kolkhoziens, résistance qui va jusqu'à l'abattage du bétail et l'incendie de leur maison.
Page 139: “Le 25 janvier 1930, un décret du Comité exécutif central annonça franchement qu'un soviet villageois qui n'entreprendrait pas la collectivisation massive de façon satisfaisante serait considéré en fait comme «un soviet de koulaks». Et, tôt ou tard, on procéderait à son épuration ou au remplacement de ses membres.” L'épuration se faisait par des quotas: un détachement de la Guépéou d'un rayon, d'un oblast ou d'une ville devait arrêter un certain pourcentage de la population qu'elle contrôlait. Pour cela, la Guépéou disposait dès 1924 de listes de «ennemis secrets de la révolution», basées sur la proposition de Peters. Les critères seront ensuite augmentés pour y inclure la famille des «ennemis du peuple»!
Page 140. Vassili Grossman, Juif et principal auteur soviétique à rendre compte de l'holocauste, il établit un rapprochement avec les nazis et les Juifs. Dans son livre (Tout passe), une activiste explique: « A l'époque, je me disais, ce ne sont pas des êtres humains, ce sont des koulaks et plus j'y pense, plus je me demande qui a inventé ce mot: les koulaks. Comme ils ont soufferts, ces gens, comme on les a traités! Pour les tuer, il fallait déclarer: les koulaks ne sont pas des êtres humains. Tout comme les Allemands disaient: les Juifs, ce ne sont pas des êtres humains. C'est ce qu'on dit Lénine et Staline.
La collectivisation forcée provoque la chute drastique de la production agricole
Une propagande totalement trompeuse présente la collectivisation comme un progrès alors que les vrais objectifs étaient d'une part obtenir gratuitement les productions agricoles des paysans et d'autre part, attacher le paysan au kolkhoze, de manière pire que les serfs avant la fin du servage en 1861. Le massacre des koulaks, la déportation de leurs familles, ce génocide de classe permettait d'accuser tout opposant à la collectivisation d'être un suppôt des koulaks, ce qui suffisait à son arrestation. Si l'individu n'était pas exécuté immédiatement, il était exilé dans les camps de travaux forcés où la durée de vie n'excédait pas 3 ans. Conquest rappelle (page 155) que Soljénytsine avait mentionné que 60 à 70 milles déportés avaient été abandonnés sur une île de Vasyugan où tous moururent de faim, comme sur l'île de Nazino décrit par l'ouvrage de Nicolas Werth: “L'île aux cannibales”.
Conquest révèle que, page 203, la production agricole chuta dramatiquement à cause de la collectivisation, mais, et en dépis d'importantes pertes lors des transports, l'Etat était sûr de collecter ce qu'il avait besoin, et tant pis pour les morts de faim. Khrouchtchev admit en septembre 1953 et en février 1954, que l'agriculture mécanisée produisait moins de céréales par habitant et moins de bétail en valeur absolue que le moujik à l'époque tsariste (page 204). Mais, peu importe, l'appareil de propagande clame des récoltes immenses qui n'existent que dans les désirs des dirigeants. Mais présenté comme une victoire dans l'édification du socialisme, les paysans voyaient bien leur situation catastrophique, alors que les sympathisants et les «idiots utiles» pensaient que l'agriculture soviétique était la preuve de la supériorité du socialisme sur le capitalisme, ceci d'autant plus que le crac de Wall Street, en 1929, avait ruinés de nombreux paysans et que des aliments étaient détruits.
Selon les chiffres de la page 239, production céréalière en millions de tonnes:
La récolte de 1931 est réduite au 2/3 de celle de 1930 à cause de la collectivisation. Mais, peu importe la quantité produite, l'Etat accapare la même quantité. Et pour cacher le désastre économique, dès 1930, les statistiques de l'indice des prix et celles démographiques, ne sont plus publiées (page 203).
La propagande alors vante les Stations de tracteurs et de machines agricoles (MTS), en nombre totalement insuffisant et qui coûte cher, puisque elles sont financées par le 20% de la production du kolkhoze.
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