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Algérie : le DRS organisait-il un "coup d’Etat" contre Bouteflika ?

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  • Algérie : le DRS organisait-il un "coup d’Etat" contre Bouteflika ?

    Le Département du Renseignement et de la Sécurité aurait tenté de mettre out le Président algérien, Abdelaziz Bouteflika, alors que ce dernier, malgré son état de santé, pourrait se présenter une quatrième fois à l’élection présidentielle. Analyse.

    Que se passe-t-il au Département du Renseignement et de la Sécurité algérien ? Dans un article paru ce mardi dans le journal électronique Tout sur l’Algérie, on apprend que des officiers supérieurs de ce département auraient tenté de blackbouler le président de la République d’Algérie, Abdelaziz Bouteflika, à l’aide de l’article 88 de la Constitution.

    Voilà plusieurs jours qu’une campagne médiatique interposée fait rage en Algérie. TSA affirme que le journaliste et écrivain Aboud Hichem est à la botte des putschistes présumés. Celui-ci a en effet rédigé plusieurs papiers qui visent à ternir l’image du clan Bouteflika. « Ils ont pris entre autre, comme cheval de bataille, un vieux canasson, Aboud Hichem, qui était un des leurs, et en avant pour un coup d’Etat déguisé ! Comme si l’Algérie était une république bananière », écrit le journal en ligne.

    La restructuration de la DRS

    La restructuration récente de la DRS n’est donc pas anodine. La presse locale a abordé le sujet de manière furtive. Pourtant, celle-ci intervient après que la polémique du « coup d’Etat » par guides d’opinion et presse interposées fut abordée. Et qui dit restructuration, dit problème. Selon des sources bien informées, la décision de restructurer les services de renseignement est en grande partie due à l’attaque terroriste contre le site gazier d’In Amenas. Mais elle est aussi liée aux luttes internes dans les coulisses du pouvoir à l’approche de la Présidentielle 2014.

    L’article 88 en question

    Mais au fait, que dit cet article 88 ? « Lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement, de déclarer l’état d’empêchement ».

    En théorie, l’évincement préparé contre Bouteflika pourrait donc être considéré comme constitutionnel. Il est vrai que les dernières apparitions du Président laissent croire que l’usage de l’article 88 est largement justifié. Ce dernier avait été hospitalisé d’urgence le 27 avril à Paris, à la suite d’un accident vasculaire cérébral et n’était rentré en Algérie que le 16 juillet dernier. Mais coup de théâtre, Bouteflika est sorti de l’ombre ce dimanche 29 septembre, afin de présider le premier Conseil des ministres de l’année 2013. Il n’y en avait pas eu depuis le mois de décembre 2012. Et comme l’indique la Constitution, un Conseil des ministres ne peut se tenir sans le président de la République.

    Le message de Bouteflika

    Cette dernière apparition affaiblie du Président Bouteflika intervient après plusieurs semaines de tergiversation dans la presse. Le Président veut montrer qu’il est encore de la partie, et il l’a fait comprendre à travers son discours au Conseil. « Il nous incombe donc de redoubler d’efforts pour léguer à nos enfants un pays économiquement prospère et résolument tourné vers l’avenir. Cette mission requiert obligatoirement une administration efficace et transparente basée sur un service public moderne et de qualité, débarrassée des nuisances de la bureaucratie. Le citoyen doit pouvoir compter sur l’agent public et lui faire confiance », a confié le Président Bouteflika. Le message est clair, Bouteflika et son clan n’ont pas l’intention de lâcher prise. D’autant plus qu’il a appelé son nouveau gouvernement à prendre d’ores et déjà les mesures et dispositions nécessaires afin d’organiser dans de bonnes conditions la Présidentielle prévue en avril 2014.

    De "retour" dans l’arène politique, Bouteflika a donc tout naturellement éjecté ceux qui auraient fomenté contre lui un présumé coup d’Etat, lorsqu’il était hospitalisé en France. Les enquêtes sur les scandales de corruption lancées par le DRS début 2013 pourraient avoir pesé sur sa décision.
    afrik.com

  • #2
    Hablhoum DRS et BOUTEFLIKA;

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    • #3
      Hablhoum DRS et BOUTEFLIKA;

      nacera90
      Il y a de quoi dans un pays où tout se concocte dans les hautes sphères et en catimini !!

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      • #4
        wallah ya lamrarka ma tahchmou aya barka ma dezou fi dab miyat

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        • #5
          Certains sujets de pays où non seulement le gouvernement n'est pas d'une transparence légendaire, mais qu'un shadow cabinet permet de contrôler l'action de chaque ministre dans une opacité, sorry, transparence remarquable. Il y en a qui devraient se regarder le dos un peu plus souvent, yakhi tmaskhir yakhi...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            LE DRS a decider du nouveau Burger chez MC Do , le DRS a decider de savoir si Bill gates continuait l aventure chez microsoft ..
            La clé de la reussite c est de prevoir ses echecs

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            • #7
              article écrit par un marocain "FOUÂD HARIT" sur afrik, qui a repris quelques analyses d'un chiyate à Boutef sur TSA nommé Ghani Gedoui.

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              • #8
                @Serpico

                la Chaise roulante et Lamamra détraquent les esprits de l Ouest ..
                ça sent la folie ...
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  la Chaise roulante et Lamamra détraquent les esprits de l Ouest ..
                  ça sent la folie
                  vive bouteflika

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                  • #10
                    ça sent trop mauvais à l'ouest tirez la chasse SVP !

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                    • #11
                      [QUOTE]De "retour" dans l’arène politique, Bouteflika a donc tout naturellement éjecté ceux qui auraient fomenté contre lui un présumé coup d’Etat, lorsqu’il était hospitalisé en France. Les enquêtes sur les scandales de corruption lancées par le DRS début 2013 pourraient avoir pesé sur sa décision.[/QUOTE]

                      Ya si Barthez , va faire d'abord sur les topics concernant la situation financiére du Maroc

                      Quant à ce que j'ai souligné en noir, si tu viens pour me frapper , il est normal que je te casse la gueule, .

                      A toi de porter plainte ou tu veux .
                      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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