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Our venir à bout de "plasmodium falciparum",le parasite responsable du paludisme, on peututiliser son appétence pour le fer.
Dix ans de recherche aboutissent à des résultats très encourageants avec la feroquine, une molécule piège mise au point par des chercheurs de l'université des sciences et techniques de Lille, et des homologues Gabonais.
Elles combine en effet du fer, nécessaire au développement du "plasmodium" dans les globules rouges humains, à un antipaludéen classique, la chloroquine.
Les premiers tests menés chez la souris ont montré une inibition de la croissance parasitaire.
Mêmme résultat sur des souches infectieuses d'origine géographique différentes
(Gabon, Sénégal, Cambodge). la molécule est en phase d'essai clinique au Gabon et en cours de développement industriel par Sanofi.
Une piste sérieuse face à un féau qui fait plus de 2 millions de morts chaque année.
Dix ans de recherche aboutissent à des résultats très encourageants avec la feroquine, une molécule piège mise au point par des chercheurs de l'université des sciences et techniques de Lille, et des homologues Gabonais.
Elles combine en effet du fer, nécessaire au développement du "plasmodium" dans les globules rouges humains, à un antipaludéen classique, la chloroquine.
Les premiers tests menés chez la souris ont montré une inibition de la croissance parasitaire.
Mêmme résultat sur des souches infectieuses d'origine géographique différentes
(Gabon, Sénégal, Cambodge). la molécule est en phase d'essai clinique au Gabon et en cours de développement industriel par Sanofi.
Une piste sérieuse face à un féau qui fait plus de 2 millions de morts chaque année.