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Surplus de polycliniques

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  • Surplus de polycliniques

    Un surplus de polyclinique existe en Algérie.
    Avec un RUCH de citoyens en quète de soins.
    UN surplus dans le corps medical , créer plus ou moins une destabilisation du systeme .
    Tout prés de ces infrastructures les médecins privés chaument ,au vrai sens du terme,et ont de sérieux problèmes pour payer les charges et impots.

    Dans le sécteur Publique il ya eu partout des Augmentations de salaires.

    Le privé est coincé, et est désarmé aussi car aucun syndicat ne risque de demander de réduire les Impots,et d éffacer les dettes.
    Les spécialistes n ont rien a craindre ,de cette crise du niveau de vie , au contraire de leur collégues les généralistes .

    l orientation de la santé est en manque d immagination et d éfficacité.
    La preuve en est qu une simple vitamine K reste introuvable .Tans pis pour les hémorroides et les gencives qui saignent.

    Nous vivons un socialisme pour cértaines branches de disciplines seulement.
    Pour les sérvices des impots le privé est considéré comme mércantile et non sociale.


    Dernière modification par good, 04 octobre 2013, 23h42.
    Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

  • #2
    La preuve en est qu une simple vitamine K reste introuvable .Tans pis pour les hémorroides et les gencives qui saignent.
    la vitamine K n'agit que dans des saignements pathologiques et chez les malades qui prennent des...anti vitamine K
    le saignement des gencives chez un sujet sain ne nécessite qu'un tamponnement
    les hémorroïdes qui saignent après les selles n'ont rien de dramatique. Les toubibs préconisent une alimentation adaptée et d'autres petits traitements autre que la vitamine K et passent la main au besoin au proctologue ou au chirurgien.

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    • #3
      Le grand nombre de polyclinique cause du tort aux médecins généralistes privés et risquent de nuire aux spécialistes d'état qui y travaillent. Ces derniers mènent actuellement une campagne contre l'arrêté signé par un responsable de ZIARI juste avant le départ de celui-ci et qui fait des polycliniques des structures CHU. Les établissements seront à l'avenir confié en priorité aux hospitalo-universitaires qui encombrent les hôpitaux universitaires en tant que seconds, sans chefferie de service. Leur nouvelle responsabilité ira de paire avec une augmentation conséquence de salaire et les primes afférentes.

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      • #4
        je n'y connais rien , mais d'après ce que je vois, c'est que dans les coins reculés, les généralistes travaillent bien , surtt qu'on ils acquièrent une réputation, le hic c'est que les généralistes ne sont pas prix au sérieux à juste titre parfois,

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        • #5
          citation


          les hémorroïdes qui saignent après les selles n'ont rien de dramatique. Les toubibs préconisent une alimentation adaptée et d'autres petits traitements autre que la vitamine K et passent la main au besoin au proctologue ou au chirurgien.

          @khore
          salam

          En ce qui concerne le traitement des hémorroïdes je conseille a tout le monde un reméde de grand mére il s'agit de faire bouillir les plures de grenades et boire le jus pendant quelques jours matin et soir .La guérison est pratiquement de 100 %.Wa chifâ bi yadi allah.

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          • #6
            DIEU Tout Puissant et Miséricordieux nous met en garde contre " EL JAHL" ou ignorance... et aussi le savoir bridé ...un peu plus grave ....

            Une population sans vitamine K a part les saignements qu elle peut avoir ,risque aussi la effet automatique l anémie et l épuisement du corps -surtout lors des micro hémorragies non visibles a l oeil nue- et avec le temps génèrent l anèmie la leucémie le cancer l ostéopathie ,les troubles cellulaires et organiques divérs.

            oUI la vitammine k existe dans les légumes et aliments- comme les pelures de grenades par exemple doivent aussi en contenir mais la quantité n est pas connue, et des produits vasoconstricteur ou antihemorragiques -tanins- , et souvent nos repas et modes de vie ne suffisent pas a combler ce manque.

            les conséquences seront et sont GRAVES.

            LA medecine bridée même avec un corps médical ,perd de son éfficacité et crédibilité par la preuve du terrain.
            Dernière modification par good, 05 octobre 2013, 10h17.
            Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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            • #7
              La corporation des médecins généralistes libéraux est depuis quelques années l’objet d’une cascade de décisions et de mesures ayant considérablement rétréci son champs d’action.


              Après avoir été durant plusieurs années un acteur clé dans le système de santé, le médecin généraliste assiste aujourd’hui, impuissant, à la dégradation continue de ses conditions de travail et à la dévalorisation de son métier jadis noble et respecté. Ce diagnostic émane d’un collectif de médecins généralistes libéraux exerçant dans la wilaya de Tizi Ouzou. «Tous les professionnels de la santé, responsables et spécialistes à tous les niveaux, reconnaissent volontiers l’importance de la médecine générale et la place du médecin généraliste dans notre système de santé. Malheureusement sur le terrain, la réalité est toute autre», déplorent ces praticiens du secteur privé.

              Et d’ajouter : «Désorganisés et enfermés dans une activité quotidienne qui les éloigne de la scène publique, les médecins généralistes sont depuis quelques années la cible d’une cascade de décisions et de mesures réductrices ayant considérablement rétréci leur champs d’action, altéré leur image de marque auprès de leurs patients et dégradé leur statut social».

              Pour étayer leur constat, ils citent des exemples. «En 2006, réagissant à un drame survenu lors d’une campagne de circoncision collective organisée à El Khroub et au cours de laquelle plusieurs enfants ont été victimes de graves complications dont nous ignorons malheureusement à ce jour les causes et les circonstances exactes de survenue, les autorités sanitaires, sous l’effet de l’ampleur du drame n’ont pas trouvé mieux que de nous adresser une circulaire nous interdisant la pratique de la circoncision mettant ainsi un terme à une incontestable longue et précieuse expérience dans la pratique de cet acte pour lequel le généraliste était autrefois couramment sollicité.».Autre blocage : l’exigence de certaines administrations faite aux médecins de faire porter la mention «médecin assermenté» sur leurs documents, notion pourtant aujourd’hui révolu de par le monde, précise-t-on.

              En outre, ce collectif dénonce l’obligation faite aux malades démunis porteurs de maladies chroniques, pourtant régulièrement suivis par leurs médecins traitants, de fournir des certificats médicaux délivrés par un spécialiste. «Faut-il donc uniquement avoir recours au spécialiste pour attester qu’un malade est diabétique ou hypertendu ?», s’interrogent les médecins contestataires. «A des malades âgés souffrant d’affections multi viscérales et habitants des zones rurales éloignées, un parcours du combattant est imposé, les obligeant à faire le tour de tous les confrères spécialistes impliqués dans leur prise en charge pour se faire délivrer des certificats d’incapacité, une tache que tout médecin traitant pourrait normalement accomplir et ainsi épargner à ces patients ce parcours laborieux», estiment-ils.

              Sur un autre plan, ils relèvent : «Par ses contours et son contenu, le conventionnement que nous propose la C NAS et dont nous déplorons le caractère unilatéral sans concertation aucune nous parait aussi réducteur que la limitation des prescriptions qui nous sont imposées par le fait qu’il n’intègre que le souci et la volonté de ses auteurs de préserver les équilibres financiers de la seule caisse de sécurité sociale et ignore l’important et le vaste rôle du médecin traitant dans l’offre de soins».

              Selon ce collectif, les médecins déjà installés éprouvent une forte lassitude au point où le déclin de l’activité conjuguée aux différentes charges liées à la gestion du cabinet, incite plus à la réintégration du secteur public qui offre sécurité de l’emploi et meilleurs revenus. «Nous sommes persuadés que tout objectif alliant, préservation des équilibres financiers des caisses de sécurité sociales et performance du système de santé ne passe pas par la banalisation de la médecine générale, ce même objectif dépendra essentiellement de la place qui sera réservée à la médecine de proximité au centre de laquelle se trouve le médecin traitant ; le médecin de famille et/ou médecin-référent qui , grâce à la place qu’il occupe dans le parcours sanitaire de chaque patient est le seul à pouvoir coordonner l’action efficiente des confrères spécialistes ( cliniciens, chirurgiens, radiologues et biologistes ) impliqués dans la prise en charge des patients de plus en plus nombreux à souffrir d’affections chroniques multi viscérales, invalidantes et par conséquent coûteuses».

              S’agissant de la formation continue, les enseignements post universitaires dispensés actuellement par les laboratoires pharmaceutiques sont loin de répondre aux objectifs de formation et d’accès aux progrès de la médecine des professionnels par le fait qu’ils sont sélectifs ne concernant que certains domaines limités aux objectifs promotionnels de ces mêmes laboratoires, inaccessibles à un bon nombres de confrères exerçant en périphérie, et surtout non obligatoires donc non généralisés, a-t-on indiqué.

              «Nous n’avons pas la prétention de dresser un état des lieux complet et détaillé de la médecine de proximité et de la situation du médecin généraliste, il s’agit à notre sens d’attirer l’attention des décideurs sur les dangers qui guettent notre corporation et les conséquences des déserts médicaux et de la banalisation de la médecine générale sur la qualité de l’offre de soins de proximité. Va-t-on vers la disparition du cabinet de généraliste ?», conclut le collectif de médecins généralistes libéraux de Tizi Ouzou.

              Ahcène Tahraoui
              voici un article d el watan du 05/10/2013 qui confirme
              et qui ne dit pas tout.

              Les medecins libéraux généralistes sont consdérés comme des commérçants par les sérvices des iMPOTS ET PROCEDENT A DES SUR EVALUATIONS REGULIEREMENT NON JUSTIFIEES JUSTE POUR MONTRER DU MUSCLE ET NE PAS DELIVRER LE FAMEUX EXTRAIT DE ROLE , bloquer LES MISES A JOUR A LA CNAS AUTOMATIQUEMENT ... DONC CREACTIONS DE PROBLEMES DE TOUS GENRE A AU MOINS UNE PARTIE DES MEDECINS GENERALISTES QUI ONT UNE PETITE FRANGE DE LA PPOPULATION A SUIVRE ET A SOIGNER.:22:
              Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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              • #8
                Les medecins libéraux généralistes sont consdérés comme des commérçants par les sérvices des iMPOTS ET PROCEDENT A DES SUR EVALUATIONS REGULIEREMENT NON JUSTIFIEES JUSTE POUR MONTRER DU MUSCLE ET NE PAS DELIVRER LE FAMEUX EXTRAIT DE ROLE , bloquer LES MISES A JOUR A LA CNAS
                Désolé GOOD !

                Mais je ne suis point d'accord avec toi !

                Car il n'y a pas que tes amis les médecins qui subissent.

                C'est toutes les professions libérales sont à la merci de nos services fiscaux, et ont tous droits aux évaluations régulières dont leur importances dépendent de la tête du client.

                Et qui est ce qui détermine la tête du client ?

                la montant chippa, pardis !

                Et, arrête de t'attaquer aux surplus de polycliniques !

                Car le surplus de cliniques privées, n'ont parlons même pas !
                Dernière modification par absent, 05 octobre 2013, 11h02.

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                • #9
                  la différence ,car elle éxiste ;
                  - Publique - TOUT EST A LA CHARGE DU MINISTERE DONC DU PAYS ENTIER
                  - Libéral - TOUTES LES CHARGES INCOMBENT A LA PERSONNE MENTIONNEE SUR DECRET D INSTALLATION = medecin de la fonction libérale.

                  ( chercher et trouver le local -chacun sa chance sur le situation géographique-
                  payer le loyer + les charges eau+éléctricité+ gaz s il ya+ telephone+ internet +imprimante +PC+ autres logiciels + entretien du local+ personnel et aide medicaux + gardes et permanences a éfféctuer+ MISE A JOUR DES DONNEES MEDICALES EN CONTINU ( car un retard de 6 mois en médecine dans la sphère Sud équivaut à un retard de 5 ans de la sphérne Nord °°°)
                  La famille , les enfants ,...comme tout le monde.
                  LA gratuité et ou réduction des tarifs ,des soins dans 30% DES CONSULTATIONS
                  car la medecine libérale pratique AUSSI LA GRATUITE DES SOINS.

                  ALORS POURQUOI PLUS DE POLYCLINIQUES QUI EQUIVALENT DES PATIENTS LIMITES EN MEDECINE LIBERALE .
                  Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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                  • #10
                    Une vision simple socioéconomique ressort de cette discussion:


                    << LES POLYCLIQUES ouvértes et disponibles POUR LES PERSONNES SANS TRAVAIL , et les catégories sociales <<

                    C EST tout a fait le contraire qui est en train de se produire:

                    actuellement LA MEDECINE PUBLIQUE PROFITE AUX PERSONNES RICHES ET NON NECECITEUSES car comme vous l aviez remarqué LA TETE DU PATIENT COMPTE BEAUCOUP POUR LE PUBLIQUE .

                    LE privé pense à résoudre les problèmes de la géstion de son cabinet D OU LA TETE DU PATIENT NE TIENT PAS LA ROUTE EN GENERAL DANS LE LIBERAL.
                    Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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                    • #11
                      C'est toutes les professions libérales sont à la merci de nos services fiscaux, et ont tous droits aux évaluations régulières dont leur importances dépendent de la tête du client.
                      Ouais!
                      C'est sans doute pour ça que nous sommes le seul et unique pays du monde où le montant des impôts sur salaire est largement supérieur à l'impôt sur les PME/PMI, fonction libérale, secteur agricole...etc.
                      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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                      • #12
                        le gouvernement pense garder la stabilité du budget de manière trés aventageuse sur le prélèvement des impots diréctes ,indirectes ,les bénéfices( *) et dans ce cas Feu Ouyahia a éscroqué tous les citoyens en leur imposant un 20% sur les bénéfices ( ALORS QUE 70% DES LIBERAUX N ONT PAS DE BENEFICES REELLEMENT ) ( CAR ILS N ONT JAMAIS COMPTés LE TAUX D INFLATION OFFICIEL D environ 7% PAR AN - MAIS EN Réalité il est de 700% par AN et pour preuves il n y a qu a voir le prix d un appartement social délivré en 1980 au cityen a quel prix et en 2013 quel est le cout du m2 d un terrain??
                        INCROYABLE !!!!!*
                        DONC il n ya pas de bénéfices pour les libéraux DONT LE CHIFFRE D AFFAIRE EST INFERIEUR A 50 MILLIONS CENTIMES/ ANS.


                        honnetement c est de l éscroquerie.
                        Ce VAMPIRE D OUYAHIA N HESITE PAS DE BERNER LE < PETIT< CITOYEN< et de FAVORISER LES PLUS RICHES -

                        car 20% POUR LES MULTIMILLIONNAIRES ET MILLIARDAIRES NE VONT PAS LES PAYER AU TRESOR - ILS VONT DIRECTEMENT dans les poches des controleurs et inspécteurs des impots ....QUI ACCORDENT EN PLUS DES PRETS SUR MESURE DES BANQUES NATIONALES --- BIEN SUR RIEN NE SERA VISIBLE ...
                        Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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