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Le développement des zones oasiennes et de l’arganeraie se fera sur la base d’une approche intégrée et participative impliquant toutes les forces vives et prenant en considération l’ensemble des stratégies sectorielles mises en œuvre au niveau du Royaume, ainsi que les grandes mutations institutionnelles opérées ou en cours, notamment le projet de régionalisation avancée, a expliqué le ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch, dans un exposé présenté devant le Roi Mohammed VI à l’occasion du lancement de cette stratégie à Errachidia.
Le plan de développement de ces zones adoptera un système de suivi et un régime contractuel invitant tous les départements ministériels concernés à passer des contrats avec les régions et provinces afin de fixer les besoins au niveau local et faire des zones oasiennes et de l’arganeraie, des espaces compétitifs offrant de meilleures conditions de vie, tout en donnant une importance particulière à la préservation des ressources hydriques.
Pour atteindre ces objectifs, il a été procédé à l’élaboration de 45 programmes concrétisés en séries de projets mobilisant une enveloppe de 92 milliards DH.
Il s’agit aussi des programmes en cours de réalisation d’un montant de 84 milliards DH financé par les départements ministériels. L’Agence nationale pour le développement des zones oasiennes et de l’arganier mobilisera 8 milliard DH à l’horizon 2020.
Le développement de ces zones qui prend en compte les potentiels de chaque région, comporte un volet économique qui vise des objectifs ambitieux à l’horizon 2020 pour créer davantage de poste d’emploi, et améliorer des revenus de la population en milieu urbain et rural.
Dans ce sens, il est prévu de créer 160.000 postes d’emploi fixes soit une hausse de 12 pc alors que le PIB des zones oasiennes et de l’arganeraie passera à 150 pc (de 80 à 200 milliards DH).
Le revenu individuel va augmenter de 143 pc ce qui contribuera largement à l’amélioration des conditions de vie de la population locale.
Pour concrétiser ces ambitions, 14 programmes ont été élaborés, portant notamment sur la valorisation des potentialités agricoles (81 projets/20 milliards DH), la valorisation des atouts culturels et naturels (46 projets /2 milliards DH) et l’exploitation optimale des ressources minières (3 projets et 10 programme/240 millions DH).
La stratégie comporte aussi un volet social qui concerne le renforcement des services de base dédiés à la population.
Il s’agit aussi de la qualification de l’élément humain (18 programmes et 42 projets/ 39 milliards DH).
Le plan de développement des zones oasiennes et de l’arganeraie prévoit un volet environnemental qui porte essentiellement sur la protection des ressources (13 programmes) à travers la sensibilisation de la population sur l’importance des forets, la préservation des ressources hydriques et de la diversité écologique, la lutte contre la désertification et la requalification de 200 hectares de forêts, notamment l’arganier
LEMAG
Le plan de développement de ces zones adoptera un système de suivi et un régime contractuel invitant tous les départements ministériels concernés à passer des contrats avec les régions et provinces afin de fixer les besoins au niveau local et faire des zones oasiennes et de l’arganeraie, des espaces compétitifs offrant de meilleures conditions de vie, tout en donnant une importance particulière à la préservation des ressources hydriques.
Pour atteindre ces objectifs, il a été procédé à l’élaboration de 45 programmes concrétisés en séries de projets mobilisant une enveloppe de 92 milliards DH.
Il s’agit aussi des programmes en cours de réalisation d’un montant de 84 milliards DH financé par les départements ministériels. L’Agence nationale pour le développement des zones oasiennes et de l’arganier mobilisera 8 milliard DH à l’horizon 2020.
Le développement de ces zones qui prend en compte les potentiels de chaque région, comporte un volet économique qui vise des objectifs ambitieux à l’horizon 2020 pour créer davantage de poste d’emploi, et améliorer des revenus de la population en milieu urbain et rural.
Dans ce sens, il est prévu de créer 160.000 postes d’emploi fixes soit une hausse de 12 pc alors que le PIB des zones oasiennes et de l’arganeraie passera à 150 pc (de 80 à 200 milliards DH).
Le revenu individuel va augmenter de 143 pc ce qui contribuera largement à l’amélioration des conditions de vie de la population locale.
Pour concrétiser ces ambitions, 14 programmes ont été élaborés, portant notamment sur la valorisation des potentialités agricoles (81 projets/20 milliards DH), la valorisation des atouts culturels et naturels (46 projets /2 milliards DH) et l’exploitation optimale des ressources minières (3 projets et 10 programme/240 millions DH).
La stratégie comporte aussi un volet social qui concerne le renforcement des services de base dédiés à la population.
Il s’agit aussi de la qualification de l’élément humain (18 programmes et 42 projets/ 39 milliards DH).
Le plan de développement des zones oasiennes et de l’arganeraie prévoit un volet environnemental qui porte essentiellement sur la protection des ressources (13 programmes) à travers la sensibilisation de la population sur l’importance des forets, la préservation des ressources hydriques et de la diversité écologique, la lutte contre la désertification et la requalification de 200 hectares de forêts, notamment l’arganier
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