Par Le Matin
Mais que veulent donc, enfin, les Tsar et Tsarévitch Bouteflika ? Ils veulent le beurre, l’argent du beurre, la vache, la fermière et sa fille avec les applaudissements nourris du peuple ravi !
Par Mohamed Abassa
Sans avoir lâché la célèbre formule du monarque capétien qu’il fait sienne maintenant, "l’Etat c’est moi", Bouteflika veut s’offrir la vitrine d’un roi régnant à la Louis XIV. Sauf qu’il manque de tout pour y ressembler un tout petit peu. L’un est instruit, cultivé, roi de naissance, fils de roi et de reine, l’autre est presque inculte, suffisant, roturier aventurier, fils de roturiers et auteur d’impostures diverses et variées qui l’ont porté au pouvoir. L’un a construit et enrichi son pays de naissance, la France, l’autre a détruit, pillé et appauvri l’Algérie, son pays d’adoption qui lui a tout donné. L’un, par sa maladie, a grandi et immortalisé la Grande-Bretagne en lui offrant, par son cul infecté et le génie de Mme Brinon, son hymne national "God save the King". Quand on est grand roi c’est aussi par son cul malade et infecté que peut sortir la grandeur. A contrario, quand on est escroc et dictateur, c’est par la bouche présidentielle d’un pouvoir usurpé que peuvent sortir des rivières fécales de mensonges et de tromperies.
Bouteflika, lui, par ses maladies répétitives et récurrentes, par ses mensonges et fausses promesses a rétrogradé l’Algérie aux toutes dernières places dans tous les critères et classements des performances universelles. Nous sommes devenus les derniers partout et en tout. Sauf en corruption où la bande des Bouteflika caracole en première place des régimes les plus corrompus du monde. Oui, les plus corrompus, les plus corruptibles et les plus corrupteurs au monde. Ces plongées dans les vomissures de la honte, nous les devons aussi aux talons de la génisse Khalida et aux prouesses ventrales d’un drabki, grand brouteur de dinars, paillard et pillard avec la tribu régnante, fraîchement promu propriétaire exclusif d’un bien sacré qui appartient à tous les Algériens ; le FLN. Cette association de malfaiteurs, mangeurs insatiables de l’Algérie, organisée dans la stricte logique de la camorra napolitaine vient de renvoyer l’Etat algérien aux abysses du ridicule et, maintenant, à la pitrerie télévisée de mauvais cirque. Nous sommes devenus la risée du monde.
Que retiendra-t-on enfin du règne loufoque du Bokassa algérien sans manteau d’hermine et sans culotte royale ? Rien. Strictement rien sauf des bouffonneries de fin de règne aussi stupides que suicidaires. L’illusion de régner et de commander en bande organisée ! On ne retiendra même pas sa plus grande mosquée d’Afrique achetée rubis sur ongle aux Chinois. Ni son autoroute Est/Ouest achetée aussi aux mêmes fournisseurs chinois et qui aura coûté deux fois plus cher que les coûts moyens internationaux. Elle se dégrade déjà et s’abîme de partout avant même d’avoir servi. Pendant que des milliers d’Algériens se meurent chaque jour davantage dans des mouroirs insalubres appelés hôpitaux. Etablissements hautement dégradés et sous-équipés qu’eux-mêmes et leurs protégés ne fréquentent jamais. Le Val-de-Grâce et les Invalides sont bien mieux pour leurs délicates et supérieures santés. La clique et le clan des Bouteflika, suralimentés, traite leurs hémorroïdes dans les cliniques suisses, françaises, irlandaises et belges pendant que les grands cancéreux du peuple meurent sans recours, sans secours et sans médicaments dans les hôpitaux sinistrés du bled.
Pendant que d’autres pestiférés qui présentent le seul défaut d’être dépourvus de tout, se meurent aussi à leur façon, en se nourrissant chaque jour dans les poubelles des quartiers chics. Pendant que d’autres se jettent encore à la mer pour fuir cette Algérie polluée des Bouteflika régnant à la réplique dégradée des Borgia ou des Médicis. C’est le seul bilan connu de la gouvernance Bouteflikienne ; un océan de dénis, de faillites et de passe- droits. En moins de dix ans, les villes algériennes sont devenues, une à une, les plus tristes et les plus sales du monde. Habitées de rats, de SDF, de malfrats et d’immondices diverses.
Malgré tous ces tableaux noirs, le président algérien se dit et proteste, en privé, qu’il est et reste éligible à un prix Nobel. Quel culot ! Quelle audace ! Mais, au fond, peut-être bien que oui, peut-être a-t-il raison ? Oui, il est bien éligible à un prix Nobel ; pas seulement à un seul mais à quatre grands prix Nobel :
1. Prix des forfaitures et hautes trahisons (je le démontrerai plus loin)
2. Prix de la ruse, du mensonge et de la tromperie érigés et organisés en système de gouvernance.
3. Prix des violations répétées de la Constitution et des droits de l’Homme,
4. Prix de la haute corruption et détournements multiples des deniers publics !
Avec de telles casseroles aussi sales que bruyantes, l’homme malade et impotent aspire, revendique et prépare, encore une fois, avec les mêmes ruses et les mêmes tromperies, un 4e mandat. Apprécions l’audace et le culot de celui qui n’a plus rien à perdre à part sa tête ! S’il y parvient, il nous faudra nous résoudre à croire que dans notre bien aimée Algérie, il n’y a ni peuple debout, ni Hommes de cœur et d’honneur, ni partis politiques propres, ni société civile, ni armée intègre et patriote, ni simple morale de vie. Nous serions dès lors de simples tubes digestifs, des Ghâchis unis par le ventre, laissant faire et gouverner une bande d’aventuriers se jouant à sa guise du devenir de tout une nation.
Echouant dans sa fol aventure, forcément donc, le monarque stagiaire algérien connaîtra une fin de règne nauséabonde, puant de partout, à l’exacte conséquence finale de tous les règnes mafieux. Louis XIV a été enterré dans la dignité et l’immortalité de Versailles. Bouteflika, lui aussi, mourant, sûrement en Suisse, sera honoré comme certains de ses généraux assassins dont la mort aura fait allonger les squelettes et fabriqué sur leurs corps éteints, des CV et des héroïsmes factices qu’ils n’ont jamais mérités. De vulgaires tueurs à gages, sans remords, gangrénés et pourris par l’argent et l’instinct du paraître. Dans ces grandioses et ridicules oraisons funèbres, on aura surtout oublié de rappeler que ces généraux bandits, voyous flingueurs qu’ils étaient tous ou presque; de lâches tueurs et rien d’autre, aucune morale, des amoraux, comme aimait à le rappeler souvent Mohamed Benchicou, des tueurs de grands hommes, tueurs de vrais patriotes aimant leur pays dont: Abane, Amirouche, Haoues, Lotfi, Krim, Khider, Kaïd, Medeghri, Mecili, Kasdi, Boudiaf, Belkaïd et de tant et tant d’autres authentiques patriotes dont le seul défaut était de s’opposer au pillage et à l’humiliation de l’Algérie. Ce sont ces voyous qui nous gouvernent encore qui les ont tués. Oui, ils les ont tués. Ils se pavanent toujours d’être les héritiers exclusifs de cette Algérie meurtrie et par eux pillée et souillée.
A mort l’Algérie, je suis bien plus important !
Actuellement, Bouteflika, malade, amoindri, éteint et sans aucune capacité de compréhension mentale des catastrophes économiques, sociales et humanitaires qui s’abattent sur l’Algérie, semble dire aux Algériens : Ma santé est plus importante que celle de l’Algérie ; mon pyjama et les vases des Invalides sont bien plus importants que votre drapeau »
Ce faisant et agissant ainsi, les comportements actuels du clan présidentiel régnant, le tsar invalide Abdelaziz et son héritier impérial, le Tsarévitch Saïd, me remontent le souvenir précis d’un écolier pied noir qui faisait tous les jours caca sur lui et qui ne voulait plus quitter son banc, même durant les récréations ou à la sortie des classes. De peur qu’on découvrit son drame. Le pauvre enfant voulait cacher ce que tout le monde savait par l’odeur et les mouches qui polluaient l’environnement de notre classe et de toute l’école. Il croyait être le seul à connaitre la merde sur laquelle il était assis. C’est exactement ce qui arrive maintenant au sieur Bouteflika et au frère héritier, le Tsarévitch Saïd, qui croient, tous seuls, que le peuple algérien ne sent pas les montagnes de merdes sur lesquelles ils sont assis ; englués et embourbés jusqu’aux oreilles.
Alors un scoop : Toute l’Algérie sait pourquoi ils veulent se maintenir à tout prix au pouvoir même au prix d’un ridicule jamais vu à la télévision ; une pitrerie horrible que les Algériens ne supportent pas, ne supportent plus ; du mépris à leur endroit ; signé, le Tsarévitch Saïd, ordonnant, nommant et décrétant à sa guise à la place et endroit du Tsar. Une de Raspoutine moins l’envergure. Tout le monde sait pourquoi le clan régnant ne veut pas aérer les placards glauques et faisandés de la République ; 50 ans de crimes, d’assassinats, de cadavres et des tas d’autres vilaines choses à cacher. Il y aussi et surtout les toutes dernières raisons supplémentaires de rester absolument au pouvoir ; à n’importe quel prix :
Mais que veulent donc, enfin, les Tsar et Tsarévitch Bouteflika ? Ils veulent le beurre, l’argent du beurre, la vache, la fermière et sa fille avec les applaudissements nourris du peuple ravi !
Par Mohamed Abassa
Sans avoir lâché la célèbre formule du monarque capétien qu’il fait sienne maintenant, "l’Etat c’est moi", Bouteflika veut s’offrir la vitrine d’un roi régnant à la Louis XIV. Sauf qu’il manque de tout pour y ressembler un tout petit peu. L’un est instruit, cultivé, roi de naissance, fils de roi et de reine, l’autre est presque inculte, suffisant, roturier aventurier, fils de roturiers et auteur d’impostures diverses et variées qui l’ont porté au pouvoir. L’un a construit et enrichi son pays de naissance, la France, l’autre a détruit, pillé et appauvri l’Algérie, son pays d’adoption qui lui a tout donné. L’un, par sa maladie, a grandi et immortalisé la Grande-Bretagne en lui offrant, par son cul infecté et le génie de Mme Brinon, son hymne national "God save the King". Quand on est grand roi c’est aussi par son cul malade et infecté que peut sortir la grandeur. A contrario, quand on est escroc et dictateur, c’est par la bouche présidentielle d’un pouvoir usurpé que peuvent sortir des rivières fécales de mensonges et de tromperies.
Bouteflika, lui, par ses maladies répétitives et récurrentes, par ses mensonges et fausses promesses a rétrogradé l’Algérie aux toutes dernières places dans tous les critères et classements des performances universelles. Nous sommes devenus les derniers partout et en tout. Sauf en corruption où la bande des Bouteflika caracole en première place des régimes les plus corrompus du monde. Oui, les plus corrompus, les plus corruptibles et les plus corrupteurs au monde. Ces plongées dans les vomissures de la honte, nous les devons aussi aux talons de la génisse Khalida et aux prouesses ventrales d’un drabki, grand brouteur de dinars, paillard et pillard avec la tribu régnante, fraîchement promu propriétaire exclusif d’un bien sacré qui appartient à tous les Algériens ; le FLN. Cette association de malfaiteurs, mangeurs insatiables de l’Algérie, organisée dans la stricte logique de la camorra napolitaine vient de renvoyer l’Etat algérien aux abysses du ridicule et, maintenant, à la pitrerie télévisée de mauvais cirque. Nous sommes devenus la risée du monde.
Que retiendra-t-on enfin du règne loufoque du Bokassa algérien sans manteau d’hermine et sans culotte royale ? Rien. Strictement rien sauf des bouffonneries de fin de règne aussi stupides que suicidaires. L’illusion de régner et de commander en bande organisée ! On ne retiendra même pas sa plus grande mosquée d’Afrique achetée rubis sur ongle aux Chinois. Ni son autoroute Est/Ouest achetée aussi aux mêmes fournisseurs chinois et qui aura coûté deux fois plus cher que les coûts moyens internationaux. Elle se dégrade déjà et s’abîme de partout avant même d’avoir servi. Pendant que des milliers d’Algériens se meurent chaque jour davantage dans des mouroirs insalubres appelés hôpitaux. Etablissements hautement dégradés et sous-équipés qu’eux-mêmes et leurs protégés ne fréquentent jamais. Le Val-de-Grâce et les Invalides sont bien mieux pour leurs délicates et supérieures santés. La clique et le clan des Bouteflika, suralimentés, traite leurs hémorroïdes dans les cliniques suisses, françaises, irlandaises et belges pendant que les grands cancéreux du peuple meurent sans recours, sans secours et sans médicaments dans les hôpitaux sinistrés du bled.
Pendant que d’autres pestiférés qui présentent le seul défaut d’être dépourvus de tout, se meurent aussi à leur façon, en se nourrissant chaque jour dans les poubelles des quartiers chics. Pendant que d’autres se jettent encore à la mer pour fuir cette Algérie polluée des Bouteflika régnant à la réplique dégradée des Borgia ou des Médicis. C’est le seul bilan connu de la gouvernance Bouteflikienne ; un océan de dénis, de faillites et de passe- droits. En moins de dix ans, les villes algériennes sont devenues, une à une, les plus tristes et les plus sales du monde. Habitées de rats, de SDF, de malfrats et d’immondices diverses.
Malgré tous ces tableaux noirs, le président algérien se dit et proteste, en privé, qu’il est et reste éligible à un prix Nobel. Quel culot ! Quelle audace ! Mais, au fond, peut-être bien que oui, peut-être a-t-il raison ? Oui, il est bien éligible à un prix Nobel ; pas seulement à un seul mais à quatre grands prix Nobel :
1. Prix des forfaitures et hautes trahisons (je le démontrerai plus loin)
2. Prix de la ruse, du mensonge et de la tromperie érigés et organisés en système de gouvernance.
3. Prix des violations répétées de la Constitution et des droits de l’Homme,
4. Prix de la haute corruption et détournements multiples des deniers publics !
Avec de telles casseroles aussi sales que bruyantes, l’homme malade et impotent aspire, revendique et prépare, encore une fois, avec les mêmes ruses et les mêmes tromperies, un 4e mandat. Apprécions l’audace et le culot de celui qui n’a plus rien à perdre à part sa tête ! S’il y parvient, il nous faudra nous résoudre à croire que dans notre bien aimée Algérie, il n’y a ni peuple debout, ni Hommes de cœur et d’honneur, ni partis politiques propres, ni société civile, ni armée intègre et patriote, ni simple morale de vie. Nous serions dès lors de simples tubes digestifs, des Ghâchis unis par le ventre, laissant faire et gouverner une bande d’aventuriers se jouant à sa guise du devenir de tout une nation.
Echouant dans sa fol aventure, forcément donc, le monarque stagiaire algérien connaîtra une fin de règne nauséabonde, puant de partout, à l’exacte conséquence finale de tous les règnes mafieux. Louis XIV a été enterré dans la dignité et l’immortalité de Versailles. Bouteflika, lui aussi, mourant, sûrement en Suisse, sera honoré comme certains de ses généraux assassins dont la mort aura fait allonger les squelettes et fabriqué sur leurs corps éteints, des CV et des héroïsmes factices qu’ils n’ont jamais mérités. De vulgaires tueurs à gages, sans remords, gangrénés et pourris par l’argent et l’instinct du paraître. Dans ces grandioses et ridicules oraisons funèbres, on aura surtout oublié de rappeler que ces généraux bandits, voyous flingueurs qu’ils étaient tous ou presque; de lâches tueurs et rien d’autre, aucune morale, des amoraux, comme aimait à le rappeler souvent Mohamed Benchicou, des tueurs de grands hommes, tueurs de vrais patriotes aimant leur pays dont: Abane, Amirouche, Haoues, Lotfi, Krim, Khider, Kaïd, Medeghri, Mecili, Kasdi, Boudiaf, Belkaïd et de tant et tant d’autres authentiques patriotes dont le seul défaut était de s’opposer au pillage et à l’humiliation de l’Algérie. Ce sont ces voyous qui nous gouvernent encore qui les ont tués. Oui, ils les ont tués. Ils se pavanent toujours d’être les héritiers exclusifs de cette Algérie meurtrie et par eux pillée et souillée.
A mort l’Algérie, je suis bien plus important !
Actuellement, Bouteflika, malade, amoindri, éteint et sans aucune capacité de compréhension mentale des catastrophes économiques, sociales et humanitaires qui s’abattent sur l’Algérie, semble dire aux Algériens : Ma santé est plus importante que celle de l’Algérie ; mon pyjama et les vases des Invalides sont bien plus importants que votre drapeau »
Ce faisant et agissant ainsi, les comportements actuels du clan présidentiel régnant, le tsar invalide Abdelaziz et son héritier impérial, le Tsarévitch Saïd, me remontent le souvenir précis d’un écolier pied noir qui faisait tous les jours caca sur lui et qui ne voulait plus quitter son banc, même durant les récréations ou à la sortie des classes. De peur qu’on découvrit son drame. Le pauvre enfant voulait cacher ce que tout le monde savait par l’odeur et les mouches qui polluaient l’environnement de notre classe et de toute l’école. Il croyait être le seul à connaitre la merde sur laquelle il était assis. C’est exactement ce qui arrive maintenant au sieur Bouteflika et au frère héritier, le Tsarévitch Saïd, qui croient, tous seuls, que le peuple algérien ne sent pas les montagnes de merdes sur lesquelles ils sont assis ; englués et embourbés jusqu’aux oreilles.
Alors un scoop : Toute l’Algérie sait pourquoi ils veulent se maintenir à tout prix au pouvoir même au prix d’un ridicule jamais vu à la télévision ; une pitrerie horrible que les Algériens ne supportent pas, ne supportent plus ; du mépris à leur endroit ; signé, le Tsarévitch Saïd, ordonnant, nommant et décrétant à sa guise à la place et endroit du Tsar. Une de Raspoutine moins l’envergure. Tout le monde sait pourquoi le clan régnant ne veut pas aérer les placards glauques et faisandés de la République ; 50 ans de crimes, d’assassinats, de cadavres et des tas d’autres vilaines choses à cacher. Il y aussi et surtout les toutes dernières raisons supplémentaires de rester absolument au pouvoir ; à n’importe quel prix :
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