Annonce

Réduire
Aucune annonce.

LE FRÈRE DU PRÉSIDENT CHADLI FAIT ÉCLATER SA COLÈRE "Mon frère n'a pas été poussé à la démission!"

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • LE FRÈRE DU PRÉSIDENT CHADLI FAIT ÉCLATER SA COLÈRE "Mon frère n'a pas été poussé à la démission!"

    LE FRÈRE DU PRÉSIDENT CHADLI FAIT ÉCLATER SA COLÈRE
    "Mon frère n'a pas été poussé à la démission!"

    Par Salim AGGAR
    L'expression - Lundi 07 Octobre 2013


    Chadli n'a pas été poussé à la sortie comme certains médias voulaient le faire croire, mais il a simplement démissionné de son propre chef de son poste de président.
    «Le président Chadli qui a été accusé de tous les maux quand il a démissionné, a fait quatre erreurs dans son parcours: il a écarté Kasdi Merbah de la SM, libéré Ben Bella, autorisé l'opposition et supprimé l'autorisation de sortie», a déclaré ironiquement, hier, le frère de l'ancien président Khelifa Bendjedid, les larmes aux yeux, saluant la mémoire de Chadli Bendjedid, à l'occasion d'une cérémonie organisée par le mouvement Machaâl Ec Chahid commémorant une année après, sa disparition, le 6 octobre 2012.
    Le frère de l'ancien président a tenu surtout à préciser que le président Chadli n'a pas été poussé à la sortie comme certains médias voulaient le faire croire, mais il a simplement démissionné de son propre chef de son poste de président.
    «J'étais à Oran, mon frère Chadli m'appelle et me demande de venir en urgence à Alger car il avait une chose importante à m'annoncer. C'était mon frère, le colonel Malek Bendjedid qui m'a attendu à l'aéroport et quand j'ai rencontré mon frère Chadli, il me dit: 'Je voulais te voir pour t'annoncer que je vais démissionner de mon poste de président ce mercredi. Je voulais te le dire avant que tu le saches à travers la télévision'', a révélé Khelifa Bendjedid, devant une assistance très nombreuse composée d'anciens ministres, de militaires, de personnalités politiques et surtout d'amis et d'anciens membres des gouvernements Chadli, venus assister à cette commémoration au palais de la Culture. Le frère de Chadli, qui avait du mal à soutenir son émotion, a tenu à rétablir la vérité sur les dessous de la démission du président Chadli. Il a déclaré aussi: «Le président qui était à l'époque très affecté par les événements qui ont secoué l'Algérie, devait présenter sa démission le mercredi 8 janvier, mais les militaires lui ont demandé de ne rendre publique sa démission que le jeudi 9 janvier, afin qu'ils se préparent à toute réaction du peuple. Le président Chadli leur a dit: 'Je vous donne jusqu'à samedi 11 janvier, pas une heure de plus.''» Cette vérité se veut comme un témoignage vivant de ce qui s'est passé ce jour là et qui démontre que le président Chadli n'a pas été poussé à la sortie par les militaires, comme on veut le faire croire, a tenu à déclarer Khelifa Bendjedid, qui a été très déçu par la campagne de dénigrement contre son frère après sa démission. «Même les juifs n'auraient pas fait avec les Arabes ce que certains Algériens ont fait avec mon frère», avant d'ajouter dans une colère passionnée: «Chadli est devenu après sa mort, le père de la démocratie. Je le dis haut et fort, les lions resteront des lions et les chiens demeureront des chiens», avant d'ajouter: «Si mon frère ne s'est pas exprimé durant plus de 20 ans c'était pour ne pas jeter de l'huile sur le feu.»
    Dans un témoignage offert durant cette cérémonie en hommage à Chadli, le journaliste Saâd Okba, a révélé également l'existence d'un projet de renversement contre le président Chadli. Ce dernier qui était dans l'avion du président lors d'un voyage officiel pour un sommet à Caracas en 1991 avait remis un rapport sur cette affaire au directeur de cabinet, le général Noureddine Ben Kortbi. «Mais visiblement» poursuit le journaliste, le document n'est jamais parvenu au président Chadli et j'ai interrogé à ma descente d'avion sur cette affaire. Cette cérémonie de commémoration à la mémoire de Chadli a été également marquée par les témoignages des amis du président Chadli, comme le général Hocine Maâlem et de la première femme ministre du gouvernement sous Chadli, Zhor Ounissi. Enfin, les présents ont assisté à la diffusion d'un reportage de 11 minutes produit par la Télévision nationale sur le parcours du président Chadli où on a montré des images inédites de l'ancien président en chef militaire au maquis durant la révolution, mais aussi des images inédites sur le débat qu'animait Chadli avec les membres du comité central du FLN et surtout son célèbre discours du 6 octobre 1988, où il avait ému et percé le coeur des Algériens.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    De toute façon, pour la mémoire des algériens, Chadli Bendjedid restera toujours un homme du clan de Tlemcen, un membre du jury préfabriqué pour faire condamner à mort, à tort, le plus jeune colonel de l'Algérie indépendante ( affaire chaâbani )

    P.

    Commentaire


    • #3
      Nouvelle théorie, en ces temps à la mode, mais enfin, faut pas abuser...
      Othmane BENZAGHOU

      Commentaire


      • #4
        @ott:
        Pour les adeptes de la théorie du complot à ton image, vous ne serrez jamais convaincu, n’empêche son frère confirme ce qu'a relaté Nezzar dans ses mémoires au mot près.

        Commentaire


        • #5
          Je parle de la théorie de Pangeen, Eliamine, toujours avec tes interprétations et conclusions douteuses...
          Othmane BENZAGHOU

          Commentaire


          • #6
            et les milliards que le petit frangin a detourne a setif sous la benediction du grand frere il compte les rendre quand

            ou la justice attend quoi pour le coffrer
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

            Commentaire


            • #7
              De toute façon, pour la mémoire des algériens, Chadli Bendjedid restera toujours un homme du clan de Tlemcen, un membre du jury préfabriqué pour faire condamner à mort, à tort, le plus jeune colonel de l'Algérie indépendante
              C'est bien le contraire il est le seul a avoir refuser de condamner le colonnel à mort.
              شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

              Commentaire


              • #8
                «Le président Chadli qui a été accusé de tous les maux quand il a démissionné, a fait quatre erreurs dans son parcours
                Seulement 4 erreurs???

                «Chadli est devenu après sa mort, le père de la démocratie.
                Et tu la vois où cette démocratie dans l'Algeristan que nous a légué ton frère ya mahboul..??

                Je le dis haut et fort, les lions resteront des lions et les chiens demeureront des chiens»,
                Et un Rasse lokromb restera un rasse lokromb!

                «Si mon frère ne s'est pas exprimé durant plus de 20 ans c'était pour ne pas jeter de l'huile sur le feu.»
                Faux!

                C'est soit il n'avait rien à dire ( comme toujours) soit il n'avait pas assez de courage...

                où on a montré des images inédites de l'ancien président en chef militaire au maquis durant la révolution
                C'était quoi ses hauts faits d'armes?? planqué es-frontière??

                Enfin, n'est pas GIAP qui veut...

                Cette cérémonie de commémoration à la mémoire de Chadli a été également marquée par les témoignages des amis du président Chadli, comme le général Hocine Maâlem et de la première femme ministre du gouvernement sous Chadli, Zhor Ounissi.
                Le frangin ne nous dit pas si le Drabki était de la partie...
                Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

                Commentaire


                • #9
                  Envoyé par ott
                  Nouvelle théorie, en ces temps à la mode, mais enfin, faut pas abuser...
                  Tu as dégainé plus vite que ton ombre; pourtant j'avais mis en lien le site consacré au colonnel Chaâbani qui relate les déclarations de Chadli dans le quotidien liberté du 04 décembre 2008. Tu constateras par toi même que Chadli reconnait lui même avoir fait parti de ceux qui avaient condamné à mort Chaâbani.

                  Voici l'extrait dans lequel il relate cet épisode mais si tu veux lire l'intégralité de l'interview, tu n'as qu'à cliquer sur le lien suivant : lien


                  ...
                  Le procès de Châabani
                  C’est moi qui ai fait avorter la rébellion de Châabani lorsque j’étais commandant de la Ve Région militaire. J’ai ensuite constitué un tribunal révolutionnaire pour le juger. Boumediene m’a contacté pour me dire : “Le président Ben Bella m’a désigné membre de ce tribunal au côté de Saïd Abid et de Abderrahmane Bensalem.” Boumediene a ajouté : “Le Président vous demande de le condamner à mort, et si tu ne me crois pas, contacte le Président dès que tu arrives à Alger et il te dira la même chose.” J’ai cru Boumediene, car il n’avait pas l’habitude de me mentir. Je voudrais, ici, rectifier de fausses informations qui ont été publiées sous forme de témoignages dans la presse nationale selon lesquelles Ahmed Benchérif, Ahmed Draia et Ahmed Abdelghani étaient membres de ce tribunal, ce qui est faux.
                  Le tribunal a été constitué par les officiers cités ci-dessus et il fut présidé par un juge civil d’Alger, nommé Zertal. Nous sommes allés à Oran où Châabani était emprisonné avec un autre groupe de prisonniers politiques à la prison de Sidi El-Houari, dont Mohamed Khobzi, Mohamed Djeghaba, Hocine Sassi, Tahar Lâadjal, Saïd Abadou, Ahmed Taleb El-Ibrahimi et d’autres opposants à Ben Bella.
                  Le procès n’a pas duré longtemps. Après délibération, Châabani fut condamné à mort pour tentative de rébellion contre le pouvoir et d’incitation à la zizanie au sein de l’armée. Après le prononcé du verdict, nos regards se sont croisés, et j’ai été saisi par un sentiment selon lequel aucun d’entre nous n’était convaincu de cette lourde sentence. C’est pourquoi nous avons demandé à Châabani d’introduire une demande de grâce auprès du président Ben Bella. Il nous a dit, l’air abattu : “Demandez-le, vous, en mon nom.”
                  Nous avons chargé Saïd Abid, en tant que commandant de la 1re Région, de le faire et de prendre attache avec Ben Bella. Mais Ben Bella a non seulement refusé catégoriquement notre requête, mais a insisté pour l’application de la sentence telle que décidée par le tribunal, considérant que le verdict ne pouvait donner lieu à un pourvoi en appel. Lorsque Saïd Abid nous en a informés, je lui ai dit : “Demande la grâce en notre nom, nous les officiers, et dis au Président que Châabani est un moudjahid et un compagnon d’armes. Tu nous as ordonné de le condamner à mort. Nous l’avons fait. Et nous croyons qu’il ne le mérite pas. Il te demande à présent de commuer sa peine de mort en peine de prison.”
                  Lorsque Saïd Abid l’a contacté de nouveau, Ben Bella lui a répondu nerveusement : “Je vous ai dit exécutez-le cette nuit.” Il a insulté Saïd Abid et a même insulté sa mère, et lui a dit : “Je t’interdis de me contacter une autre fois”, et il a raccroché. Le 3 septembre, Châabani fut exécuté à l’aube dans une forêt près de Canastel, en présence des membres du tribunal. Des membres de la Gendarmerie nationale ont également assisté à l’exécution. Il y avait une forte présence de la Gendarmerie nationale. J’ai compris alors qu’ils craignaient qu’on le fasse sortir avant l’exécution. Après l’exécution, ils ont mis son cadavre dans un cercueil et a été enterré dans un endroit inconnu.
                  On m’a dit, par la suite, que Ben Bella s’apprêtait le lendemain à partir au Caire et lorsqu’il a lu dans les journaux l’annonce de l’exécution de Châabani, il s’est écrié : “Dommage ! comment ils ont exécuté un jeune officier comme Châabani ?”
                  ...
                  P.

                  Commentaire


                  • #10
                    Ce n'est pas ce que je conteste, car il n'y a aucun phénomène de mode sur l'affaire Chaabani, c'est plutôt de parler du "clan de Tlemcen". Le pouvoir qui s'est installé en 62 était composé de plusieurs fractions du mouvement révolutionnaire, y compris des chefs de wilayas historiques, du GPRA et même de la fédération de France...
                    Othmane BENZAGHOU

                    Commentaire


                    • #11
                      Son frère (Allah yarhmou 3la kouli hal) était une ma3za.
                      Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha

                      Commentaire


                      • #12
                        Un president,dans une democratie,qui demisionne doit au moins faire un discours AU PEUPLE avant de partir.
                        My will is strong,it's my won't that is weak.

                        Commentaire


                        • #13
                          Chadli Bendjedid restera toujours un homme du clan de Tlemcen,
                          y'a pas de clan de Tlemcen ni Bejaia ni de chawi..
                          Tlemcen est une petite ville qui est devenue misérable.
                          elle a perdu le soulier elle perdu le tissu..
                          Tlemcen est un amas de Ruel et de commerce plein
                          de made in Spain et Turquie...

                          les gens ne font différence entre l'extrême ouest de l'Algérie
                          frontière marocaine et Tlemcen. Avant la guerre de libération
                          le trafique inter frontalier entre le Maroc sous protectorat et l'Algérie
                          sous administration existait déja. la régions de Nedroma de Maghnia a l'ouest et frontières tunisiennes était plein de gens hammala
                          ''des Porteurs''.de différents marchandise le grand trafique ..lorsque la révolution a éclaté ils ont changer de trafique de drogue vers les armes..ils ont prie le Titre de moudjahidine et ensuite installé parmi le FLN et le ALN .Les gros commerçants installé de part les frontières Est et Ouest les utilisés comme Moyens de transport..
                          C'est c'est gens là qui pullulent dans les administrations et les ministères..
                          Y'a aucun tlemcenien ni bejaouite ni autre...
                          Eux les ''porteurs'' pour se prévaloir devant les algériens ils font tourner leurs langue pour se Montrer Tlemcenien bejaouite chaoui Algerois etc..


                          Mais ils sont vieux maintenant et ils avaient un très grand rôle dans le bouleversement politique de l'Algérie car ils avaient toujours la peur au ventre si jamais la France libère les archives..mais la France je ne pense pas qu'elle a ce genre d'archive..la majorité étaient installé hors frontières donc ils sont connue plutôt par la monarchie marocaine et la république Tunisienne bien que il faut revenir un peux en arrière pour voir que la frontière Est étaient sous contrôle des Egyptiens..c'est pourquoi le Maroc et l’Egypte chacun avait voulu imposé ses éléments. Le clan Egyptiens et le clan marocain et derrière eux aussi il ya le clan Judéo chrétiens..Enfin de compte le clan judéo chrétiens avait plusieurs bras....
                          il ya un bras Satanique que personne n'a fait analyse..
                          il y a deux Vishnu un avec une tête judéo chrétienne et l'autre une tête satanique
                          Je crois que l’influence Marocaine et Egyptienne est terminée. Vue la situation actuelle le pouvoir ou le nouveau pouvoir ou la Nouvelle République Algérienne va par la liquidation des gens de l’Est et de L’Ouest pour effacer toute trace de mémoires.
                          Chacun doit retourner vers sa régions pour mourir et les parties politiques seront plutôt ‘’atypique’’…Ils vont enlever la drogue d’entre les mains des marocains pour terminer avec le trafique générateur de banditisme et de déstabilisation. Même si vous laisser les frontières sans Douane personne n’ira au Maroc…a part si les gens exploite le jeu de la fiscalité Pour échanger les produits afin de faire de petits bénéfices...le future president sera choisi un inconnu un neuf qui n'a jamais exister..
                          De nouvelle gueulles pour une nouvelle republique

                          .

                          Commentaire


                          • #14
                            les judéo chretiens et arabe gros commerçants activant dans les frontières lorsqu'ils parlent des gens des frontières ils citent toujours ce verset

                            8. Et les chevaux, les mulets et les ânes, pour que vous les montiez, et pour l'apparat. Et Il crée ce que vous ne savez pas.

                            tout le mode sait la malice de ces gens la..ils ont prie un ane et un mulet ils lui coller une cravate et un costume et une jupe et ils ont monté dessus de 1927 jusuq'a 2013..l'ane est devenue vieux...ou ils doivent ramener de petit anons ou ils doivent fermés les écuries...et attaché l'ane dehors

                            Commentaire


                            • #15
                              Envoyé par ott
                              Ce n'est pas ce que je conteste, car il n'y a aucun phénomène de mode sur l'affaire Chaabani, c'est plutôt de parler du "clan de Tlemcen". Le pouvoir qui s'est installé en 62 était composé de plusieurs fractions du mouvement révolutionnaire, y compris des chefs de wilayas historiques, du GPRA et même de la fédération de France...
                              Tu ne peux tout de même pas nier le fait que le groupe qui avait pris de force le pouvoir en 1962 avait fait de Tlemcen son Q.G avant de rallier Alger ?

                              Pour le reste, on sait que le clan de Tlemcen est composé du groupe d'Oudjda auquel s'étaient joint d'autres despotes.

                              P.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X