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Métamorphose.....

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  • Métamorphose.....

    ..........
    Dernière modification par Nuit_Bleue, 25 novembre 2013, 11h12.
    " Regarde le ciel c'est marqué dedans , toi et moi. Il suffit de regarder les étoiles et tu comprendra notre destinée "♥ღ♥
    M/SR

  • #2
    Tres beau Nuits_bleu ... Merci!

    Il était temps comme il l'a dit...
    Je revêt un nouvel habit..un nouvel esprit..
    Je renais de mes cendres, je refais une nouvelle vie..
    Je serais ce que je ne suis pas , pour ces furies..

    الخيل والليل والبيداء تعرفني....والسيف والرمح والقرطاس والقلم

    إذا رايـــت نيوب الليــث بارزة **** فلا تظنـــن ان الليــث يبتســم


    Dernière modification par epoh, 08 octobre 2013, 03h16.

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    • #3
      J'aime beaucoup, Nuits bleue, c'est profond

      Je serais ce que je ne suis pas , pour ces furies..
      Je resterais ce que je suis pour toi mon Ami...
      La vie m'a appris de ne jamais soucier de ces furies,
      sois toi même sans avoir à te métamorphoser,
      tu ne seras que plus sereine,
      les autres, ce ne sont que des passants, inconnus, que tu ne prêteras attention,
      te métamorphiser, c'est emprisonner ton âme,
      dévies ces courants d'air et voles libre le cœur léger ,
      montre tes couleurs à ton ami et peut être les autres suivront,
      sinon tant pis.

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      • #4
        Bonjour SRB

        Il avait raison, piège insensé...
        Aurai-je dû me taire....
        Oublier mes désirs éphémères ...
        Etre séparé de vous, c'est mon enfer, ma blessure, mon trépas.
        Etre avec vous, c' est mon paradis, mon allégresse, ma vie.
        Que vaut ma vie sans votre amour ?
        Votre consentement me fait revivre et remplit mes soirées de liesse.
        Votre consentement est mon pèlerinage, mon jeûne et ma prière.

        Ma patience est anéantie, le fardeau de l'amour s'appesantit sur moi.
        La séparation a mobilisé ses bataillons et ses lances ;
        le prince de la rupture a campé avec sa puissante armée,
        ordonnant de me tourmenter matin et soir

        Ô mon Dieu, aie pitié de moi, toi le Généreux ;
        mon exil, qui a trop duré, ravive mes blessures.
        Séparé de mes amis, des larmes coulent sans cesse de mes yeux.

        Le destin fut cruel en dispersant le cercle d'amis.
        C'est la nature du destin de s'accomplir, dut-il prendre un long délai.
        Quémandant humblement aux seuils des maisons,
        les larmes aux yeux, j'attends la promesse de mon préféré.
        Ils n'eurent un mot ni pour me congédier, ni pour me répondre.
        Aux yeux des amants, mon cœur était dans l'impasse.

        Hier tout semblait un délire...
        Aujourd'hui il ne reste que des soupirs..
        Aucun sultan n'a vu durer ses instants de bien-être.
        En notre époque, personne n'est assuré d'un bonheur durable.
        Il en va de même pour moi, la séparation m'a laissé désemparé.
        Face aux épées de l'amour, je livre un combat à mains nues.
        L'exil et la mort ne sont pas la règle [ dans la vie] .
        Quand l'ange m'interrogera, je lui conterai l'histoire de ma séparation.
        Je n'ai plus la patience d'attendre l'absente; je suis angoissé.


        Extraits du Qcid la separation de Cheikh Bensmail

        Tout ne s’arrête pas, faut continuer..
        Continuer d'avancer, sans le souvenir..
        Ô mon coeur, rappelle-toi tout le passé;
        D’autres l'ont connu, mais sans comprendre ce qui nous est arrivé.
        Je partageais loyalement l'angoisse de mon ami
        et m'efforçais sans faille de lutter contre le mal.
        Mon secret, divulgué, a fait la joie de mes censeurs, devenant pour eux sujet de commérages.
        Sagacité et expérience m'obligent à dire avec insistance
        aux poètes inspirés : " En l'amitié il ne faut plus croire ! "

        Seule perdure la sagesse de qui étudie la morale des Anciens, sans laquelle l'homme sorti de son sommeil se réveille démuni, en plein désert.
        Hormis ma solitude, ô mon coeur,quel ami me reste-t-il ?
        Le traître qui ourdit se soucie peu de (partager) un repas.

        Les bienfaits rejaillissent toujours sur les généreux qui les prodiguent.
        J'ai labouré une terre stérile sans rien récolter ;
        vain fut mon labeur, mais je me dis : << Dieu compensera cette perte. >>
        J'ai tout enduré en silence.
        Que d'années passées en compagnie de mon ami qui, à présent, s'éloigne de moi avec dédain !

        On lui jeta un sort pour l'éloigner de moi :
        un envoûteur lui destina des formules maléfiques pourle plonger dans la peine.
        S'il m'avait consulté, je l'aurais soigné, j'aurais détruit le maléfice et annulé ses effets.
        Puisqu'ils'est fourvoyé, laissons-le aller à la dérive, le regard perdu, comme une embarcation sans voile, emportée par les vagues d'une mer déchaînée dans la fureur des vents.

        Captif de cet océan en furie, il est tombé dans cette mer dont il ne sait comment sortir.
        C'est son diable qui l'abusa et le relégua aux confins;
        Il s'est retrouvé sans ami, sans compagnon, sans goût de vivre.
        Que possède-l-il celui qui n'a ni ami ni soutien ?
        Il n'a rien à perdre, il ne connaîtra pas de détérioration, puisqu'il est dépourvu de tout; il sera privé de respect, de gloire et de dignité.
        Celui qui noue amitié avec un homme ou une femme s'expose à l'infortune.

        Extraits du Qcid "Sagesse ne perdure." Mohammed Ben Ali Ould Errzine
        The Sea is Woman, the Sea is Wonder, her other name is Fate!

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        • #5
          Bonjour Nuits_bleu

          Voici la traduction des deux lignes de peome de Al Moutanabi :

          Les chevaux, la nuit et le desert savent tous qui je suis ... Aussi bien que l'épee, l'arc, la plume et l'encrier

          Si tu vois les dents du lion surgir ... Ne crois pas que le lion te sourit.


          Voici un autre de ces poemes :

          Les hommes sont à la dimension de leurs actes
          C'est à la mesure de leur grandeur que leurs actes sont grands!
          Aux yeux des petits, les petites choses sont immenses;
          pour les grandes âmes, les grandes choses sont petites!
          Seul et partout sans ami.Quand l'objet que l'on cherche est sublime,qui peut aider à l'atteindre?
          Les désirs des âmes sont trop petits pour mériter que,pour eux,l'on s'entretue et s'épuise.
          Pour le pieux,mieux vaut affronter la mort au sombre visage que le mépris.
          Si l'on pouvait vivre à jamais, quel sens y aurait-il au courage
          Et puisqu'il faut que l'homme meurt,qu'au moins ce ne soit pas en lâche!


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          • #6
            Hello S.....

            La métamorphose d’une chenille en jolie papillon
            Pourquoi un tel regret bien au contraire ….
            La vie se compose de multitudes de parcours
            Là tu as passé le cap ….

            Alors avec ton nouvel habit et gentil esprit
            Tu refais peau neuve, et oublier les erreurs du passé


            Voila un bel écris comme a l’accoutumé
            Merci de cette narration et de ce sublime partage

            M.G…..

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            • #7
              La Nature à l’Homme ...

              Dans tout l'enivrement d'un orgueil sans mesure,

              Éblouides lueurs de ton esprit borné,

              Homme, tu m'as crié : « Repose-toi, Nature !

              Ton œuvre est close : je suis né ! »


              Quoi !


              lorsqu'elle a l'espace et le temps devant elle,

              Quand la matière est là sous son doigt créateur,

              Elle s'arrêterait, l'ouvrière immortelle,

              Dans l'ivresse de son labeur?


              Et c'est toi qui serais mes limites dernières ?

              L'atome humain pourrait entraver mon essor ?

              C 'est à cet abrégé de toutes les misères

              Qu 'aurait tendu mon long effort ?


              Non , tu n'es pas mon but, non, tu n'es pas ma borne

              A te franchir déjà je songe en te créant ;

              Je ne viens pas du fond de l'éternité morne.

              Pour n'aboutir qu'à ton néant.


              Ne me vois-tu donc pas, sans fatigue et sans trêve,

              Remplir l'immensité des œuvres de mes mains ?

              Vers un terme inconnu, mon espoir et mon rêve,

              M 'élancer par mille chemins,


              Appelant , tour à tour patiente ou pressée,

              Et jusqu'en mes écarts poursuivant mon dessein,

              A la forme, à la vie et même à la pensée

              La matière éparse en mon sein ?


              J 'aspire ! C'est mon cri, fatal, irrésistible.

              Pour créer l'univers je n'eus qu'à le jeter ;

              L 'atome s'en émut dans sa sphère invisible,

              L 'astre se mit à graviter.


              L'éternel mouvement n'est que l'élan des choses

              Vers l'idéal sacré qu'entrevoit mon désir ;

              Dans le cours ascendant de mes métamorphoses

              Je le poursuis sans le saisir ;


              Je le demande aux cieux, à l'onde, à l'air fluide,

              Aux éléments confus, aux soleils éclatants ;

              S 'il m'échappe ou résiste à mon étreinte avide,

              Je le prendrai des mains du Temps.


              Quand j'entasse à la fois naissances, funérailles,

              Quand je crée ou détruis avec acharnement,

              Que fais-je donc, sinon préparer mes entrailles

              Pour ce suprême enfantement ?


              Point d'arrêt à mes pas, point de trêve à ma tâche !

              Toujours recommencer et toujours repartir.

              Mais je n'engendre pas sans fin et sans relâche

              Pour le plaisir d'anéantir.


              J 'ai déjà trop longtemps fait œuvre de marâtre,

              J ai trop enseveli, j'ai trop exterminé,

              Moi qui ne suis au fond que la mère idolâtre

              D 'un seul enfant qui n'est pas né.


              Quand donc pourrai-je enfin, émue et palpitante,

              Après tant de travaux et tant d'essais ingrats,

              A ce fils de mes vœux et de ma longue attente

              Ouvrir éperdument les bras ?


              De toute éternité, certitude sublime !

              Il est conçu ; mes flancs l'ont senti s'agiter.

              L 'amour qui couve en moi, l'amour que je comprime

              N 'attend que Lui pour éclater.


              Qu 'il apparaisse au jour, et, nourrice en délire,

              Je laisse dans mon sein ses regards pénétrer.

              - Mais un voile te cache. - Eh bien ! je le déchire :

              Me découvrir c'est me livrer.


              Surprise dans ses jeux, la Force est asservie.

              Il met les Lois au joug. A sa voix, à son gré,

              Découvertes enfin, les sources de la Vie

              Vont épancher leur flot sacré.


              Dans son élan superbe Il t'échappe, ô Matière !

              Fatalité , sa main rompt tes anneaux d'airain !

              Et je verrai planer dans sa propre lumière

              Un être libre et souverain.


              serez-vous alors, vous qui venez de naître,

              Ou


              qui naîtrez encore, ô multitude, essaim,

              Qui , saisis tout à coup du vertige de l'être,

              Sortiez en foule de mon sein ?


              Dans la mort, dans l'oubli. Sous leurs vagues obscures

              Les âges vous auront confondus et roulés,

              Ayant fait un berceau pour les races futures

              De vos limons accumulés.
              Toi-même qui te crois la couronne et le faîte

              Du monument divin qui n'est point achevé,

              Homme , qui n'es au fond que l'ébauche imparfaite

              Du chef-d'œuvre que j'ai rêvé,


              A ton tour, à ton heure, if faut que tu périsses.

              Ah ! ton orgueil a beau s'indigner et souffrir,

              Tu ne seras jamais dans mes mains créatrices

              Que de l'argile à repétrir.





              La Nature à l’Homme
              Poèmes de Louise Ackermann
              Dernière modification par katiaret, 11 octobre 2013, 17h22.
              dz(0000/1111)dz

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              • #8
                Le nuage

                Levez les yeux ! C'est moi qui passe sur vos têtes,
                Diaphane et léger, libre dans le ciel pur ;
                L'aile ouverte, attendant le souffle des tempêtes,
                Je plonge et nage en plein azur.

                Comme un mirage errant, je flotte et je voyage.
                Coloré par l'aurore et le soir tour à tour,
                Miroir aérien, je reflète au passage
                Les sourires changeants du jour.

                Le soleil me rencontre au bout de sa carrière
                Couché sur l'horizon dont j'enflamme le bord ;
                Dans mes flancs transparents le roi de la lumière
                Lance en fuyant ses flèches d'or.

                Quand la lune, écartant son cortège d'étoiles,
                Jette un regard pensif sur le monde endormi,
                Devant son front glacé je fais courir mes voiles,
                Ou je les soulève à demi.

                On croirait voir au loin une flotte qui sombre,
                Quand, d'un bond furieux fendant l'air ébranlé,
                L'ouragan sur ma proue inaccessible et sombre
                S'assied comme un pilote ailé.

                Dans les champs de l'éther je livre des batailles ;
                La ruine et la mort ne sont pour moi qu'un jeu.
                Je me charge de grêle, et porte en mes entrailles
                La foudre et ses hydres de feu.

                Sur le sol altéré je m'épanche en ondées.
                La terre rit ; je tiens sa vie entre mes mains.
                C'est moi qui gonfle, au sein des terres fécondées,
                L'épi qui nourrit les humains.

                Où j'ai passé, soudain tout verdit, tout pullule ;
                Le sillon que j'enivre enfante avec ardeur.
                Je suis onde et je cours, je suis sève et circule,
                Caché dans la source ou la fleur.

                Un fleuve me recueille, il m'emporte, et je coule
                Comme une veine au cœur des continents profonds.
                Sur les longs pays plats ma nappe se déroule,
                Ou s'engouffre à travers les monts.

                Rien ne m'arrête plus ; dans mon élan rapide
                J'obéis au courant, par le désir poussé,
                Et je vole à mon but comme un grand trait liquide
                Qu'un bras invisible a lancé.

                Océan, ô mon père ! Ouvre ton sein, j'arrive !
                Tes flots tumultueux m'ont déjà répondu ;
                Ils accourent ; mon onde a reculé, craintive,
                Devant leur accueil éperdu.

                En ton lit mugissant ton amour nous rassemble.
                Autour des noirs écueils ou sur le sable fin
                Nous allons, confondus, recommencer ensemble
                Nos fureurs et nos jeux sans fin.

                Mais le soleil, baissant vers toi son œil splendide,
                M'a découvert bientôt dans tes gouffres amers.
                Son rayon tout puissant baise mon front limpide :
                J'ai repris le chemin des airs !

                Ainsi, jamais d'arrêt. L'immortelle matière
                Un seul instant encor n'a pu se reposer.
                La Nature ne fait, patiente ouvrière,
                Que dissoudre et recomposer.

                Tout se métamorphose entre ses mains actives ;
                Partout le mouvement incessant et divers,
                Dans le cercle éternel des formes fugitives,
                Agitant l'immense univers.


                Le nuage
                Poèmes de Louise Ackermann
                dz(0000/1111)dz

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                • #9
                  Les métamorphoses du vampire...

                  La femme cependant, de sa bouche de fraise,
                  En se tordant ainsi qu'un serpent sur la braise,
                  Et pétrissant ses seins sur le fer de son busc,
                  Laissait couler ces mots tout imprégnés de musc :
                  " Moi, j'ai la lèvre humide, et je sais la science
                  De perdre au fond d'un lit l'antique conscience.
                  Je sèche tous les pleurs sur mes seins triomphants,
                  Et fais rire les vieux du rire des enfants.
                  Je remplace, pour qui me voit nue et sans voiles,
                  La lune, le soleil, le ciel et les étoiles !
                  Je suis, mon cher savant, si docte aux Voluptés,
                  Lorsque j'étouffe un homme en mes bras redoutés,
                  Ou lorsque j'abandonne aux morsures mon buste,
                  Timide et libertine, et fragile et robuste,
                  Que sur ces matelas qui se pâment d'émoi,
                  Les anges impuissants se damneraient pour moi ! "

                  Quand elle eut de mes os sucé toute la moelle,
                  Et que languissamment je me tournai vers elle
                  Pour lui rendre un baiser d'amour, je ne vis plus
                  Qu'une outre aux flancs gluants, toute pleine de pus !
                  Je fermai les deux yeux, dans ma froide épouvante,
                  Et quand je les rouvris à la clarté vivante,
                  A mes côtés, au lieu du mannequin puissant
                  Qui semblait avoir fait provision de sang,
                  Tremblaient confusément des débris de squelette,
                  Qui d'eux-mêmes rendaient le cri d'une girouette
                  Ou d'une enseigne, au bout d'une tringle de fer,
                  Que balance le vent pendant les nuits d'hiver.


                  Charles BAUDELAIRE (1821-1867)
                  dz(0000/1111)dz

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                  • #10
                    ....Sois heureuse ...

                    Aigle
                    Dernière modification par AigleNoir, 23 octobre 2013, 11h02.

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                    • #11
                      Quelques mots pour comprendre... .
                      En ce monde de fou et corrompu...
                      Peut-on vraiment tout se dire
                      Sans pour autant se maudire, se haïr..
                      Des mots sans reproche, qui n'accroche pas..
                      Qui ne blesse pas, ne font pas mal...
                      Qui doivent être simples, sans maux ni secrets..
                      Des mots pour continuer d'aimer la vie...
                      Des mots sans rien attendre en retour...
                      Hier tout semblait un délire...
                      j'aime bien ce passage
                      The happiest of people don't necessarily have the best of everything they just make the most of everything that comes along their way.

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                      • #12
                        C est rare que je laisse des coms ici mais , je le trouve très beau ton poème NB tu as réveillé bcp de souvenirs en moi.

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                        • #13
                          Ô mon coeur, rappelle-toi tout le passé;
                          D’autres l'ont connu, mais sans comprendre ce qui nous est arrivé.
                          Je partageais loyalement l'angoisse de mon ami
                          et m'efforçais sans faille de lutter contre le mal.
                          Mon secret, divulgué, a fait la joie de mes censeurs, devenant pour eux sujet de commérages.
                          Sagacité et expérience m'obligent à dire avec insistance
                          aux poètes inspirés : " En l'amitié il ne faut plus croire ! "
                          ya el qelb etfekker ma fat elewel w'etali
                          kif chafouh oukhrin w'law draw lina kif djra
                          kount rafed ghosset lehbib 3al lewfa w'kmali
                          ou ma3yit nwessi qelbi 3al lef3ayel eli morra
                          bah serri hetta chafou chfayti 3addali
                          fi fouam a3daya wellit hdith ou hedra
                          qoult wadjeb 3ani b'chtarti ou tarz ch'ghali
                          ledwat nwessi w'nzid ma baqi 3echra
                          "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                          Socrate.

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                          • #14
                            ya el qelb etfekker ma fat elewel w'etali
                            kif chafouh oukhrin w'law draw lina kif djra
                            kount rafed ghosset lehbib 3al lewfa w'kmali
                            ou ma3yit nwessi qelbi 3al lef3ayel eli morra
                            bah serri hetta chafou chfayti 3addali
                            fi fouam a3daya wellit hdith ou hedra
                            qoult wadjeb 3ani b'chtarti ou tarz ch'ghali
                            ledwat nwessi w'nzid ma baqi 3echra
                            ba3d rassi ya nassi wach men h'bib bqali
                            maybali bet3am li ykoune nawi felghedra

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                            • #15
                              Bonjour à Tous

                              ...........
                              Dernière modification par Nuit_Bleue, 25 novembre 2013, 11h12.
                              " Regarde le ciel c'est marqué dedans , toi et moi. Il suffit de regarder les étoiles et tu comprendra notre destinée "♥ღ♥
                              M/SR

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