voici un poème écrit par un être cher à mes yeux, je dis "mes yeux" car quoi de plus précieux que les yeux. merci du fond du coeur ...mon ....
Sur ce chemin de collège que moi-même je prenais
Il y a longtemps, avant que vous ne soyez nés,
Aujourd’hui, tous les deux, je vous y emmène,
Zakaria, Souleymane et bientôt Ziane.
De notre temps, à pied, on allait à l’école
Bien avant que les oiseaux ne s’envolent,
Par les trottoirs glacés et couverts de givre
Le cartable plein de cahiers et de livres.
Ces années que je revois par dessus mon épaule
Je les dédie à vous trois, et cela me console,
Car c’est un peu moi que je retrouve en souvenir
Quand je vous vois venir et doucement grandir.
Ce petit Zakaria d’hier, devenu jeune homme,
Beau, tu me rempli le cœur de ton arôme,
Crinière de lionceau, malin aux yeux angélique,
Te voir vivre, n’est ce pas là, un bonheur magnifique ?
Quant à toi, à l’école, mon petit Souleymane,
Je t’y emmènerai tous les jours de la semaine,
Avant d’y entrer, je suis sûre, tu me feras la bise,
EN échange de bonbons et de gourmandises.
Celui qui a dit que le bonheur n’existe pas
N’a qu’à venir tête basse et suivre mes pas,
Mes trois anges seront là, de toute façon,
Pour lui apprendre tranquillement la leçon.
Sur ce chemin de collège que moi-même je prenais
Il y a longtemps, avant que vous ne soyez nés,
Aujourd’hui, tous les deux, je vous y emmène,
Zakaria, Souleymane et bientôt Ziane.
De notre temps, à pied, on allait à l’école
Bien avant que les oiseaux ne s’envolent,
Par les trottoirs glacés et couverts de givre
Le cartable plein de cahiers et de livres.
Ces années que je revois par dessus mon épaule
Je les dédie à vous trois, et cela me console,
Car c’est un peu moi que je retrouve en souvenir
Quand je vous vois venir et doucement grandir.
Ce petit Zakaria d’hier, devenu jeune homme,
Beau, tu me rempli le cœur de ton arôme,
Crinière de lionceau, malin aux yeux angélique,
Te voir vivre, n’est ce pas là, un bonheur magnifique ?
Quant à toi, à l’école, mon petit Souleymane,
Je t’y emmènerai tous les jours de la semaine,
Avant d’y entrer, je suis sûre, tu me feras la bise,
EN échange de bonbons et de gourmandises.
Celui qui a dit que le bonheur n’existe pas
N’a qu’à venir tête basse et suivre mes pas,
Mes trois anges seront là, de toute façon,
Pour lui apprendre tranquillement la leçon.
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