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Par : Ouhnia Kamel
< La famille révolutionnaire de la wilaya de Béjaïa est en deuil. Chérif Sadki, connu sous le nom de guerre de Si Chérif, un ancien maquisard de la glorieuse Wilaya III historique, natif de la commune d’Ouzellaguen, vient de s’éteindre à l’âge de 89 ans, après avoir voué toute sa vie à sa chère patrie, l’Algérie. Il a rendu l’âme, dimanche 6 octobre, vers les coups de 8h00, à la polyclinique d’Ouzellaguen, où il a été évacué en urgence par les membres de sa famille. La triste nouvelle est tombée tel un couperet, jetant l’émoi et la consternation chez toute la population locale, mais aussi l’ensemble de ses compagnons de lutte pendant la guerre de libération nationale. “C’est avec une grande affliction que nous avons appris, ce matin, la disparition de notre frère d’armes, Si Chérif, un résistant de la première heure, qui avait rejoint les maquis de l’ALN dès le déclenchement de la Révolution, en novembre 1954. Outre son grade de sous-officier (adjudant) de l’ALN, le défunt était également commissaire politique de 1958 à 1960”, témoigne, d’une voix émue, le moudjahid Hocine Medjkoune, coordinateur communal de l’ONM (Organisation nationale des moudjahiddine) à Ouzellaguen. Notre interlocuteur a tenu, en outre, à préciser qu’“au lendemain de l’indépendance, le maquisard disparu avait intégré les rangs de l’ANP, avant d’exercer comme garde champêtre dans sa commune natale, jusqu’au jour de sa mise en retraite”. Notons que les obsèques du moudjahid Si Chérif ont eu lieu hier au village Fournane, sur les hauteurs de la commune d’Ouzellaguen, en présence d’une foule nombreuse, composée essentiellement des représentants des autorités locales, des membres de la famille révolutionnaire (ONM, Onec, Cnec, Onem…), ainsi que des amis et anciens compagnons de combat du défunt.
PAIX A TON AME
< La famille révolutionnaire de la wilaya de Béjaïa est en deuil. Chérif Sadki, connu sous le nom de guerre de Si Chérif, un ancien maquisard de la glorieuse Wilaya III historique, natif de la commune d’Ouzellaguen, vient de s’éteindre à l’âge de 89 ans, après avoir voué toute sa vie à sa chère patrie, l’Algérie. Il a rendu l’âme, dimanche 6 octobre, vers les coups de 8h00, à la polyclinique d’Ouzellaguen, où il a été évacué en urgence par les membres de sa famille. La triste nouvelle est tombée tel un couperet, jetant l’émoi et la consternation chez toute la population locale, mais aussi l’ensemble de ses compagnons de lutte pendant la guerre de libération nationale. “C’est avec une grande affliction que nous avons appris, ce matin, la disparition de notre frère d’armes, Si Chérif, un résistant de la première heure, qui avait rejoint les maquis de l’ALN dès le déclenchement de la Révolution, en novembre 1954. Outre son grade de sous-officier (adjudant) de l’ALN, le défunt était également commissaire politique de 1958 à 1960”, témoigne, d’une voix émue, le moudjahid Hocine Medjkoune, coordinateur communal de l’ONM (Organisation nationale des moudjahiddine) à Ouzellaguen. Notre interlocuteur a tenu, en outre, à préciser qu’“au lendemain de l’indépendance, le maquisard disparu avait intégré les rangs de l’ANP, avant d’exercer comme garde champêtre dans sa commune natale, jusqu’au jour de sa mise en retraite”. Notons que les obsèques du moudjahid Si Chérif ont eu lieu hier au village Fournane, sur les hauteurs de la commune d’Ouzellaguen, en présence d’une foule nombreuse, composée essentiellement des représentants des autorités locales, des membres de la famille révolutionnaire (ONM, Onec, Cnec, Onem…), ainsi que des amis et anciens compagnons de combat du défunt.
PAIX A TON AME