Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Maroc: Hausse des prix du vin et des bières en GS

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Maroc: Hausse des prix du vin et des bières en GS

    salam


    Les prix de l’alcool vont encore subir une augmentation. C’est ce qu’annonce en Une l’hebdomadaire La Vie Eco. Le prix des boissons alcoolisées s’est apprécié de 3 à 10%, voir de 14% à 25% pour certaines catégories. La bière est vendue entre 1 et 2 dirhams plus chère selon la marque. Les vins haut de gamme ont vu, eux, leur prix augmenter de 10 DH dans certains cas, relève La Vie Eco.
    Les producteurs et les importateurs expliquent qu’ils ‘agit d’une décision unilatérale des grandes surfaces prise au mois de septembre. Mais aucune source ne témoigne à visage découvert, précise le journal, tabou de l’alcool oblige. L’hebdomadaire relève aussi une aberration : certaines grandes surfaces refusent de fournir un ticket de caisse pour les achats d’alcool. Une source anonyme explique au journal qu’il s’agit d’un problème réglementaire : la loi interdit «la vente d’alcool aux non-musulman», le ticket peut donc servir de «justificatif». Plus de détails dans La Vie Eco de cette semaine.

    vie eco

  • #2
    Cela va impacter le pouvoir d'achat de la population




    il faut que la caisse de compensation entre en oeuvre pour soutenir ces denrées de neuvième nécessité




    :22:
    .
    .
    ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
    Napoléon III

    Commentaire


    • #3
      FA n'est pas une poubelle cet augmentation n'interésse pas les marocains et encore moins le algériens.

      Commentaire


      • #4
        إبراهيم الوزاني

        يعرف استهلاك الخمر في المغرب ارتفاعا كبيرا في السنوات الأخيرة، فالمغاربة يستهلكون في العام الواحد ما مجموعه 131 مليون لتر تشمل 400 مليون قنينة بيرة، و38 مليون قنينة خمر، ومليون ونصف مليون قنينة ويسكي، ومليون قنينة فودكا، و140 ألف قنينة شامباني. ووفق ما جاء في جريدة ''لافي إيكونونميك" نقلا عن منتجين ومسوقين، فإن استهلاك الفردي للخمر بالمغرب جد مرتفع

        ورغم أن الخمر محرمة في دين دولتنا و (مملكتنا) الإسلامية بنص القرآن والسنة وإجماع علماء الأمة، ورغم أن أم الخبائث ثبت أنها تسببت في العديد من العواقب السلبية والخطيرة، فالخمر مسبب للإصابة بمرض السرطان، فقد أكد مدير المعهد الوطني لمكافحة السرطان بفرنسا "دومينيك مارانينشي" على أن ''العلاقة بين الخمور والسرطان مسألة قاطعة لا تقبل الجدل"..
        كما أن للخمر دورا كبيرا في ارتفاع عدد حوادث السير، وعدد الجرائم، وأنه يتسبب في مشاكل اجتماعية خطيرة مثل الطلاق والتشرد

        نلاحظ أن الوزير حاول أن يخرج من التناقض بين القوانين المغربية التي تبيح ترويج الخمور من جهة وتعاقب شاربيها من جهة أخرى، فمن المضحك أن ترخص الدولة في بيع الخمور في المراكز التجارية، ولشربه في الحانات والعلب الليلية، والفنادق، ويشرب في المراقص وعلى أرصفة الشواطئ، وفي الأماكن المظلمة في الأحياء الشعبية، ويسمح لإشهاره في الإعلام الفرانكفوني، بينما تعاقب شاربيها، لكن ليس كلهم

        ... <---


        .

        Commentaire


        • #5
          salam

          n'est ce pas nedromi, par contre s'offusquer de trouver de l'alcool dans des GS relève de la propreté

          Commentaire


          • #6
            article spéciale pour le MEK

            Économie : CONSOMMATION DE BOISSONS ALCOOLISEES EN ALGERIE
            Marché en pleine expansion


            Le marché algérien des boissons alcoolisées est un marché pivot, en forte croissance, selon des données d’Euromonitor.Le marché algérien des boissons alcoolisées réalise des performances croissantes depuis 2005 et la tendance devrait se poursuivre jusqu’en 2016.

            [IMG]http://www.lesoird************/articles/2012/04/17/Econom1.jpg[/IMG]

            Le marché algérien des boissons alcoolisées réalise des performances croissantes depuis 2005 et la tendance devrait se poursuivre jusqu’en 2016. Selon des données d’Euromonitor, le marché de détail a progressé tant en volume qu’en valeur durant la période 2005-2010, s’agissant des boissons alcoolisées et des bières, mais également des alcools et spiritueux ainsi que des vins. Concernant les boissons alcoolisées, l’on note ainsi que des quantités de 134 millions de litres de boissons alcoolisées pour une valeur de 48,1 milliards de dinars ont été écoulées en 2005, des quantités de 169,3 millions de litres d’une valeur de 73,2 milliards de dinars ont été vendues en 2009 et de 176,4 millions de litres pour 79,4 milliards de dinars en 2010. Une progression similaire est observée pour les bières, essentiellement produites en Algérie, avec des quantités de 97,1 millions de litres (18,6 milliards de dinars) en 2005, de 124,1 millions de litres (31,6 milliards de dinars) en 2009 et 129,1 millions de litres (34,2 milliards de dinars) en 2010. Certes importés, onéreux et consommés davantage par les hommes, notamment des classes aisées, les spiritueux et alcools ont connu une progression semblable, la consommation passant de 1,084 million de litres (8,2 milliards de dinars) en 2005 à 1,2326 million de litres (10,5 milliards de dinars,) en 2009 et à 1,2651 million de litres (11,2 milliards de dinars) en 2010. Également pour les vins, notamment les vins rouges, avec des quantités de 35,8 millions de litres (21,3 milliards de dinars), 44 millions de litres (31,1 milliards de dinars) et 46 millions de litres (34 milliards de dinars) pour les mêmes années. Dominé principalement par le groupe Castel Algérie (bières et boissons alcoolisées) avec une part de marché tournant autour de 37%, l’Office national de commercialisation des produits vitivinicoles (ONCV) et sa filiale Vins du Terroir, ce marché n’a été contrarié ni par les taxes élevées imposées sur les vins ni par la hausse des prix en découlant. Comme il n’a pas été contrarié par les règles strictes d’autorisation et les sanctions pénales de la consommation d’alcool au volant, voire par la fermeture de plusieurs bars et restaurants et autres considérants d’ordre religieux, notamment. Boosté notamment par la demande croissante, la dynamique d’innovation des producteurs et distributeurs locaux et le développement de nouveaux produits, notamment dans le segment des bières et vins à faible teneur en alcool, et au-delà des différences sociales et urbaines, le boom du marché algérien devrait se poursuivre encore durant les prochaines années. Ainsi, la consommation de boissons alcoolisées devrait croître à raison de 3,4% jusqu’en 2015, selon les données d’Euromonitor. Et d’autant que les ventes estimées en 2011 à 183,3 millions de litres (83,1 milliards de dinars) et en 2012 à 190,6 millions de litres (90,7 milliards de dinars) devraient atteindre en 2015 les 2012 millions de litres (98,6 milliards de dinars). Concernant les bières, l’on indique une hausse de 134,2 millions de litres (35,7 milliards de dinars) en 2011 à 139,2 millions de litres (37,3) à 154,7 millions de litres (42,3 milliards de dinars) en 2015, ce segment devant croître de 4%. Une évolution qui contraste avec celles de nos voisins, notamment le Maroc qui fait partie des pays où la consommation progressera faiblement (entre 0 et 1,4%) jusqu’en 2016 et dont le marché progresse pourtant depuis 2006 et a vu en 2011 s’écouler 151 millions de litres de boissons alcoolisées et 113,2 millions de litres de bières. Et alors que le marché algérien évolue de manière similaire à celle de la Tunisie (respectivement 181,8 millions de litres et 143,7 millions de litres en 2011) ou du Brésil, avec des progressions entre 2,9 et 5,4%, d’autres marchés enregistreront, cependant, une croissance plus importante. Il s’agit, notamment, de la Colombie, du Nigeria et de la Chine, mais aussi de l’Arabie saoudite et de l’Iran, des pays pourtant réputés pour leur conservatisme, où l’évolution tournera entre 5,5% et 23,9%. A contrario, la consommation de boissons alcoolisées devrait progresser faiblement aux Etats-Unis et au Canada ainsi qu’en France et en Russie, avec une évolution quasi nulle. Voire, la croissance sera négative (entre -0,1 et -3,5%) en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Grèce).
            Chérif Bennaceur

            Pour toute information complémentaire, veuillez contacter Euromonitor à : [email protected]
            [IMG]http://www.lesoird************/articles/2012/04/17/Econom2.jpg[/IMG]
            EN UN CLIN D’ŒIL
            L’évolution se stabilisera vers 2016

            Après avoir enregistré une hausse à plus de 6%, entre 2006 et 2007, et une diminution à moins de 4% jusqu’en 2009, la croissance du marché algérien (en termes de glissements annuels) s’est stabilisée autour de 4% vers 2006. Cette évolution devrait se poursuivre jusqu’en 2016 au rythme de 3,5%. Voire, elle sera supérieure à la croissance dans le monde. Et cela même si la consommation a, entre 2007 et 2009, chuté de 5% à moins de 1%, avant de reprendre un mouvement haussier qui devrait se poursuivre jusqu’en 2016.
            [IMG]http://www.lesoird************/articles/2012/04/17/Econom3.jpg[/IMG]
            Le marché représentait 272 millions de litres en 2011

            Deux cent soixante-douze millions de litres de boissons alcoolisées ont été écoulées en 2011 en Algérie. Soit 7,6 litres par habitant, avec un taux de croissance annuelle sur la période 2011-2016 estimé à 3,4%. Avec ces chiffres, l’Algérie se positionne comme valeur dominante, parmi les pays grands consommateurs. En d’autres termes, il n’y a qu’un tiers des pays dans le monde qui ont un marché inférieur. Concernant la consommation par habitant, 14% des autres pays ont une consommation inférieure à 7,6 litres. De même, le marché algérien compte parmi les 30% de pays qui enregistrent une croissance supérieure à 3,4%.

            L’IRAN, UN MARCHÉ EN EXPANSION
            Plus de 5,5% de croissance de la consommation
            La République islamique d’Iran est un marché en expansion pour la consommation de boissons alcoolisées. Selon les données d’Euromonitor, l’Iran, un pays conservateur, fait partie des pays dont la consommation des habitants, localement ou à l’étranger, devrait progresser entre 5,5% et 23,9% jusqu’en 2016. Voire, la consommation du marché iranien a connu une progression de 46,1% entre 2009 et 2010, selon la même source.

            lesoirdalgerie

            Commentaire


            • #7
              salam

              mais k537 comment expliquer cela au pays de AMIR EL MOUNAF...

              TU NE TROUVERAS JAMAIS D ALCOOL EN GS OU GMS EN ALGERIE et pourtant on est pas gouberné par amir el Mouminine




              Alcool au Maroc, un marché qui rapporte gros

              POLÉMIQUE: La vente et la consommation d’alcool par les Marocains crée un débat passionné qui omet que rien que pour l’année 2010, ce sont 110 milliards de centimes que l’État prévoit d’encaisser en taxes. Une véritable manne financière.

              A. Najib





              Mercredi à 19 heures dans une superette du centre ville de Casablanca. On commande plusieurs bouteilles de vin, quelques bières et une bouteille de bourbon. Le caissier encaisse le total sans faire allusion à la fatwa du théologien proche du PJD. Il ne le savait peut-être pas. On le met au courant. Il en rigole. «C’est de la folie.» Laconique et clair. Pourquoi est-ce une folie? «Le plus grand du chiffre d’affaires se fait grâce à la vente d’alcool. L’État taxe à bloc et ce sont surtout les Marocains qui consomment.» Autrement dit, pour le caissier, on ne tue pas la poule aux œufs d’or, à moins que l’on soit fou.
              Et l’Etat ne l’est pas. Rassurant pour le tenancier de l’épicerie, qui ajoute que sans sa licence de vente d’alcool et spiritueux, il aurait déjà changé de métier. On lui dit aussi qu’il y a d’autres voix qui militent pour abroger la loi sur l’interdiction de la vente d’alcool aux Marocains. Il en sourit : «C’est la liberté, donc !».
              Il est 19 heures 30mn, le coin réservé aux vins, bières et autres vodka, pastis, whisky et quelques tord boyaux locaux est archi-bondé. Dans le tas, un Européen qui fait ses emplettes. Le reste, Marocains pure souche. «C’est tous les jours comme ça. Entre 18 et 20 heures (les épiceries qui vendent de l’alcool sont tenues de descendre les rideaux à 23h tapante), c’est l’heure de pointe. On achète du vin avant de rentrer chez soi. Et c’est de plus en plus fort depuis quelques années.»
              Boire de plus en plus
              Et c’est dans l’air du temps. Le Maroc produit du vin. Il fabrique aussi sa propre bière. Et lance des spiritueux douteux très couleur locale, entre mahia (eau de vie) et pastis. En termes de chiffres, sur le plan de la production viticole, le Maroc produit annuellement moins de 400.000 hectolitres, loin des 3 millions réalisés dans les années 60.
              Selon un producteur viticole et membre de l’Aspram (Association professionnelle des producteurs de raisins), «la consommation des boissons alcoolisées est d’environ 300.000 hectolitres par an». Mais si l’on en croit une source proche des Brasseries du Maroc, la consommation d’alcool au Maroc a augmenté de 3,5% à 6% entre 2006 et 2008. Cette croissance, supérieure à 50% sur les deux dernières années, est essentiellement portée par la tranche des jeunes de moins de 20 ans.
              Ce qui confirme la constatation de l’épicier, qui avoue «jamais je ne demande à quelqu’un sa carte d’identité pour m’assurer de son âge. Il y a des jeunes qui achètent tous les jours ici. Je suppose qu’ils ont au moins 18 ans.» Erreur. L’article 30 d’une loi sur l’alcool promulguée en 1967 stipule qu’il est interdit de vendre de l’alcool à des mineures de moins de 16 ans sous peine d’emprisonnement d’un mois à deux mois assortie d’une amende entre 24 et 360 dirhams.Mais l’article 31 de la même loi est ambigu.
              Il dit que toute personne qui donne de l’alcool à un mineur de moins de 16 ans jusqu’à l’ivresse est passible d’un mois à six mois de prison et d’une amende entre 100 et 1.000 dirhams.
              C’est le «jusqu’à ivresse» qui pose problème ici. Est-il alors permis de faire boire des mineurs à condition de ne pas les enivrer? Oui et non. Les mineurs boivent, se grisent, deviennent accros, violents et même alcooliques.
              Les jeunes trinquent
              Plusieurs psychiatres marocains ont fait état des ravages dus à la consommation d’alcool chez les jeunes Marocains. Sans oublier que certaines boîtes de nuit ne sont pas regardantes sur l’âge des consommateurs, pourvu que l’on casque. Idem pour les épiceries, où l’on peut, pour l’expérience, envoyer un gamin de 10 ans vous acheter un stock de vins et de bière sans faire tiquer le marchand. Ceci pour un enfant! Alors que la loi, datée du 26 juillet 1967, dans son article 28 semble claire: «Il est interdit à tout exploitant d’un établissement soumis à licence de vendre ou d’offrir gratuitement des boissons alcooliques ou alcoolisées à des marocains n n n musulmans. Les infractions aux dispositions qui précèdent sont punies de l’emprisonnement de 1 à 6 mois et d’une amende de 300 à 1500 dirhams ou de l’une de ses deux peines seulement. En cas de récidive, les peines d’emprisonnement et d’amende prévues ci-dessus peuvent être portées au double». (Bulletin officiel n° 2856, du 26/07.1967)
              Une véritable économie
              C’est ce qui a peut-être poussé un homme d’affaires marocain comme Miloud Chaâbi à créer des grandes surfaces qui ne vendent pas d’alcool. Et, dans la foulée, il a lancé la mode des hôtels sans alcool. Le fait paraît bizarre, mais l’idée en termes de marketing se tient et rapporte. Le propriétaire assurait même que «ne pas servir d’alcool n’a nullement d’impact négatif sur le flux des touristes.» Et le tourisme halal a pris place.
              Mais qu’en est-il réellement du vin dans l’échiquier économique du Maroc? D’abord la licence d’alcool. Elle ne relève d’aucun ministère, mais sort droit du Palais. C’était au temps de feu Hassan II et elle est toujours en vigueur.
              La loi permet au directeur de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) de donner l’autorisation grâce à un comité constitué d’un représentant du ministère de l’Intérieur, un membre du ministère de la Santé publique, un membre du ministère du Commerce, un autre représentant le ministère du Tourisme et un délégué de la DGSN. Il est très difficile d’obtenir cette licence, mais quand on l’a, on est heureux parce que les retombées matérielles sont à la hauteur des sacrifices consentis.
              Car tout ce qui touche aux alcools est une véritable économie adossée à une industrie qui rapporte au pays des milliards de centimes par an en taxes sur l’alcool. Sans oublier que le ministère de la Justice remplit aussi ses caisses grâce aux amendes car, selon une source du ministère pas moins de 85% des affaires traitées quotidiennement devant les tribunaux ont à voir avec l’alcool. Selon le ministère des Finances, il est prévu en 2010 une rente en impôts sur les alcools de l’ordre de 110,6 milliards de centimes, contre seulement 791 millions de centimes en 2009. C’est dire que l’alcool a de très beaux jours devant lui avec cette hausse de 40% en un an. Ceci est dû à l’augmentation par le ministère des Finances en 2010 de la taxe prélevée sur les alcools. Pour la bière, elle passe de 550 à 800 dirhams l’hectolitre.
              Pour les vins, la taxe passe de 260 à 390 dirhams. Pour les autres alcools, elle est désormais à 450 dirhams alors qu’elle était à 300. Ces dernières années, les domaines viticoles s’étendent sur plusieurs régions du Maroc entre le Saïss, Boulemane, Benslimane, Essaouira, Berkane… Ce qui se traduit par une production de 400.000 hectolitres par an. La part de l’export n’excède pas les 135.000 hectolitres alors que la consommation locale se stabilise à 265 hectolitres.
              Les musulmans lèvent le coude
              Alors qui boit au Maroc? Théoriquement, selon la loi, ce sont les étrangers du Maroc qui doivent consommer les 265 hectolitres destinés au marché local. Combien sont-ils donc? Selon les dernières statistiques, les étrangers du Maroc sont au nombre de 51.000. Une simple opération arithmétique nous montre que chaque étranger consomme uniquement 2 litres de vin tous les jours. Ce qui est impossible. Alors où va le reste? Pour répondre à une telle question, rien de tel qu’un tour dans le centre ville de Casablanca, entre la rue Allal Ben Abdelllah, Rahal El Meskini, Lalla Yakout, la rue du Prince Moualy Abdellah, Mers Sultan, Ben Jdia et Derb Omar.
              Les bars sordides sont encore nombreux et ils ne débondent pas. Les habitués y boivent des litres de bière et de mauvais vin chaque jour et chaque matin, les camions des Brasseries du Maroc viennent faire le plein. Pas un étranger dans ces bars. Ou alors un paumé qui tente de se faire payer un verre à l’œil. Et c’est dans une tournée comme celle-ci que l’on peut mesurer le taux d’alcoolémie des uns et des autres. Presque tous les buveurs sont déjà alcooliques.
              La bière tient son rang
              Et le delirium tremens leur donne rendez-vous à chaque réveil. Le tout mâtiné de violences, coups et blessures où les épaves humaines payent le prix de la Flag et de la Stork à outrance. D’ailleurs, des statistiques ont démontré que le Marocain boit beaucoup. Pas moins de 131 millions d’hectolitres sont consommés par les musulmans du Maroc. Ce qui revient à 4,3 litres par an pour chaque Marocain. Ce sont 400 millions de bouteilles de bières qui sont sifflées pour 38 millions de bouteilles de vin, 1,5 million de bouteilles de whisky, 1 million de bouteilles de vodka, 500.000 bouteilles de gin et 140.000 bouteilles de champagne. Ce sont les 20 à 30 ans qui consomment le plus. Chez les femmes, le champagne tient la vedette. Et chez les jeunes, la vodka reste indétrônable. Se payer une bouteille de champagne entre 350 et 1.500 dirhams, n’est pas donné à tous les amoureux de l’alcool.
              Par contre, la bière est la bibine de monsieur tout le monde. Pas moins de 60.000 points de vente au Maroc pour la bière. Ce qui équivaut à 4 épiceries pour 1.000 personnes en milieu urbain. Et comme on pouvait s’y attendre, selon des statistiques issues d’une étude réalisée par une grande marque de bière, ce sont les Casablancais et les R’batis, d’une moyenne d’âge de 40 ans, qui sont en pole-position des buveurs au Maroc. Et sur ce marché, les Brasseries du Maroc règnent en maître absolu. Leurs gains nets varient entre 284 millions de dirhams (2003) et 225 millions de dirhams (2009). Avec une année record, 2007, pour un chiffre de 343 millions de dirhams. La société contrôle 90% du marché marocain. Mais la figure du vin au Maroc reste Ibrahim Zniber, qui contrôle pas moins de 85% du marché marocain à travers Diana Holding, qui emploie 6.500 employés entre ouvriers et ingénieurs, qui ont porté les chiffres de la société à 2,5 milliards de dirhams.
              Officiel, officieux
              .

              Commentaire


              • #8
                Les islamistes du PJD veulent renflouer les caisses du gouvernement avec un surplus d"impôts haram !!!

                Hypocrisie quand tu nous tiens!!

                Commentaire


                • #9
                  salam

                  mais k537 comment expliquer cela au pays de AMIR EL MOUNAF...

                  TU NE TROUVERAS JAMAIS D ALCOOL EN GS OU GMS EN ALGERIE et pourtant on est pas gouberné par amir el Mouminine
                  Que vient foutre Amir al moumine où le pape la dedans.

                  L' Algérie est aussi un pays musulman ,jusqu'à preuve du contraire, et l'alcool y est ,en principe , haram !!

                  Commentaire


                  • #10
                    posté par Serpico

                    Les islamistes du PJD veulent renflouer les caisses du gouvernement avec un surplus d"impôts haram !!!

                    Hypocrisie quand tu nous tiens!!
                    .

                    Le bon sens !!!

                    Par bel-court : Rien de bon venant des islamistes !!!
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                    Commentaire


                    • #11
                      Maroc: Hausse des prix du vin et des bières
                      C'est symbolique vu le parti islamique au pouvoir au Maroc. Au sens économique , budgétaire, ça ne vaut pas un clou.
                      Par contre, libéraliser le kif serait un coup de génie :
                      - D'abord l'alcool en soi est nocif à la santé et au tourisme,
                      - Ensuite le kif, avec son caractère "cool" et festif, qui ne fait de mal à personne, aura gagné ses lettres de noblesse au pays des Rifains.

                      Commentaire


                      • #12
                        salam


                        mais pourquoi voius amusez à traiter le pjd d'hypocrite et pas amir el moun...

                        je comprends pas votre façon de raisonner, c'est juste hallucinant!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

                        Commentaire


                        • #13
                          @Serpico !!

                          Au sujet des islamistes chez les alaouites du Maroc

                          - par Serpico

                          Les islamistes du PJD veulent renflouer les caisses du gouvernement avec un surplus d"impôts haram !!!

                          Hypocrisie quand tu nous tiens!!
                          @arazigh
                          sans aucun doute

                          drogue : légalisation par dahir royal
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X