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Un peu de sérieux !

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  • Un peu de sérieux !

    Écrit par Halim Midouni


    Le paysage politique présente aujourd’hui l’étrange aspect d’une géographie agitée par les rumeurs et les spéculations qui vont des plus plausibles aux plus fantaisistes. Malheureusement, les plus fréquentes sont celles dont les auteurs alignent des scénarii dont le moins qu’on puisse dire est qu’ils ne correspondent à aucun élément d’information ni donnée politique vérifiable et mesurable.
    Parmi ces lectures de pure anticipation, il y a celles qui prêtent au chef de l’Etat, avant même que ce dernier ne se prononce sur le sujet, l’ambition de rempiler pour un 4e mandat, un sujet sans doute intéressant, mais qui n’est pas posé actuellement par le plus concerné d’entre eux, le président de la République.

    Au-delà de leur insistance à ressasser cette question et l’obsession, pour l’instant, sans objet qu’elle provoque chez eux, ce qui ressort le plus de leur parole politique, car d’arguments il n’y en a point, sauf peut-être chez un Benbitour qui n’a pas oublié sa nature de technocrate et d’ex-grand commis de l’Etat, c’est l’absence de toute contribution sérieuse au débat sur la crise que vit le pays et la manière d’en sortir : un chapitre en principe très ouvert lorsqu’on se retrouve comme, aujourd’hui, en situation préélectorale de grande importance pour le pays.
    En termes d’actions, ces groupes ne brillent pas non plus. Ni par l’imagination ni par le courage d’assumer avec intelligence ce pour quoi ils se positionnent.

    Le marqueur de ce manque de sérieux, faut-il le rappeler et même si le caractère tardif de l’administration à autoriser leur rencontre peut être compris comme vexatoire, a été la décision des «quatorze» à déserter le 1er octobre dernier l’hôtel Essafir (ex-Aletti) au moment où le minimum qui était attendu d’eux, était au moins une déclaration de principe ou de motivation, selon l’état physique et intellectuel dans lequel ils se trouvaient… Mais rien de tout cela ne s’est produit.

    En termes de mobilisation, on a vu mieux également ; et c’est sans doute significatif de quelque chose qui ressemble soit à un constat d’échec à intervenir sérieusement dans le champ politique, puisqu’il n’est pas question, pour eux, d’inverser quoi que ce soit dans la donne actuelle. Soit pour exprimer inconsciemment l’attente d’un candidat du consensus que le système qu’ils vitupèrent veuille bien le leur donner. Dans les deux cas, ce n’est pas très encourageant et il faudrait, pour cette opposition, autre chose que des réflexes grégaires ou des chiffres comme «14» pour parvenir à convaincre de leur crédibilité.
    REPORTERS.DZ
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    En Algérie, tout le monde sait que le pouvoir despotique est bien ancré depuis 1962. C'est lui qui choisit ses chefs d'état et c'est lui qui les dégomme quand ses intérêts sont menacés.

    En Algérie, c'est la politique binaire. On est avec le pouvoir despotique ou contre lui. Il n' y a pas de place pour les indécis.

    Malheureusement, par les temps qui courent, la manne financière générée par la vente de notre gaz et pétrole, a rempli la mangeoire et beaucoup de " girouettes " se sont précipitées pour manger et se sont rangées, de fait, du côté de ce pouvoir.

    A notre grand regret, nous n'avons plus de partis d'opposition. Du FFS, du MDRA ou du PRS, il ne reste que les sigles. Quant aux autres partis qui ont vu le jour suite à la pseudo-ouverture de 1989, le bon sens nous amène à penser qu'un pouvoir despotique ne pourrait point autoriser de parti qui travaillerait à le renverser car n'oublions pas que c'est bien le pouvoir despotique qui est toujours resté aux commandes du pays.

    P.

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    • #3
      Le manicheisme fait encore des dégats...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        On est avec le pouvoir despotique ou contre lui
        Il est évident que tu n'as aucune vision ce que peut être un pouvoir despotique! Pour ce faire il te suffit de te rendre dans les royaumes et le despotisme Algérien te paraitra doux comme le miel!
        “Le cours évolutif du progrès européen pendant ces trois cents dernières années pourrait se résumer à seulement quatre mots: égoïsme, massacres, impudeur et corruption.” Yan Fu

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        • #5
          En Algérie, tout le monde sait que le pouvoir despotique est bien ancré depuis 1962. C'est lui qui choisit ses chefs d'état et c'est lui qui les dégomme quand ses intérêts sont menacés.

          En Algérie, c'est la politique binaire. On est avec le pouvoir despotique ou contre lui. Il n' y a pas de place pour les indécis.

          Malheureusement, par les temps qui courent, la manne financière générée par la vente de notre gaz et pétrole, a rempli la mangeoire et beaucoup de " girouettes " se sont précipitées pour manger et se sont rangées, de fait, du côté de ce pouvoir.

          A notre grand regret, nous n'avons plus de partis d'opposition. Du FFS, du MDRA ou du PRS, il ne reste que les sigles. Quant aux autres partis qui ont vu le jour suite à la pseudo-ouverture de 1989, le bon sens nous amène à penser qu'un pouvoir despotique ne pourrait point autoriser de parti qui travaillerait à le renverser car n'oublions pas que c'est bien le pouvoir despotique qui est toujours resté aux commandes du pays.

          P.
          Triste réalité, n'en déplaise aux chiyatines

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          • #6
            Encore un autre manicheiste...
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              Encore un chiyate..

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              • #8
                .En Algérie, tout le monde sait que le pouvoir despotique est bien ancré depuis 1962. C'est lui qui choisit ses chefs d'état et c'est lui qui les dégomme quand ses intérêts sont menacés.
                En effet! l'Algérie ressemble toujours à ça!

                C'est incroyable qu'hormis Benbitour, aucun prétendant n'ait encore posé sa candidature, présenté son projet.
                C'est honteux !

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                • #9
                  Encore un chiyate..
                  Ca ne m'étonne pas de toi, pauv type...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    Une chose est sure .. les campagnes électorales commenceront.. très tard

                    J'aimerai pas être candidat-opposant, à l'heure actuelle .. à peine le temps de nouer sa cravate.. que c'est déjà fini

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                    • #11
                      Cette situation est volontaire. Le décideurs veulent réduire la campagne à sa pure expression offcielle, 1 mois, pour éviter trop de dérappage et cadrer au mieux cette campagne.

                      Il n'y aura aps de pre compagne, qui se joue dans les stratosphères... la campagne aussi risque de l'être...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #12
                        Ca ne m'étonne pas de toi, pauv type...
                        Drabni w'bka, sbakni w'echtka

                        Chiyate va

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                        • #13
                          Des gens de ton espèce ne connaissent que l'insulte. Des psychpathe psychorigides, et manichéins. Si tu sais pas ce que ça veut dire, va voir un dictionnaire, ce n'est aps une insulte, ni une "derba", yakhi kavi...
                          Othmane BENZAGHOU

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                          • #14
                            Tout comme ce topic .. la politique algérienne a du potentiel .. l'instabilité

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                            • #15
                              Du déjà vu
                              A chaque fois que quelqu'un critique tes maitres mafieux, tu rappliques en courant avec ta pseudo science, tu prends de haut celui qui critique, tu fais le professeur, tu caches à peine que tu le prends pour un con, tu le gaves encore et encore, et quand il te répond comme il devrait répondre aux gens comme toi... tu pleurniches, tu joues les victimes puis tu commences à vomir des insultes

                              J'ai réagi au post d'un autre membre, j'ai parlé de chiyatines, et t'es venu fourrez ton nez avec ta pseudo science à deux balles ! Si tu t'es senti visé, je m'en fous, qui se sent morveux se mouche

                              Un vrai drari !
                              Grandis un peu, bahdelt brouhek

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