Evènement qui a changé votre vie

[Megane]

Bonjour à tous,

Il y a comme ca des évènements dans notre parcours de vie, qui changent les cours des choses ou qui vous changent de l'intérieur.

Une rencontre, un déménagement, un état de santé,une naissance, un deuil, il y a comme ça des évènements qui bouleversent tout dans la vie.

Et vous quel(s) évènement(s) a changé votre vie?

[absente]

Pour moi c'est un deuil ensuite un déménagement, vient aprés une rencontre et pour finir une naissance. à chaque fois, ma vie changeait



Sans plus de détail

[CarpDiem]

Le plus gros changement pour moi c'est un deuil aussi y'a de cela 16 ans ....

[absente]

Trouver un emploi
Et quitter la maison familiale

[absente]

Un accident... Qui a bouleversé ma vie.
Un voyage... Qui m a éloigné des miens.
Une rencontre... Qui a donné tout son sens à ma vie.
Une naissance... Qui a et qui fait mon bonheur aujourd'hui.
Puis, une nouvelle rencontre... Pas comme les autres.

Édit :

Sans plus de détail

Ça sera trop long sinon

[Penthy]

Boulot, puis demenagement, mariage et encore demenagement, une naissance..

[Phileas]

en faite, c'est un événement sportif,
c'est depuis que j'ai eu ma première pénétration au court de tennis contre l’équivalent de serena williams algerienne que ma vie a eu un sens et même de l'essence.

[Tommy]

Evènement qui a changé votre vie

Évidement, O qu'il l'a changé ...

[Inata]

Un accident... Qui a bouleversé ma vie.
Un voyage... Qui m a éloigné des miens.
Une rencontre... Qui a donné tout son sens à ma vie.
Une naissance... Qui a et qui fait mon bonheur aujourd'hui.
Puis, une nouvelle rencontre... Pas comme les autres.

Pas loin du même destin ma chouchoute.

De perpétuels changements....

[Risk]

j'étais en classe de 4ème année primaire (sana rabi3a), tachikht ennagh tchiy3iyid chez sa collègue lui ramener un livre d'éducation islamique, j'aimais sortir dl a classe pendant que tout les autres élèves y étaient cloîtrés, j'avais la cour à moi tout seul

le seul hic c'est que j'étais beaucoup trop timide, pénétrer dans une classe avec toute ces paires d'yeux rivés sur moi m’angoissait, et la maîtresse de classe que je devais voir avait une réputation de flingueuse (wa3ra tsarfag sans piti), l'air été frais et les fleurs qui entouraient le bout de terre en cercle au centre duquel était planté le pique qui soulevait la fierté en vert blanc et rouge étaient belles avec la rosée en perle scintillantes au soleil matinale.

je m'était attardé un peu devant le drapeau qui claquait au vent, ma main disposée devant mes yeux les protégeant tant bien que mal de la densité lumineuse qui essayait de m’empêcher d'admirer la légèreté et la grâce avec laquelle le vent libre faisait danser le tissus fin sur lequel étaient brodé le croissant et l'étoile. je trouvais la scène magnifique ... puis, un nœud me serra le coeur à la pensée que jamais je n'ai participé à la cérémonie qui avait lie au début de chaque semaine et sa fin, le directeur ne m'avais jusqu'alors jamais désigné pour tirer sur la corde fine qui hissait le drapeau sous le chant désordonné des centaines d'élèves... il ne m'avait pas désigné par la suite non plus, en revanche il m'a donné une gifle monumentale quand une matinée nous rentrions dans l'enceinte de l'école avec 2 de mes camarades chacun la main sur l'épaule de l'autre, j'étais au milieu des deux et mes pieds ne touchaient plus le sol, on rigolait quand cet affreux bonhomme a surgit comme un crabe qui avance sur le coté de derrière le portail de l'école, d'un geste il fit glisser sa main sur trois nos joues en grondant.

après cet instant solennel devant la3lam, je traçais vers la classe de madame Slimani, bien éduqué je frappe à la porte, le brouhaha de "sti sti sti sti" se tut et une voix roque au féminin m'invita à entrer, en traversant la classe pour rejoindre la maîtresse qui était sur son bureau, voilée aux épaules larges je jeta un coup d'eoil à la classe, et parmi les têtes innombrables de toute les formes et de toutes les couleurs, j'apérçu celle d'un ami qui rigolait, un main soulevée en signe de "coucou" vint me confirmer qu'il s'agissait bien de lui.

je vous épargne l'échange avec l'instite, je rentre à ma classe, donne le livre à la maitresse, je rejoins ma place et retrouve mon camarade entrain de dessiner CRB sur la table en bois déjà bien marquée par les hiéroglyphes des anciens.

essoufflé, je regarde celle pour qui j'avais le béguin à l'époque avec ses kikinette et sa voix de moineau qui répondait à une question lâchée par la proff quand un crépitement régulier se fit entendre, on aurait dit le bruit que lâchait le tapis de notre salle à manger quand ma mère le punissait d'être sale en lui donnant des coups de bâton pour lui faire cracher sa poussière, mais les coup sétaient beaucoup plus rapide, Al Mo3allima s'est levée en regardant vers les fenêtres et a crié "tabsouu!" comme une folle

les coups avaient repris, devenaient plus intenses, d'autres leur répondaient, j'avais le coeur qui battait au point que ca me faisait mal, le carrelage contre ma joue était froid, les coups n'en arrêtaient pas, des fillettes commençaient à crier, mon camarade me tenait par le bras tandis que dehors lballout se décharnait.

une accalmie survint après quelques longues minutes, mes genoux avait du mal à me soulever quand j'aperçus notre maîtresse se relever, les quelques audacieux se sont mis debout avant les autres, j'étais de ceux là mais je me sentais sur le point de flancher, à peine debout que les coups avaient repris... de nouveau à plat ventre.

dehors c'était l'enfer, ca ne s'arrêtait pas, beaucoup se sont mis à pleurer, don mon camarade, au bout d'une demie heure au moins on entendit des voix dehors, la prof s'est ruée tête baissé vers la porte ... des murmures ... puis de sa voix nous cria de sortir : aya noudou khaffou!

loin de ressembler à un mouvement de panique, nous sortimes avec précipitations en laissant tout derrières nous, la sortie n'était pas très loin de notre classe, c'était la première que je voyais les deux portails de l'école ouverts ... les coups de feux reprirent peu de temps avant que je n'ai quitté l'enceinte de l'école, je me suis mis à courir et en traversant les premiers immeubles je vis des adultes accourir dispersés à moitié debout, je reconnus un voisin, le grand frère d'une camarade tout en courant, au niveau de la pharmacie j'entendis mon prénom, ma pauvre mère était là haffiana pieds nus.

tu vas bien??! me criait t-elle en me secouant? va à la maison ne te retourne surtout pas! je vais ramener ta sœur, et au milieux des crépitements je la vit courir vers l'enfer d'où je venais de m’échapper.

à la maison, où la porte était restée ouverte, je retrouva ma sœur en train de pleurer réfugiée derrière le rideau de la cuisine ... le CEM duquel elle s'ets sauvé était à l'opposé de l'école primaire, mais elle me répétait qu'elle avait vu des voitures fuser et des gendarmes à couvert dernier les protection de la gendarmerie avoisinante..., les coups de feu pleuvait on aurait dit l'mouloud, quelques minutes à peine ma mère rentra avec ma petite soeur...

plus tard, aux infos, on annonçait qu'un guet-apens avait étét endu à un groupe de terroristes, 16 ont été éliminé.

[Inata]

Désolée Riskounet pour tout cela, j'ai de la peine pour "nous". Ca a changé la vie de tous les algériens.

[Risk]

coucou nanatou, il ne faut pas

plus de peur que de mal pour cette foi là.

[absente]

ah oui ...nous avons été tous terrorisés avec cette période
perso m'hirqa takhla3niwellat 3andi al khal3a

alors après cette décennie noire :
Dés études que je n'ai jamais voulu faire ....mais dart'houm
un mariage , une naissance et une autre naissance magique

[Risk]

mallow: ma t'khafich, rana ga3 khayfine

que ton bonheur ne cesse jamais inchallah

[absent]

Dés études que je n'ai jamais voulu faire ....mais dart'houm
un mariage , une naissance et une autre naissance magiqu

Mallow, tu ne serais pas ma cousine comme par hasard, elle a fait les mêmes études que toi, des études qu'elle n'a jamais voulu faire, elle a deux gosses, et ça fait quelques mois qu'elle a accouchée d'une fille :22:

Événement qui a changé votre vie

Jusqu'à présent une petite vie qui coule comment un fleuve tranquille.