Pour ceux ou celle que ça intéresse!!
Les couples ont toujours désiré pouvoir choisir le sexe de leurs enfants, mais, jusqu'à présent,sans beaucoup de succès. Il est vrai que le choix ne modifierait pas radicalement la répartition entre les sexes, puisque l'on estime que les garçons seraient 52% si cette possibilité était offerte. Mais il suffit d'une petite variation du taux pour que la face du monde en soit changée, le sexe mâle étant réputé pour son agressivité... Le problème serait sans doute plus aigu dans des pays comme la Chine, où, pour des raisons démographiques, un seul enfant par couple est autorisé. Et les Chinois, s'ils avaient le choix, préféreraient à une large majorité avoir un garçon.
Mais, pour l'heure, cette perspective relève de l'utopie et les différentes techniques préconisées sont loin d'être couronnées de succès.
Il existe depuis longtemps des méthodes locales :
- On a remarqué que les spermatozoïdes porteurs d'un chromosome Y sont plus rapides que les autres. Un rapport qui aurait lieu le jour même de la fécondation favoriserait ainsi les Y, car ils seraient les premiers au rendez-vous avec l'ovule. À l'inverse, un rapport sexuel qui se déroulerait quelques jours avant l'ovulation donnerait l'avantage aux X, parce qu'ils arriveraient au bon moment pour la rencontre et qu'ils sont peut être plus vaillants. Donc, que votre cœur balance pour un garçon ou pour une fille, choisissez bien votre jour.
- Dans le même ordre d'idées, on a remarqué que les rapports sexuels fréquents rendent les spermatozoïdes d'une part moins nombreux et d'autre part paresseux. On dit qu'il s'agit d'une asthénospermie, et celle-ci favoriserait la naissance d'une fille. Donc, pour avoir un garçon, il est préférable de rester abstinent plusieurs jours.
- On a également évoqué le rôle du milieu : le sexe des enfants pourrait dépendre de l'acidité du vagin. Si celui-ci est plutôt acide, cela favoriserait la naissance d'une fille, alors qu'un milieu alcalin offrirait plus de chances aux garçons. Il suffirait donc, selon une recette déjà ancienne, de faire un lavage vaginal avec un mélange d'eau tiède et de vinaigre (une à deux cuillerées pour un litre d'eau) pour avoir une fille, et avec du bicarbonate de soude pour espérer un garçon.
- L'orgasme féminin est peu recommandé pour engendrer une fille, alors qu'il doit être le plus fort possible pour mettre au monde un garçon : dans ce dernier cas, les contractions utérines sont très fortes, ce qui favoriserait la migration plus rapide des spermatozoïdes Y.
- La méthode la plus scientifique consiste, bien sûr, à séparer les spermatozoïdes X et Y, puis à procéder à une insémination artificielle. Cette technique est en expérimentation au Japon et aurait donné de bons résultats.
- Enfin, si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté, il faut suivre un régime alimentaire. Cette méthode a été mise au point par un médecin français, le Pr. Stolkowki, et, selon les dernières estimations, elle serait efficace dans près de 80% des cas. Son efficacité est toute relative : sans rien faire, vous avez déjè 50% de chances d'avoir un garçon...
Ce régime est relativement simple, puisqu'il consiste schématiquement à saler au maximum la cuisine pour avoir un garçon et à saler le moins possible pour une fille. Mais il présente un inconvénient : il doit être très rigoureux et commencer au moins trois mois avant la conception.
Les couples ont toujours désiré pouvoir choisir le sexe de leurs enfants, mais, jusqu'à présent,sans beaucoup de succès. Il est vrai que le choix ne modifierait pas radicalement la répartition entre les sexes, puisque l'on estime que les garçons seraient 52% si cette possibilité était offerte. Mais il suffit d'une petite variation du taux pour que la face du monde en soit changée, le sexe mâle étant réputé pour son agressivité... Le problème serait sans doute plus aigu dans des pays comme la Chine, où, pour des raisons démographiques, un seul enfant par couple est autorisé. Et les Chinois, s'ils avaient le choix, préféreraient à une large majorité avoir un garçon.
Mais, pour l'heure, cette perspective relève de l'utopie et les différentes techniques préconisées sont loin d'être couronnées de succès.
Il existe depuis longtemps des méthodes locales :
- On a remarqué que les spermatozoïdes porteurs d'un chromosome Y sont plus rapides que les autres. Un rapport qui aurait lieu le jour même de la fécondation favoriserait ainsi les Y, car ils seraient les premiers au rendez-vous avec l'ovule. À l'inverse, un rapport sexuel qui se déroulerait quelques jours avant l'ovulation donnerait l'avantage aux X, parce qu'ils arriveraient au bon moment pour la rencontre et qu'ils sont peut être plus vaillants. Donc, que votre cœur balance pour un garçon ou pour une fille, choisissez bien votre jour.
- Dans le même ordre d'idées, on a remarqué que les rapports sexuels fréquents rendent les spermatozoïdes d'une part moins nombreux et d'autre part paresseux. On dit qu'il s'agit d'une asthénospermie, et celle-ci favoriserait la naissance d'une fille. Donc, pour avoir un garçon, il est préférable de rester abstinent plusieurs jours.
- On a également évoqué le rôle du milieu : le sexe des enfants pourrait dépendre de l'acidité du vagin. Si celui-ci est plutôt acide, cela favoriserait la naissance d'une fille, alors qu'un milieu alcalin offrirait plus de chances aux garçons. Il suffirait donc, selon une recette déjà ancienne, de faire un lavage vaginal avec un mélange d'eau tiède et de vinaigre (une à deux cuillerées pour un litre d'eau) pour avoir une fille, et avec du bicarbonate de soude pour espérer un garçon.
- L'orgasme féminin est peu recommandé pour engendrer une fille, alors qu'il doit être le plus fort possible pour mettre au monde un garçon : dans ce dernier cas, les contractions utérines sont très fortes, ce qui favoriserait la migration plus rapide des spermatozoïdes Y.
- La méthode la plus scientifique consiste, bien sûr, à séparer les spermatozoïdes X et Y, puis à procéder à une insémination artificielle. Cette technique est en expérimentation au Japon et aurait donné de bons résultats.
- Enfin, si vous voulez mettre toutes les chances de votre côté, il faut suivre un régime alimentaire. Cette méthode a été mise au point par un médecin français, le Pr. Stolkowki, et, selon les dernières estimations, elle serait efficace dans près de 80% des cas. Son efficacité est toute relative : sans rien faire, vous avez déjè 50% de chances d'avoir un garçon...
Ce régime est relativement simple, puisqu'il consiste schématiquement à saler au maximum la cuisine pour avoir un garçon et à saler le moins possible pour une fille. Mais il présente un inconvénient : il doit être très rigoureux et commencer au moins trois mois avant la conception.
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