Prix Nobel de la Paix.
« Il aurait dû me revenir », plaisante Assad
Le président syrien Bachar al-Assad a déclaré en plaisantant qu’il aurait dû recevoir le prix Nobel de la paix attribué vendredi à l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC),, a rapporté lundi le quotidien libanais pro-syrien Al-Akhbar.Le prestigieux prix que l’OIAC a obtenu pour sa mission de démantèlement de l’arsenal chimique syrien « aurait dû me revenir », a déclaré M. Assad, selon le quotidien. Le journal, qui ne précise pas quand ni dans quel contexte cette déclaration a été recueillie, rappelle que M. Assad a par le passé plusieurs fois plaidé en faveur d’un Proche-Orient débarrassé de toutes formes d’armes de destruction massive.
Après l’annonce du prix attribué à l’OIAC, plusieurs militants anti-Assad avaient déjà estimé que ce choix récompensait aussi le président Assad. « Bachar aurait dû emporter la moitié du prix en raison de sa merveilleuse coopération », avait ironisé un internaute sur Facebook, en référence aux éloges internationaux sur la coopération du régime de Damas avec les experts chargés de superviser la destruction de son arsenal chimique.
reuters (ouest france)
« Il aurait dû me revenir », plaisante Assad
Le président syrien Bachar al-Assad a déclaré en plaisantant qu’il aurait dû recevoir le prix Nobel de la paix attribué vendredi à l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC),, a rapporté lundi le quotidien libanais pro-syrien Al-Akhbar.Le prestigieux prix que l’OIAC a obtenu pour sa mission de démantèlement de l’arsenal chimique syrien « aurait dû me revenir », a déclaré M. Assad, selon le quotidien. Le journal, qui ne précise pas quand ni dans quel contexte cette déclaration a été recueillie, rappelle que M. Assad a par le passé plusieurs fois plaidé en faveur d’un Proche-Orient débarrassé de toutes formes d’armes de destruction massive.
Après l’annonce du prix attribué à l’OIAC, plusieurs militants anti-Assad avaient déjà estimé que ce choix récompensait aussi le président Assad. « Bachar aurait dû emporter la moitié du prix en raison de sa merveilleuse coopération », avait ironisé un internaute sur Facebook, en référence aux éloges internationaux sur la coopération du régime de Damas avec les experts chargés de superviser la destruction de son arsenal chimique.
reuters (ouest france)
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