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Rabah KEBIR veut revenir sur la scène politique

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  • Rabah KEBIR veut revenir sur la scène politique

    Ce qui était des suspicions vient de se confirmer, Rabah KEBIE et les autres membre du FIS ne sont pas prêt à renoncer à leur projet de création d’un parti politique et l’instauration d’un Etat islamique en Algérie. C’est ce qui ressort de la conférence de presse donnée par Rabah KEBIR. Celui-ci se permet même de parler au nom du peuple et de donner des conseils au président de la république. Ali Benhadj voulait lui aussi donner sa conférence de presse mais a été empêché par Madani Mezrag. Quelle mascarade !!

    Pourtant, la Charte pour la paix et la réconciliation, les discours du président Abdelaziz Bouteflika et de son ministre de l’Intérieur stipulent l’interdiction du retour aux affaires publiques des chefs de l’ex-FIS.

    __________________________________________
    Rabah Kébir n’est plus poursuivi par la justice
    « Nous ne renoncerons pas à nos droits politiques »


    El-Watan
    19/09/06
    Adlène Meddi

    « Nous ne sommes pas pressés pour le moment pour l’activité politique. Nous voulons aujourd’hui renforcer la paix. Au moment venu, nous aurons un projet politique. Nous ne renoncerons pas à nos droits politiques », a déclaré hier Rabah Kébir, chef de l’instance exécutive de l’ex-FIS à l’étranger, lors d’une conférence de presse à Bouzaréah, sur les hauteurs d’Alger, dans une villa – anciennement siège de Khalifa Bank – appartenant au député indépendant Ahmed Boufracha, ex-élément de l’insurrection islamiste armée des années 1980 et homme d’affaires.

    Au lendemain de son retour d’Allemagne après 15 ans d’absence, avec deux autres leaders du parti dissous, Abdelkrim Ghemati et Abdelkrim Ould Adda, Rabah Kébir, contesté par le « groupe d’Alger » (Benhadj, Boukhamkham, Djeddi, Guemazi), semble sûr de la reprise de l’activité politique du parti dissous. « Pour nous, le FIS comme sigle n’est pas le Coran, c’est un moyen et non une fin. Quand le PPA (Parti du peuple algérien) a été interdit, d’autres partis ont pris le flambeau et il y a eu l’indépendance », a-t-il dit hier.

    Pourtant, la Charte pour la paix et la réconciliation, les discours du président Abdelaziz Bouteflika et de son ministre de l’Intérieur stipulent l’interdiction du retour aux affaires publiques des chefs de l’ex-FIS. « Rien ne nous empêche de bénéficier de nos droits en coordination avec tous les acteurs importants de l’Algérie (…) Je n’ai pas trouvé dans les déclarations du président de la République des notions d’exclusion. »

    Le ministère de l’Intérieur, pour rappel, avait refusé d’agréer le parti Wafa de l’ex-ministre des Affaires étrangères Ahmed Taleb Ibrahimi sous motif de « présence de militants du parti dissous » dans cette formation. « C’est l’approche du ministre de l’Intérieur et je ne connais pas ses véritables intentions. C’est un discours politique, c’est-à-dire un discours qui convient à une étape donnée. Un citoyen peut être privé de ses droits civiques, mais pour une période donnée, pas jusqu’au Jugement dernier », a plaidé Rabah Kébir.

    A l’approche des législatives de 2007, Kébir ne cache pas ses ambitions : « La participation aux élections sera étudiée en temps opportun. » Kébir rêve-t-il encore de l’instauration d’un Etat islamique en Algérie, 15 ans de tueries après ? « L’Etat islamique (addawla el islamiya) est le souhait du peuple. Nous ne demandons pas plus que l’application de la déclaration du 1er novembre 1954 qui parle d’un Etat islamique. En disant cela, les gens ne veulent pas d’un système importé, comme celui des talibans ou autre. »

    Kébir a exhorté « tous ceux qui sont encore dans l’action armée de faire confiance à leur Etat et à profiter des lois actuelles pour réintégrer la société en toute sécurité ». « Les motivations politiques, morales ou religieuses de l’action armée n’ont plus de raison d’être. L’Etat se dirige de manière sincère vers une politique qui fait participer les citoyens à la décision », a-t-il ajouté, estimant que « les actions armées ont diminué et la situation sécuritaire s’est améliorée. Il reste qu’il existe des extrémistes dans les deux camps. Ce sont eux qui profitent de la crise ».

    Kébir semble ignorer que l’ultimatum des redditions est dépassé. Réagissant à la confirmation de l’allégeance du GSPC à Al Qaîda, Rabah Kébir a indiqué qu’il était « contre tout attache avec une partie étrangère, et ce, depuis le début ». Il ne précise pas le contexte historique de ce « début ». Il s’est dit « prêt à œuvrer pour consolider la réconciliation, avec tout le monde, au sein du pouvoir, même si on est en désaccord sur certaines lectures politiques, avec la classe politique et la société ». Il a précisé les « responsabilités du pouvoir » : « Accélérer l’application des lois de la charte et le faire de la meilleure manière possible. Il n’est pas possible qu’on ne réintègre pas ceux qui avaient été licenciés et de leur octroyer de faibles indemnisations. Il faut éviter la marginalisation des uns ou des autres. C’est là une des raisons de la crise ».

    Kébir a accusé « certaines parties » qui veulent « vider ces lois de leur contenu ». « Des institutions importantes de l’Etat soutiennent la réconciliation : dans l’armée et dans les services de sécurité, c’est là où on y tient le plus », a-t-il souligné, sans plus de détails. Les détails, c’est exactement ce qui manquait aux déclarations de Kébir. Comment a-t-il pu fuir le pays au début des années 1990 alors qu’il était en surveillance surveillée ? « Ce n’est pas important d’en parler. Cela appartient à l’histoire. J’ai pu partir dans des circonstances simples et personnelles », a-t-il répondu. Intervient alors Dalila Kouidri, proche de disparus, qui souligne que même si elle appuie la réconciliation, il reste que le dossier des disparus reste pendant. Kébir a répondu, estimant que des membres de sa famille sont concernés par ce dossier et que le président Bouteflika devrait prêter « une attention particulière à ce dossier piégé ». « Les indemnisations est une chose et la vérité est une autre » : la phrase de Mme Kouidri se perd dans le brouhaha qui suit la fin de la conférence de presse. Personne n’en tient compte. On sert des petits fours, des salés et des jus de fruits. Ali Benhadj, le numéro deux de l’ex-FIS, est empêché de tenir sa propre conférence de presse par Madani Mezrag, le chef de l’ex-Armée islamique du salut (AIS), qui joue le rôle du chef du service d’ordre. A signaler la présence de Kacem Kébir, dissident du RND d’Ahmed Ouyahia.
    Dernière modification par shadok, 19 septembre 2006, 16h12.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

  • #2
    Eh ben

    Qu'il essait voir de faire de la politique ..

    Le texte auquel le peuple Algerien a voter ne souffre d'aucune faiblesse car justement il tire sa force et sa legitimité de ce vote .

    Qu'il essait voir ..

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    • #3
      Cette bande d’ignorants doit comprendre qu’elle n’est pas la bienvenu en Algérie même si certains leurs ont accordé le pardon. Qu’ils se taisent une fois pour toute et arrentent de provoquer la population qui a souffert de leurs actes et discours extrémistes.

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      • #4
        Safyo,

        A chaque fois que je te lis , soit je ne comprend rien á ce que tu veux dire soit tu me fais rire á ne plus pouvoir respirer,comment compte tu les empécher de refaire de la politique si Ton president et Ton premier ministre leur ont promis plus que ca, cád l'instauration d'une alternance au pouvoir le moment venu, comme quoi la succession se fait du père au fils puis au saint esprit.
        Stp ne me repond paqs avec des fleurs et des phrases incompréhensibles,
        Merci d'avance

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        • #5
          fis

          slt une bonne manifestation dans tout le pays cai ca qui faut pour leur montres quils ne sont pas les bien venus jai deja ete choque pour cette chartre de pantins d apres tout les specialistes ils remontronts tous dans le maquis tot ou tard? mais la ressources a bloc et mieux equipes et renseignes ca feras tres mal

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          • #6
            Ce n'est pas une manifestation qui les fera reculer ou dissuader de vouloir instaurer une république islamique mais une mobilisation de tous les democrates et des combattants de la democratie et des victimes du terrorisme islamiste amorcé par le Fis et continué par les differents Gia et autres.
            le combat de la democratie veritable n'est pas fini,il doit etre dirrigé contre ce pouvoir Fln (aile belkhadem) et contre tous les mouvements arabistes et islamistes qui ne visent qu'á maintenir le peuple algerien dans l'esclavagisme intellectuel, culturel et civilsationnel, leur but est le même, revenir au féodalisme d'antan où tout le monde disait sidi ou mouley.

            Le combat est aussi de jurer de faire juger tous ces criminels que boutef a amnistié au detriment du peuple algerien qui a souffert de leur crime impunis.

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            • #7
              Safyo

              Alors agit car là encore une fois après Belhadj c'est Kebir qui viole la loi et il ne se passe rien ; serait ce une immense duperie ???????
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                Alors agit car là encore une fois après Belhadj c'est Kebir qui viole la loi et il ne se passe rien ; serait ce une immense duperie ???????


                ChUUUUUUUUT!

                Commentaire


                • #9
                  l'algeriens aujourdhui veux VIIIIIIIIIIIIVRE , il veut la etre LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIBRE

                  Reponse:
                  Tu me fais rire.

                  Commentaire


                  • #10
                    Morte de rire,

                    Tu crois que ce sont ces forumistes qui veulent enlever ta liberté ? Si tu veux vraiment être lire, bats-toi pour elle.

                    Franchement, moi ça me désole le retour du FIS mais en même temps le peuple algérien l'a bien cherché, bientôt il ne lui restera plus que ses yeux pour pleurer, puisqu'ils ont oublié la justice et l'importance de la rendre en pardonnant à des criminels.

                    Commentaire


                    • #11
                      Morte de rire,

                      Tu crois que ce sont ces forumistes qui veulent enlever ta liberté ? Si tu veux vraiment être lire, bats-toi pour elle.

                      Franchement, moi ça me désole le retour du FIS mais en même temps le peuple algérien l'a bien cherché, bientôt il ne lui restera plus que ses yeux pour pleurer, puisqu'ils ont oublié la justice et l'importance de la rendre en pardonnant à des criminels.

                      Reponse:
                      Les yeux pour pleurer et les jambes pour aller le plus loin possible.

                      Commentaire


                      • #12
                        On devrait leur offrir un billet aller simple pour Guantanamo

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                        • #13
                          rabi3

                          si Ton president et Ton premier ministre
                          Ce sont des jugements et des procès d'intentions grave .

                          Je ne vois pas comment tu peut te permettre d'ecrire ceci .

                          Par ailleurs j'aimerais dire ceci :

                          Une democratie de la mediocrité et de la passivité est une démocratie faible .

                          La République sera toujours là pour lutter contre les extrémismes et les anarchistes .

                          Mais d'un autre côté cela commence à bien suffire de se tenir à elle comme a une mammelle .

                          La Cohesion nationale est le rempart fort .

                          Alors si l'ont commençait par arrêter d'insulter et d'invectiver (Violence) , de mentir (Démagogie),et d'être crédule ( Faiblesse) devant des sirènes ( Corrupteur et Diviseur) qui ne cherche que leur intérêts propre je crois que l'ont aura fait un grand pas .

                          Commentaire


                          • #14
                            fis

                            slt kuchiky entierement d accord avec toi ils y en a qui ont oublies les 12annees passees je parle meme pas des deces civils quils degagent et quils degagent

                            Commentaire


                            • #15
                              fis

                              Algérie - Le retour de Rabah Kebir d’Allemagne a eu du moins le mérite de conforter les informations qui ont circulé sur la crise profonde qui mine les instances exécutives du parti dissous à l’étranger.

                              D’ores et déjà, l’arrivée de Rabah Kebir, qui, rappelons-le, avait fui le territoire national via le Maroc, après son assignation à domicile par la justice algérienne en 1992, a relégué au second plan l’ex-numéro 2 du parti dissous.

                              Le tonitruant dirigeant islamiste du parti interdit a fait dans la figuration lors de l’arrivée de Kebir à l’aéroport Houari Boumediène. Pis encore, l’ex-chef du bras armé du FIS dissous, Madani Mezrag, ne s’est pas contenté de lui ravir la vedette, il l’a même empêché de prendre la parole avant-hier, lors de la conférence de presse animée par Rabah Kebir à Bouzaréah.

                              Une manière de signifier à l’ex-locataire de la prison de Blida que, désormais, il ne compte plus dans les tablettes de l’instance exécutive à l’étranger de l’ex-parti dissous, en quête désespérément d’une concession politique du pouvoir.

                              En d’autres termes, la transformation du deal obtenu grâce à la trêve de l’AIS et son approfondissement avec la loi sur la concorde civile en un acquis politique et, de là, permettre aux mentors politiques de l’ex-bras armé du parti politique de revenir sur la scène.

                              Ali Benhadj, à qui on a empêché hier l’accès à la maison de la presse Tahar Djaout, n’a pas manqué de répondre à cet affront de ses ex-compagnons du parti dissous en leur lançant, à travers les confrères présents, un défi pour l’organisation d’un congrès national. «Qu’ils convoquent un congrès national et on verra s’ils réussiront à faire admettre leur position de soutien à la politique de réconciliation nationale», avait-il déclaré.

                              Rabah Kebir n’a pas caché ses ambitions politiques dès son retour au pays: il l’a clairement signifié, avant même qu’il ne quitte son exil en Allemagne, en affirmant qu’il revient en éclaireur en Algérie.

                              Cette attitude a été également confortée par Anouar Haddam, lors de son passage avant-hier à El Djazeera. Ce dernier, qui a appuyé la politique de réconciliation nationale, a affirmé que son retour dépend des dividendes politiques qui seront engrangés par la démarche de son compère de l’instance exécutive.

                              Quand Rabah Kebir parle de droits politiques, Haddam, lui, refuse de revenir aux thèses de «qui tue qui?», à condition que le pouvoir, selon ses propos, transforme la charte pour la paix et la réconciliation en une ouverture politique sur l’ensemble des acteurs de la scène politique d’avant l’interruption du processus électoral.

                              A relever également que l’attitude affichée par Kebir et l’ex-responsable du bras armé du parti dissous face à l’ex-numéro 2 du même parti remonte aux batailles sanglantes qui ont opposé l’AIS à son rival le GIA, dont l’émir Gousmi Chérif avait la bénédiction du cheikh qui se morfond dans sa solitude politique.

                              Ces batailles, il faut le rappeler, ont conduit à la liquidation de deux importants dirigeants du FIS dissous issus du congrès de Batna, à savoir Belkacem Lounis, dit Mohand Saïd, et Abdelkader Hachani. Ce conflit s’est affiché publiquement lors de la polémique qui a éclaté entre Abassi Madani et ses ex-partisans de la Djazaara, dont Mustapha Dehina est l’un des ténors à l’étranger.

                              Ce dernier a démissionné des instances exécutives du parti dissous en pleine campagne autour du referendum pour la charte, suite à l’attitude ambiguë de l’ex-numéro 1 du FIS dissous face à la politique de réconciliation nationale du Président Bouteflika.

                              Le retour de Rabah Kebir a démontré, du moins, que les dirigeants du parti dissous ne sont plus sur la même longueur d’onde. En solitaire, Ali Benhadj continue de refuser la charte pour la paix et la réconciliation nationale, rejoignant ainsi l’attitude affichée par l’émir Droudkal du GSPC.

                              Lui tournant le dos, les responsables des instances exécutives du FIS dissous appuient la charte, tout en revendiquant des dividendes politiques.

                              Il est à rappeler aussi que Abassi Madani a lâché son fidèle compagnon d’hier en appelant de Qatar, pays où il réside, le GSPC à déposer les armes, s’alignant de la sorte sur la démarche de Kebir et Anouar Haddam.

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