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Malgré le fait que les trois opérateurs ont pu obtenir des licences provisoires pour l’exploitation de la 3G en Algérie, le problème de l’opérateur Orascom télécom Algérie (OTA) continue de se poser encore.
En effet, au cours de la semaine prochaine, les trois opérateurs seront appelés a justifier leurs situations vis-à-vis de la Cnas, des impôts ainsi que de la Banque d’Algérie. Pour précision le cahier des charges relatif à la 3G contient des dispositions qui exigent des soumissionnaires l'obtention d'un quitus de la part de la Banque d'Algérie pour pouvoir bénéficier d'une licence d'exploitation.
De ce fait, le litige qui oppose les autorités algériennes à l’opérateur Djezzy relatif au non paiement du montant du redressement fiscal qui lui est imposé. Un montant de 193 millions de dollars à payer à la Banque d’Algérie risque. L’opérateur, rappelons-le, a nié être redevable à la Banque d’Algérie affirmant même avoir réglé la totalité de son due, ce qui mené l’affaire à l’arbitrage international.
Contactée pour avoir plus d’informations, la Banque d’Algérie a préféré garder son « droit de réserve » concernant cette affaire préférant s’exprimer plus tard vu la sensibilité de la situation. De son côté, le président de la Commission de l’appel à la concurrence auprès de l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT), Mahgoune Salah a indiqué que djezzy n’a pas remis à l'ARPT le quitus de la Banque d’Algérie.
Théoriquement, l’ARPT rejettera le dossier Djezzy si ce dernier ne présente pas le fameux quitus de la BA. Le tout est de savoir quelle sera la décision du gouvernement puisque la décision lui revient de fait, même si le dossier de la 3G est considéré comme un dossier purement technique.
Khelifa Litamine
En effet, au cours de la semaine prochaine, les trois opérateurs seront appelés a justifier leurs situations vis-à-vis de la Cnas, des impôts ainsi que de la Banque d’Algérie. Pour précision le cahier des charges relatif à la 3G contient des dispositions qui exigent des soumissionnaires l'obtention d'un quitus de la part de la Banque d'Algérie pour pouvoir bénéficier d'une licence d'exploitation.
De ce fait, le litige qui oppose les autorités algériennes à l’opérateur Djezzy relatif au non paiement du montant du redressement fiscal qui lui est imposé. Un montant de 193 millions de dollars à payer à la Banque d’Algérie risque. L’opérateur, rappelons-le, a nié être redevable à la Banque d’Algérie affirmant même avoir réglé la totalité de son due, ce qui mené l’affaire à l’arbitrage international.
Contactée pour avoir plus d’informations, la Banque d’Algérie a préféré garder son « droit de réserve » concernant cette affaire préférant s’exprimer plus tard vu la sensibilité de la situation. De son côté, le président de la Commission de l’appel à la concurrence auprès de l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT), Mahgoune Salah a indiqué que djezzy n’a pas remis à l'ARPT le quitus de la Banque d’Algérie.
Théoriquement, l’ARPT rejettera le dossier Djezzy si ce dernier ne présente pas le fameux quitus de la BA. Le tout est de savoir quelle sera la décision du gouvernement puisque la décision lui revient de fait, même si le dossier de la 3G est considéré comme un dossier purement technique.
Khelifa Litamine