Tweet
Hafid Derradji dévoile son caractère indigne : «A la place de l’ENTV, j’aurais menti aux responsables d'Al-Jazeera»
Hafid Derradji n’aurait pas dû répondre aux questions de notre confrère El-Watan. En voulant se défendre, le commentateur de matchs de football sur la chaîne qatarie Al-Jazeera n’a fait qu’aggraver son cas en se fourvoyant dans des contradictions à n’en plus finir. A la question : «Vous qui avez été DG adjoint, patron de l’info et du service des sports à l’ENTV, auriez-vous piraté le match entre le Burkina Faso et l’Algérie, si vous étiez encore en fonction ?», l’ancien employé de l’ENTV répond tout de go, comme pour s’absoudre du péché originel : «Jamais je ne l’aurais fait !» Mais, plus loin, le même Derradji se dédit en affirmant, en réponse à la question : «La décision de pirater le match a-t-elle été prise par le DG de la télévision ?», que «le DG de la télévision ne peut pas prendre une telle décision (pirater le match, ndlr). Même le ministre ne peut pas le faire. Cette décision a été décidée au plus haut niveau». Comment, alors, aurait-il pu, lui, en tant que directeur général adjoint, s’opposer à une telle décision venant d’en-haut ? Cette contradiction flagrante n’est pas la seule. A la question antithétique : «Mais les responsables d’Al-Jazeera Sport ont subordonné la vente du match à l’ouverture d’un bureau de la chaîne à Alger», le défenseur acharné de la télévision des Al-Thani décrète que cela est «faux», avant d’affirmer le contraire, sans transition aucune : «Les responsables d’Al-Jazeera Sport ont demandé aux responsables de la Télévision algérienne de les aider à obtenir une autorisation pour l’ouverture d’un bureau à partir du mois de janvier à Alger.» S’enfonçant davantage dans sa fausseté, Hafid Derradji déclare, sans rougir, qu’à la place des responsables actuels de l’ENTV, au lieu de pirater le match Burkina Faso-Algérie, il aurait fait preuve de malhonnêteté, d’hypocrisie et de mensonge en procédant de la sorte : «J’aurais accepté la demande qatarie, diffusé le match et, le lendemain, j’aurais dit aux responsables de la chaîne sportive que l’ouverture d’un bureau n’était pas de la compétence de la Télévision nationale.» Hafid Derradji vient de tomber le masque en dévoilant son véritable caractère fourbe et indigne. Il aurait mieux fait de se taire.
Algérie patriotique
Hafid Derradji n’aurait pas dû répondre aux questions de notre confrère El-Watan. En voulant se défendre, le commentateur de matchs de football sur la chaîne qatarie Al-Jazeera n’a fait qu’aggraver son cas en se fourvoyant dans des contradictions à n’en plus finir. A la question : «Vous qui avez été DG adjoint, patron de l’info et du service des sports à l’ENTV, auriez-vous piraté le match entre le Burkina Faso et l’Algérie, si vous étiez encore en fonction ?», l’ancien employé de l’ENTV répond tout de go, comme pour s’absoudre du péché originel : «Jamais je ne l’aurais fait !» Mais, plus loin, le même Derradji se dédit en affirmant, en réponse à la question : «La décision de pirater le match a-t-elle été prise par le DG de la télévision ?», que «le DG de la télévision ne peut pas prendre une telle décision (pirater le match, ndlr). Même le ministre ne peut pas le faire. Cette décision a été décidée au plus haut niveau». Comment, alors, aurait-il pu, lui, en tant que directeur général adjoint, s’opposer à une telle décision venant d’en-haut ? Cette contradiction flagrante n’est pas la seule. A la question antithétique : «Mais les responsables d’Al-Jazeera Sport ont subordonné la vente du match à l’ouverture d’un bureau de la chaîne à Alger», le défenseur acharné de la télévision des Al-Thani décrète que cela est «faux», avant d’affirmer le contraire, sans transition aucune : «Les responsables d’Al-Jazeera Sport ont demandé aux responsables de la Télévision algérienne de les aider à obtenir une autorisation pour l’ouverture d’un bureau à partir du mois de janvier à Alger.» S’enfonçant davantage dans sa fausseté, Hafid Derradji déclare, sans rougir, qu’à la place des responsables actuels de l’ENTV, au lieu de pirater le match Burkina Faso-Algérie, il aurait fait preuve de malhonnêteté, d’hypocrisie et de mensonge en procédant de la sorte : «J’aurais accepté la demande qatarie, diffusé le match et, le lendemain, j’aurais dit aux responsables de la chaîne sportive que l’ouverture d’un bureau n’était pas de la compétence de la Télévision nationale.» Hafid Derradji vient de tomber le masque en dévoilant son véritable caractère fourbe et indigne. Il aurait mieux fait de se taire.
Algérie patriotique
Commentaire