Le Président de l’OPEP à Alger
Pour le mégaprojet de gazoduc Algérie-Nigeria
Liberté
19/09/06
Par N Ryad
Le président de l’Opep, M. Edmund Dokuru, en visite à Alger, assistera aujourd’hui aux côtés du ministre nigérian des mines et de l’énergie, M. Mohamed Abdullah, à la cérémonie de présentation à huis clos des résultats des études de faisabilité du projet de réalisation du gazoduc transsaharien devant relier le Nigeria à l’Algérie via le Niger, indique le ministère de l’énergie et des mines. Cette étude de faisabilité avait été confiée à la société britannique Penspen IPA. Le montant du contrat est de 2 millions de dollars. “Les premiers résultats de cette étude sont positifs et démontrent la faisabilité de ce projet stratégique”, a confié à l’APS un responsable de Sonatrach. L’infrastructure qui doit acheminer du gaz à partir de champs du Nigeria vers l’Europe aura une capacité de transport de 18 à 25 milliards de mètres cubes/an. Son coût est estimé à 7 milliards de dollars. Le mégaprojet a une portée économique avec la gazéification de vastes zones du Nigeria et du Niger. Il a un grand avantage écologique. Il permettra d’empêcher le torchage de 200 000 barils/jour, d’où un éventuel soutien des institutions internationales et des fonds spécialisés dans le financement des projets en matière d’environnement dans le monde.
Pour le mégaprojet de gazoduc Algérie-Nigeria
Liberté
19/09/06
Par N Ryad
Le président de l’Opep, M. Edmund Dokuru, en visite à Alger, assistera aujourd’hui aux côtés du ministre nigérian des mines et de l’énergie, M. Mohamed Abdullah, à la cérémonie de présentation à huis clos des résultats des études de faisabilité du projet de réalisation du gazoduc transsaharien devant relier le Nigeria à l’Algérie via le Niger, indique le ministère de l’énergie et des mines. Cette étude de faisabilité avait été confiée à la société britannique Penspen IPA. Le montant du contrat est de 2 millions de dollars. “Les premiers résultats de cette étude sont positifs et démontrent la faisabilité de ce projet stratégique”, a confié à l’APS un responsable de Sonatrach. L’infrastructure qui doit acheminer du gaz à partir de champs du Nigeria vers l’Europe aura une capacité de transport de 18 à 25 milliards de mètres cubes/an. Son coût est estimé à 7 milliards de dollars. Le mégaprojet a une portée économique avec la gazéification de vastes zones du Nigeria et du Niger. Il a un grand avantage écologique. Il permettra d’empêcher le torchage de 200 000 barils/jour, d’où un éventuel soutien des institutions internationales et des fonds spécialisés dans le financement des projets en matière d’environnement dans le monde.