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L’instabilité politique, ainsi que la crise économique de l’Europe ont engendré un recul de la croissance de l’ordre de à 3 % en 2013 », a déclaré le chef du Gouvernement, Ali Larayedh, dans une interview à l’agence Reuters.
En dépit de cette conjoncture difficile, « la Tunisie demeure déterminée à réduire le déficit du budget de l’Etat en 2014, tout en s’appuyant sur l’aide étrangère pour combler un important déficit de financement externe », a affirmé le chef du Gouvernement.
Et d’ajouter : « Le prochain gouvernement devra poursuivre les réformes, parce que sans réformes, nous ne pourrons pas atteindre les objectifs de la Révolution tunisienne, réaliser une forte croissance et créer des emplois ».
« Les mesures prises, a-t-il poursuivi, permettront au gouvernement de ramener le déficit du budget de l’année prochaine au-dessous de sa prévision précédente de 6,5 % du PIB. Les réformes porteront leurs fruits d’ici la fin de l’année prochaine et en 2015, ce qui nous permettra de maîtriser le déficit à 6 % l’année prochaine. Le gouvernement prévoit un déficit de 7,4 % pour cette année ».
Le Gouvernement, qui a signé un accord de prêt de 1,7 milliard $ avec le FMI en avril, est néanmoins confronté à une pression constante pour obtenir des financements extérieurs. Ali Larayedh a estimé les besoins de la Tunisie en prêts extérieurs à environ 3,3 milliards de dollars en 2014, soit environ le même niveau que cette année.
Il a déclaré que les Etats-Unis et la France devaient fournir des garanties pour des prêts totalisant 820 millions de dinars l’année prochaine, alors que le pays allait demander 1,3 milliard de dinars de garanties de prêts en provenance du Japon et de l’Union européenn
- l'économiste ma
En dépit de cette conjoncture difficile, « la Tunisie demeure déterminée à réduire le déficit du budget de l’Etat en 2014, tout en s’appuyant sur l’aide étrangère pour combler un important déficit de financement externe », a affirmé le chef du Gouvernement.
Et d’ajouter : « Le prochain gouvernement devra poursuivre les réformes, parce que sans réformes, nous ne pourrons pas atteindre les objectifs de la Révolution tunisienne, réaliser une forte croissance et créer des emplois ».
« Les mesures prises, a-t-il poursuivi, permettront au gouvernement de ramener le déficit du budget de l’année prochaine au-dessous de sa prévision précédente de 6,5 % du PIB. Les réformes porteront leurs fruits d’ici la fin de l’année prochaine et en 2015, ce qui nous permettra de maîtriser le déficit à 6 % l’année prochaine. Le gouvernement prévoit un déficit de 7,4 % pour cette année ».
Le Gouvernement, qui a signé un accord de prêt de 1,7 milliard $ avec le FMI en avril, est néanmoins confronté à une pression constante pour obtenir des financements extérieurs. Ali Larayedh a estimé les besoins de la Tunisie en prêts extérieurs à environ 3,3 milliards de dollars en 2014, soit environ le même niveau que cette année.
Il a déclaré que les Etats-Unis et la France devaient fournir des garanties pour des prêts totalisant 820 millions de dinars l’année prochaine, alors que le pays allait demander 1,3 milliard de dinars de garanties de prêts en provenance du Japon et de l’Union européenn
- l'économiste ma