C'est dans le centre de détention provisoire des étrangers à Valence en Espagne que des Harraga algériens ont été roués de coup par la police espagnole parce qu'en grève de faim.
En effet, des Harraga algériens ont entamé une grève de la faim en guise de refus de leur expulsion vers l’Algérie. Ils ont, alors, été roués de coups par la police espagnole; selon l’Association Casa Argelia (maison de l’Algérie à Valence).
Les faits remontent au 11 octobre, quand 20 ressortissants algériens qui ont entamé une grève de la faim au centre de rétention à Valence, en signe de protestation contre leur détention, ont été surpris par la descente de la police espagnole qui s’opposait à leur action de contestation, selon la présidente de l’Association Casa Argelia (maison de l’Algérie à Valence), Houria Souhili.
Les Harraga ont porté plainte contre l’administration dudit centre de rétention qui les a privés de toute liberté, ainsi que pour avoir été roués de coups après avoir observé une grève de la fin; souligne Echourouk.
La présidente de l’Association Casa Argelia a affirmé que l’association et certaines organisations des droits humains, aient exigé de remettre les vidéos prises par des caméras de surveillance aux autorités judiciaires.
lemag.ma
En effet, des Harraga algériens ont entamé une grève de la faim en guise de refus de leur expulsion vers l’Algérie. Ils ont, alors, été roués de coups par la police espagnole; selon l’Association Casa Argelia (maison de l’Algérie à Valence).
Les faits remontent au 11 octobre, quand 20 ressortissants algériens qui ont entamé une grève de la faim au centre de rétention à Valence, en signe de protestation contre leur détention, ont été surpris par la descente de la police espagnole qui s’opposait à leur action de contestation, selon la présidente de l’Association Casa Argelia (maison de l’Algérie à Valence), Houria Souhili.
Les Harraga ont porté plainte contre l’administration dudit centre de rétention qui les a privés de toute liberté, ainsi que pour avoir été roués de coups après avoir observé une grève de la fin; souligne Echourouk.
La présidente de l’Association Casa Argelia a affirmé que l’association et certaines organisations des droits humains, aient exigé de remettre les vidéos prises par des caméras de surveillance aux autorités judiciaires.
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