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Linde Gas Algérie se dote d’une nouvelle unité de production en Algérie. Cet investisseur allemand mettra en marche, dimanche prochain, sa nouvelle usine de séparation de gaz de l’air (ASU), sise au sein de son unité de Réghaia 2.
Cet investissement a coûté à Linde Gas Algérie une enveloppe de quarante millions de dollars. Cet investissement vient enrichir le réseau des usines de Linde Gas, spécialisées dans la séparation de gaz de l’air, puisque l’entreprise est riche déjà de plusieurs unités réparties sur le territoire national (Hassi Messaoud, Skikda, Arzew et Réghaia 1).
Dans un communiqué diffusée aujourd’hui par Linde Gas Algérie, il est indiqué que « cette nouvelle unité est essentielle dans le dispositif de production des gaz de l’air pour que l’Algérie ne soit pas dépendante de leur importation souvent problématique à cause de la spécificité et de la dangerosité de ces produits ».
L’usine de Réghaia 2 qui approvisionnera en « produits de haute qualité » les structures hospitalières du pays (respiration assistée et oxygénothérapie) ainsi que les différentes filières industrielles nécessitant les gaz industriels comme matière première. D’autres industries, dont l’extraction du pétrole, le soudage et le brasage seront également alimentées depuis l’usine Linde Gas Algérie de Réghaia.
Dotée « de technologies de dernière génération », cette nouvelle usine fonctionnera « dans le strict respect des règles industrielles », précise le même communiqué. A ce propos, la filiale algérienne du groupe allemand Linde affirme avoir obtenu « diverses certifications internationales (ISO 9001 en 2008, ISO 4001 en 2004) auxquels elle est tenue de se conformer.» Quant aux capacités de production de cette nouvelle unité, il est attendu qu’elle produise, dès son lancement, 100 tonnes de gaz/jour.
Cette capacité est jugée suffisante pour répondre à la demande en gaz médicaux, « dont les pénuries sont signalées ça et là par divers centre de santé algériens à des moments plus au moins curiaux »
Éconostrum 22/10/2013
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Cet investissement a coûté à Linde Gas Algérie une enveloppe de quarante millions de dollars. Cet investissement vient enrichir le réseau des usines de Linde Gas, spécialisées dans la séparation de gaz de l’air, puisque l’entreprise est riche déjà de plusieurs unités réparties sur le territoire national (Hassi Messaoud, Skikda, Arzew et Réghaia 1).
Dans un communiqué diffusée aujourd’hui par Linde Gas Algérie, il est indiqué que « cette nouvelle unité est essentielle dans le dispositif de production des gaz de l’air pour que l’Algérie ne soit pas dépendante de leur importation souvent problématique à cause de la spécificité et de la dangerosité de ces produits ».
L’usine de Réghaia 2 qui approvisionnera en « produits de haute qualité » les structures hospitalières du pays (respiration assistée et oxygénothérapie) ainsi que les différentes filières industrielles nécessitant les gaz industriels comme matière première. D’autres industries, dont l’extraction du pétrole, le soudage et le brasage seront également alimentées depuis l’usine Linde Gas Algérie de Réghaia.
Dotée « de technologies de dernière génération », cette nouvelle usine fonctionnera « dans le strict respect des règles industrielles », précise le même communiqué. A ce propos, la filiale algérienne du groupe allemand Linde affirme avoir obtenu « diverses certifications internationales (ISO 9001 en 2008, ISO 4001 en 2004) auxquels elle est tenue de se conformer.» Quant aux capacités de production de cette nouvelle unité, il est attendu qu’elle produise, dès son lancement, 100 tonnes de gaz/jour.
Cette capacité est jugée suffisante pour répondre à la demande en gaz médicaux, « dont les pénuries sont signalées ça et là par divers centre de santé algériens à des moments plus au moins curiaux »
Éconostrum 22/10/2013
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