Comme cadeau d’anniversaire pour le 1er Novembre, nous avons été servis par la plume des multinationales. En effet, M. Fisk, dans votre article du 20 octobre publié dans The Independant et qui nous a été communiqué par le député Georges Galloway, vous faites un parallèle monstrueux entre l’histoire de notre Révolution, notre tragédie nationale et la guerre en Syrie, tout en affirmant le contraire et qu’il ne faut pas comparer.
Vous nous racontez des inepties, nous promenant de l’assassinat du chef des renseignements syriens, le général Jamaa Jamaa, à notre glorieuse Révolution en vous inclinant au passage devant le totem occidental du «qui-tue-qui». Vous accusez notre Armée de libération nationale d’avoir massacré le peuple algérien pendant la Révolution et passez à la vitesse supérieure pour encore imputer à notre armée d’avoir été responsable des tueries lors de la décennie sanglante, en dédouanant les islamistes terroristes qui n’auraient rien à se reprocher, d’après vous.
Nous vous connaissons très bien, M. Fisk. Vous avez été payé pour accuser l’armée égyptienne de la même manière que vous le faites dans cet article au sujet de l’armée algérienne. Vos liens avec le MI6 ainsi qu’avec la DGSE ne sont plus à démontrer depuis bien longtemps. N’enfourchez pas trop vite votre canasson, M. Fisk, nous avons des choses à vous dire. Vous avez soutenu les Frères musulmans en Egypte jusqu’à ce que le vent tourne et que Morsi perd, fidèle à vous-même, vous vous rangiez du côté du plus fort, obéissant certainement à un intérêt économique.
Si vous avez oublié ce que vous avez fait au Caire, en pratiquant l’agitation politique quotidienne jusqu’à la dernière minute, nous avons bonne mémoire et vous pouvez essayer de noyer votre déshonneur dans la Guiness au Londonistan, nous n’oublions pas. Est-ce au cours d’une de vos soûlographies que l’idée vous est venue d’attaquer le peuple syrien et ses dirigeants, allant même contre la Chambre des Communes et atterrissant comme un avion en panne de kérosène sur un terrain qui n’est pas le vôtre ?
Attention, le terrain algérien est miné, et nous ne pensons pas que vous ayez l’honnêteté intellectuelle pour jouer les historiens irréprochables, car vous êtes financé par la confrérie des Frères musulmans, vous avez reçu de l’argent des Turcs et vous avez fait des faux rapports à presque toutes les officines occidentales, les induisant en erreur sur la question syrienne, et vous voilà revenu pour nous verser une histoire à la sauce mentholée. En tant que patriotes algériens, nous condamnons vos propos et transmettrons notre réponse à notre ami George Galloway et à la Chambre des Communes qui ont refusé vos thèses va-t-en-guerre en Syrie. Votre malheur, c’est que plus personne ne vous croit, même votre peuple ne veut plus suivre vos élans guerriers.
Vous avez tellement menti et pendant si longtemps... Et vous prétendez nous donner des leçons d’Histoire ? Ne vous imaginez pas que nous ne savons pas en Algérie ce que représente Amnesty International, qui n’a jamais défendu les bonnes causes et dont vous êtes un fidèle serviteur. Evidemment, quand on sait que sa présidente a été la proche collaboratrice de Hillary Clinton, cela nous donne une petite idée de l’objectivité de cette organisation qui roule pour des officines liées aux renseignements occidentaux. Expliquez-nous comment une femme syrienne soi-disant opprimée, très active sur Facebook pour se plaindre du «régime» syrien, se révèle être, au bout de six ans d’activisme, un agent masculin britannique ? On n’a pas vu Amnesty International condamner Tony Blair, ni Sarkosy, pour leurs crimes de guerre et génocides commis en Irak et en Libye, des pays que vos gouvernements et vos armées ont dévastés. Plus d’un million de morts en Irak !
Nous pouvons vous donner des leçons d’Histoire à notre tour et vous parler de l’Empire britannique et de son histoire jalonnée de massacres et de coups tordus. Vous avez massacré à tout va tout au long de votre histoire. Laissez-nous vous en donner quelques exemples : le massacre de Drogheda (3 500 dont 7 à 800 civils) en Irlande en 1649, le sac de Wexford toujours en Irlande (1 500 civils) la même année, la diffusion volontaire de la variole chez les Indiens Delaware en Pennsylvanie en 1763, le massacre de Gibbet Rath en Irlande (300 à 500 victimes) en 1798, suivi la même année par celui de Scullabogue (100 à 200 victimes brûlées vives), celui de Vinegar Hill le 21 juin 1798 toujours en Irlande (plusieurs centaines de morts), le massacre de Bully's Acre toujours en 1798 (200 victimes), le massacre d'Amritsar en Inde en 1919.
Vous avez fait la guerre de l’opium en Chine, vous avez bombardé les partisans grecs qui combattaient les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, vous avez incendié les Malouines. Et, dans les années 80, des hommes sont morts de faim dans vos prisons, dont le député Bobby Sand et ses camarades, et vous n’avez rien fait pour les sauver. Vous avez donné la terre des Palestiniens aux Israéliens, vous avez soutenu l’apartheid en Afrique du Sud, Pinochet au Chili… Impossible de continuer tant la liste est longue.
Qu’est-ce que vous n’avez pas fait, vous et vos amis français ? Vous pouvez concourir avec la France dans votre capacité à éradiquer la race humaine de la surface de la Terre. Voyez-vous, M. Fisk, nous sommes ébahis de voir votre faculté à transformer les victimes en bourreaux alors que ce sont vos empires qui nous ont balancé des bombes au napalm ! Est-ce le peuple algérien qui s’est enfumé lui-même ? Les caisses d’oreilles algériennes que Bugeaud offrait à son empereur sont-elles une vue de l’esprit ? Les Algériens sont-ils des adeptes du suicide collectif ? Pendant que vous pilliez, tuiez, mutiliez, c’est un Algérien, l’Emir Abdelkader, qui a sauvé des milliers de chrétiens à Damas en 1860. Vos empires se sont construits sur des millions de morts.
Vous avez agressé la planète entière. Vous avez tout massacré : les hommes, les bêtes, l’environnement. Votre British Petroleum a pollué les mers, empoisonné la faune et la flore. Rien ni personne n’a échappé à votre voracité de prédateurs. Vous implantez dans nos nations des agents de la félonie comme des virus, et votre bilan en tant qu’humains est indéfendable. On comprend pourquoi Amnesty International vous a donné un prix en 2000 pour avoir couvert les bombardements de l’Otan en Serbie. Comment s’appelle le prix, celui du «massacre de l’Otan sur Sarajevo» ? Une question nous taraude l’esprit : arrivez-vous à vous regarder dans un miroir sans avoir envie de vomir ?
Vous avez insulté les symboles de notre Révolution, donc vous avez insulté notre Révolution ; vous avez insulté nos officiers de l’ANP, donc vous avez insulté toute notre armée. Les autorités algériennes et notre ministre des Affaires étrangères doivent vous répondre, car ce que vous faites, c’est tout simplement de la désinformation et de la propagande mensongère. Votre pays n’a jamais été clair concernant la lutte contre le terrorisme sachant qu’en Angleterre, les terroristes sont protégés et rémunérés. Ils récoltent des fonds en pleine rue, devant les policiers, pour financer leur djihad dans nos pays. Londres a toujours été une plaque tournante du terrorisme international et tous les chefs terroristes y ont vécu, et certainement pas pour y jouer au cricket. Nous vous mettons au défi de prouver le contraire. Ce n’est pas pour rien que votre capitale s’appelle Londonistan. Mais le monstre que vous avez créé vous explosera à la figure ; ce n’est qu’une question de temps, parce que, nous, nous les connaissons bien depuis que vous nous les avez envoyés. Combien de temps avez-vous mis avant de livrer Abou Qatada qui est demandé par l’Algérie et qui était protégé par vos services ? Voilà ce que nous appelons, nous, le «qui-tue-qui». Votre thèse ne tient pas la route. Vous vous êtes empêtrés dans une histoire qui vous dépasse, vous et cet écrivaillon français, Pierre Daum, qui est certainement atteint du vieux syndrome de l’Algérie française. On constate une continuité frappante entre la guerre psychologique menée par les paras français et qui a abouti aux actions meurtrières de l’OAS contre le peuple algérien, que vous ne citez d’ailleurs pas dans votre article, et le bon vieux «qui-tue-qui» que vous nous servez en 2013 à la veille de la fête de notre Révolution. Sur quel fait nouveau vous appuyez-vous, M. Fisk ? Aucun. Malheureusement, il existe des félons chez nous qui apportent du grain à moudre à des personnages abjects comme vous, et la dernière affaire en date est celle de ce gamin qui appelle au djihad en direct sur une vidéo visible sur Youtube et que toutes vos ONG humanitaires, Amnesty International, Human Right Watch, la presse de propagande France 24, Le Monde, Huffington Post, etc., ainsi que des journaux algériens à la solde de vos maîtres comme les Rotchild et les Murdoch, qui eux ne payent pas le fisc, considèrent comme une victime injustement incarcérée.
Vous nous racontez des inepties, nous promenant de l’assassinat du chef des renseignements syriens, le général Jamaa Jamaa, à notre glorieuse Révolution en vous inclinant au passage devant le totem occidental du «qui-tue-qui». Vous accusez notre Armée de libération nationale d’avoir massacré le peuple algérien pendant la Révolution et passez à la vitesse supérieure pour encore imputer à notre armée d’avoir été responsable des tueries lors de la décennie sanglante, en dédouanant les islamistes terroristes qui n’auraient rien à se reprocher, d’après vous.
Nous vous connaissons très bien, M. Fisk. Vous avez été payé pour accuser l’armée égyptienne de la même manière que vous le faites dans cet article au sujet de l’armée algérienne. Vos liens avec le MI6 ainsi qu’avec la DGSE ne sont plus à démontrer depuis bien longtemps. N’enfourchez pas trop vite votre canasson, M. Fisk, nous avons des choses à vous dire. Vous avez soutenu les Frères musulmans en Egypte jusqu’à ce que le vent tourne et que Morsi perd, fidèle à vous-même, vous vous rangiez du côté du plus fort, obéissant certainement à un intérêt économique.
Si vous avez oublié ce que vous avez fait au Caire, en pratiquant l’agitation politique quotidienne jusqu’à la dernière minute, nous avons bonne mémoire et vous pouvez essayer de noyer votre déshonneur dans la Guiness au Londonistan, nous n’oublions pas. Est-ce au cours d’une de vos soûlographies que l’idée vous est venue d’attaquer le peuple syrien et ses dirigeants, allant même contre la Chambre des Communes et atterrissant comme un avion en panne de kérosène sur un terrain qui n’est pas le vôtre ?
Attention, le terrain algérien est miné, et nous ne pensons pas que vous ayez l’honnêteté intellectuelle pour jouer les historiens irréprochables, car vous êtes financé par la confrérie des Frères musulmans, vous avez reçu de l’argent des Turcs et vous avez fait des faux rapports à presque toutes les officines occidentales, les induisant en erreur sur la question syrienne, et vous voilà revenu pour nous verser une histoire à la sauce mentholée. En tant que patriotes algériens, nous condamnons vos propos et transmettrons notre réponse à notre ami George Galloway et à la Chambre des Communes qui ont refusé vos thèses va-t-en-guerre en Syrie. Votre malheur, c’est que plus personne ne vous croit, même votre peuple ne veut plus suivre vos élans guerriers.
Vous avez tellement menti et pendant si longtemps... Et vous prétendez nous donner des leçons d’Histoire ? Ne vous imaginez pas que nous ne savons pas en Algérie ce que représente Amnesty International, qui n’a jamais défendu les bonnes causes et dont vous êtes un fidèle serviteur. Evidemment, quand on sait que sa présidente a été la proche collaboratrice de Hillary Clinton, cela nous donne une petite idée de l’objectivité de cette organisation qui roule pour des officines liées aux renseignements occidentaux. Expliquez-nous comment une femme syrienne soi-disant opprimée, très active sur Facebook pour se plaindre du «régime» syrien, se révèle être, au bout de six ans d’activisme, un agent masculin britannique ? On n’a pas vu Amnesty International condamner Tony Blair, ni Sarkosy, pour leurs crimes de guerre et génocides commis en Irak et en Libye, des pays que vos gouvernements et vos armées ont dévastés. Plus d’un million de morts en Irak !
Nous pouvons vous donner des leçons d’Histoire à notre tour et vous parler de l’Empire britannique et de son histoire jalonnée de massacres et de coups tordus. Vous avez massacré à tout va tout au long de votre histoire. Laissez-nous vous en donner quelques exemples : le massacre de Drogheda (3 500 dont 7 à 800 civils) en Irlande en 1649, le sac de Wexford toujours en Irlande (1 500 civils) la même année, la diffusion volontaire de la variole chez les Indiens Delaware en Pennsylvanie en 1763, le massacre de Gibbet Rath en Irlande (300 à 500 victimes) en 1798, suivi la même année par celui de Scullabogue (100 à 200 victimes brûlées vives), celui de Vinegar Hill le 21 juin 1798 toujours en Irlande (plusieurs centaines de morts), le massacre de Bully's Acre toujours en 1798 (200 victimes), le massacre d'Amritsar en Inde en 1919.
Vous avez fait la guerre de l’opium en Chine, vous avez bombardé les partisans grecs qui combattaient les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, vous avez incendié les Malouines. Et, dans les années 80, des hommes sont morts de faim dans vos prisons, dont le député Bobby Sand et ses camarades, et vous n’avez rien fait pour les sauver. Vous avez donné la terre des Palestiniens aux Israéliens, vous avez soutenu l’apartheid en Afrique du Sud, Pinochet au Chili… Impossible de continuer tant la liste est longue.
Qu’est-ce que vous n’avez pas fait, vous et vos amis français ? Vous pouvez concourir avec la France dans votre capacité à éradiquer la race humaine de la surface de la Terre. Voyez-vous, M. Fisk, nous sommes ébahis de voir votre faculté à transformer les victimes en bourreaux alors que ce sont vos empires qui nous ont balancé des bombes au napalm ! Est-ce le peuple algérien qui s’est enfumé lui-même ? Les caisses d’oreilles algériennes que Bugeaud offrait à son empereur sont-elles une vue de l’esprit ? Les Algériens sont-ils des adeptes du suicide collectif ? Pendant que vous pilliez, tuiez, mutiliez, c’est un Algérien, l’Emir Abdelkader, qui a sauvé des milliers de chrétiens à Damas en 1860. Vos empires se sont construits sur des millions de morts.
Vous avez agressé la planète entière. Vous avez tout massacré : les hommes, les bêtes, l’environnement. Votre British Petroleum a pollué les mers, empoisonné la faune et la flore. Rien ni personne n’a échappé à votre voracité de prédateurs. Vous implantez dans nos nations des agents de la félonie comme des virus, et votre bilan en tant qu’humains est indéfendable. On comprend pourquoi Amnesty International vous a donné un prix en 2000 pour avoir couvert les bombardements de l’Otan en Serbie. Comment s’appelle le prix, celui du «massacre de l’Otan sur Sarajevo» ? Une question nous taraude l’esprit : arrivez-vous à vous regarder dans un miroir sans avoir envie de vomir ?
Vous avez insulté les symboles de notre Révolution, donc vous avez insulté notre Révolution ; vous avez insulté nos officiers de l’ANP, donc vous avez insulté toute notre armée. Les autorités algériennes et notre ministre des Affaires étrangères doivent vous répondre, car ce que vous faites, c’est tout simplement de la désinformation et de la propagande mensongère. Votre pays n’a jamais été clair concernant la lutte contre le terrorisme sachant qu’en Angleterre, les terroristes sont protégés et rémunérés. Ils récoltent des fonds en pleine rue, devant les policiers, pour financer leur djihad dans nos pays. Londres a toujours été une plaque tournante du terrorisme international et tous les chefs terroristes y ont vécu, et certainement pas pour y jouer au cricket. Nous vous mettons au défi de prouver le contraire. Ce n’est pas pour rien que votre capitale s’appelle Londonistan. Mais le monstre que vous avez créé vous explosera à la figure ; ce n’est qu’une question de temps, parce que, nous, nous les connaissons bien depuis que vous nous les avez envoyés. Combien de temps avez-vous mis avant de livrer Abou Qatada qui est demandé par l’Algérie et qui était protégé par vos services ? Voilà ce que nous appelons, nous, le «qui-tue-qui». Votre thèse ne tient pas la route. Vous vous êtes empêtrés dans une histoire qui vous dépasse, vous et cet écrivaillon français, Pierre Daum, qui est certainement atteint du vieux syndrome de l’Algérie française. On constate une continuité frappante entre la guerre psychologique menée par les paras français et qui a abouti aux actions meurtrières de l’OAS contre le peuple algérien, que vous ne citez d’ailleurs pas dans votre article, et le bon vieux «qui-tue-qui» que vous nous servez en 2013 à la veille de la fête de notre Révolution. Sur quel fait nouveau vous appuyez-vous, M. Fisk ? Aucun. Malheureusement, il existe des félons chez nous qui apportent du grain à moudre à des personnages abjects comme vous, et la dernière affaire en date est celle de ce gamin qui appelle au djihad en direct sur une vidéo visible sur Youtube et que toutes vos ONG humanitaires, Amnesty International, Human Right Watch, la presse de propagande France 24, Le Monde, Huffington Post, etc., ainsi que des journaux algériens à la solde de vos maîtres comme les Rotchild et les Murdoch, qui eux ne payent pas le fisc, considèrent comme une victime injustement incarcérée.
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