Les eurodéputés ayant voté, après profonds amendements, un rapport sur la situation des droits de l’Homme dans la région du Sahel, rédigé par l’‘eurodéputé anglais pro-Algérie, Charles Tannock, ont ajouté à ce rapport, leur commande d’un recensement opéré par la communauté internationale, des populations détenues aux camps du Polisario à Tindouf. Le rapport voté mardi dernier, a noté «le manque d'informations claires concernant le nombre précis des habitants des camps de Tindouf».
Les eurodéputés ont ordonné ainsi à l'Algérie de cesser ces empêchements à la communauté internationale d’opérer des recensements réguliers et des enregistrements officiels, des détenus sahraouis à Tindouf et ses parages. Le rapport adressé au parlement européen, voulu par l’Algérie, une condamnation du Maroc, a noté la préoccupation de l’euro-parlement par la pauvreté et le manque de services de base, imposés par le pouvoir algérien et le Polisario, aux habitants des camps de Tindouf. Le rapport a signalé que hormis l’aide internationale conséquente, reçus par l’Algérie et le Polisario, au nom des 'réfugiés' sahraouis, ils règnent dans les camps, la famine et le manque de nutrition pour enfants, le manque de soins et de santé et d'accès à l'eau potable. Le parlement européen a exprimé «son inquiétude en constatant que la pauvreté dans les camps de Tindouf, rend les sahraouis vulnérables face à la radicalisation du fondamentalisme religieux» sévissant depuis l’Algérie dans toutes la région.
Le Mag
Les eurodéputés ont ordonné ainsi à l'Algérie de cesser ces empêchements à la communauté internationale d’opérer des recensements réguliers et des enregistrements officiels, des détenus sahraouis à Tindouf et ses parages. Le rapport adressé au parlement européen, voulu par l’Algérie, une condamnation du Maroc, a noté la préoccupation de l’euro-parlement par la pauvreté et le manque de services de base, imposés par le pouvoir algérien et le Polisario, aux habitants des camps de Tindouf. Le rapport a signalé que hormis l’aide internationale conséquente, reçus par l’Algérie et le Polisario, au nom des 'réfugiés' sahraouis, ils règnent dans les camps, la famine et le manque de nutrition pour enfants, le manque de soins et de santé et d'accès à l'eau potable. Le parlement européen a exprimé «son inquiétude en constatant que la pauvreté dans les camps de Tindouf, rend les sahraouis vulnérables face à la radicalisation du fondamentalisme religieux» sévissant depuis l’Algérie dans toutes la région.
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