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Open Democracy : ‘Le régime politique algérien, une catastrophe en attente

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  • Open Democracy : ‘Le régime politique algérien, une catastrophe en attente

    Adam Sfali - Lemag - publié le Vendredi 25 Octobre 2013

    Lemag : «Le modèle politique algérien, fondé sur la rente et la mise à contribution des recettes du pétrole pour acheter la paix sociale, s'apparente à une catastrophe en attente dans ce pays en proie à de graves problèmes sociaux et politiques».

    Ainsi a écrit, mercredi, le site britannique ‘Open Democracy’ (oD).

    Consacrant une analyse de l’avenir du pouvoir Algérien et de la situation de l’Algérie sous son joug, Open Democracy, a souligné que «les réalités socio-économiques pour des millions d'Algériens plombés par un chômage endémique et des inégalités sociales sans cesse grandissantes, représente une recette qui annonce un désastre dans ce pays en l'absence d'une stratégie claire de développement national».

    «Un tel environnement de tension nourrit les troubles sociaux qui vont crescendo», a noté le site anglais.

    «Des manifestations, des sit-in et des grèves sont organisés et réprimés presque quotidiennement, dénotant d'un malaise social profond dans un pays, qui dépend d'une manière excessivement alarmante des recettes du pétrole en l'absence d'une stratégie cohérente de développement», a-t-il indiqué.

    Graves violations des droits de l'homme

    Open Democracy, site fondé en 2001 et qui jouit d'un lectorat important au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, en Australie, au Canada, en Inde et dans les pays du Moyen-Orient, a signalé que sur le plan des libertés civiles, l’Algérie est un abysse sombre : La situation est «préoccupante dans ce pays où les autorités s'activent à resserrer l'étau autour des libertés politiques» rapporte oD.

    «Des incidents qui ont eu lieu récemment en Algérie portent à croire que la répression devra se poursuivre dans les semaines et les mois qui viennent», alerte la source, soulignant que «cette situation suscite les inquiétudes des organisations internationales de défense des droits de l'homme dont Amnesty International et Human Rights Watch».

    «Les observateurs avertis de la scène arabe doivent être attentifs aux développements politiques émanant de l'Algérie, un pays plongé dans une atmosphère sordide faite d'avidité et d'incompétence» a relevé oD.

    Partis politiques algériens : Des coquilles vides

    Open Democracy a par ailleurs, mis en lumière la classe politique algérienne, remarquable selon lui, par son incapacité à offrir «une alternative crédible au système actuellement en place».

    «Le pays compte plus de cinquante partis politiques, la majorité écrasante de ces formations ne sont plus que des coquilles vides, dépourvues de tout ancrage populaire et généralement confinées au rôle de fournir un semblant de paysage électoral plausible» conclut Open Democracy.

    PS : Pour eviter les HS à venir , lemag ne fait que rapporter les écrits d'un site britannique..

  • #2
    PS : Pour eviter les HS à venir , lemag ne fait que rapporter les écrits d'un site britannique.. SERPICO
    Il a également rapporté ceci , et tu n'es pas passé y laisser un petit commentaire ( c'est ton site préféré avec la MAP ) :

    C'est bien du même lemag.com qu'il s'agit n'est-ce pas .

    Qu'est-ce qui se passe au royaume du ' tout est merveilleux" ?



    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

    Commentaire


    • #3
      Qu'est-ce qui se passe au royaume du ' tout est merveilleux" ?
      Iska
      Notre sujet n'est pas là !

      Merci de ne pas polluer le topic en cherchant à dévier la discussion pour ménager siadek les caporaux!!

      La ficelle est trop grosse....

      Encore une fois lemag ne fait que rapporter les écrits d'un site britannique

      Commentaire


      • #4
        Est ce possible d'avoir la source de cet article?

        Commentaire


        • #5
          Tous les articles qui ont repris "le régime algérien, une catastrophe en attente" donne cette source Cliquez http://www.lopinion.ma/def.asp?codel...-25%2018:12:00 pour lire l'article depuis sa source MAROCAINE.


          Open Democracy: Le modèle politique algérien, «une catastrophe en attente»

          L’actuel modèle politique algérien, «fondé sur la rente et la mise à contribution des recettes du pétrole pour acheter la paix sociale», s’apparente à «une catastrophe en attente» dans ce pays en proie à de graves problèmes sociaux et politiques, estime le site britannique Open Democracy.
          Le site, qui consacre une analyse approfondie de la situation en Algérie, souligne que les réalités socio-économiques pour des millions d’Algériens «plombés par un chômage endémique et des inégalités sociales sans cesse grandissantes», représente une recette qui annonce «un désastre» dans ce pays en l’absence d’une stratégie claire de développement national.
          Un tel environnement de «tension» nourrit les troubles sociaux qui vont crescendo, note la même source.
          Des manifestations, des sit-in et des grèves sont organisés presque quotidiennement, dénotant d’un malaise social profond dans un pays, qui dépend d’une manière excessivement alarmante des recettes du pétrole en l’absence d’une stratégie cohérente de développement, relève Open Democracy, un site fondé en 2001 et qui bénéficie d’un lectorat de plus de 200.000 personnes au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, en Australie, au Canada, en Inde et dans les pays du Moyen-Orient.
          Sur le plan des libertés civiles, le tableau est tout aussi sombre, ajoute le site, qui fait état de développements préoccupants dans ce pays où «les autorités s’activent à resserrer l’étau autour des libertés politiques».
          Des incidents qui ont eu lieu récemment en Algérie portent à croire que la répression devra se poursuivre dans les semaines et les mois qui viennent, relève le site, soulignant que cette situation suscite les inquiétudes des organisations internationales de défense des droits de l’homme, dont Amnesty International et Human Rights Watch.
          Les observateurs avertis de la scène arabe doivent être attentifs aux développements politiques émanant de l’Algérie, «un pays plongé dans une atmosphère sordide faite d’avidité et d’incompétence», note Open Democracy.
          Ce site a, par ailleurs, mis sous les feux de la rampe la classe politique algérienne, «incapable» d’offrir une alternative crédible au système actuellement en place.
          Le pays compte plus de cinquante partis politiques, note la même source, soulignant que la majorité écrasante de ces formations ne sont plus que «des coquilles vides, dépourvues de tout ancrage populaire et généralement confinées au rôle de fournir un semblant de paysage électoral plausible».
          25/10/2013
          A moins que j'ai mal cherché, il n'y a pas de trace de ce rapport dans " open démocratie".
          Dernière modification par nacera90, 26 octobre 2013, 15h12.

          Commentaire


          • #6
            dommage que FA devient une poubelle des torchons du makhzene!

            Commentaire


            • #7
              dommage que FA devient une poubelle des torchons du makhzene!
              C'est ce que j'ai constaté.
              Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha

              Commentaire


              • #8
                L'ordure rides again..
                Je croyais la MAP fallacieuse et imbécile, Lemag est à des années lumière plus bas encore. Même le français utilisé est plus que douteux.

                Commentaire


                • #9
                  L'article original:

                  Algeria: Bouteflika strikes back

                  HICHAM YEZZA
                  23 October 2013

                  As next year’s presidential elections loom larger on the national horizon, the country seems to be heading towards a political non-event.

                  While the Middle East and North Africa continue to feel the reverberations and distant after-shocks of the ‘Arab Spring’, anyone seeking a sense of where the region is heading would do well to keep a close eye on news emanating from Algiers over the next few months. As the country gears up for next year’s presidential elections, scheduled to take place in April 2014, the magnitude of the political and geostrategic issues hanging in the balance, both nationally and regionally, is immense.

                  Since the turn of the year, the question of whether Abdelaziz Bouteflika - in power since 1999 and already the country’s longest-serving president - would run for a fourth consecutive term has been the central preoccupation of the political class. As the weeks went by, signs that the President’s grip on power was open to challenges seemed to proliferate. A corruption scandal involving the country’s State Oil company, Sonatrach, featured as its chief villain Chekib Khelil, a former energy minister and close Bouteflika ally. For weeks, the nation was gripped by sordid tales of greed and incompetence. The extensive coverage, as well as the judicial case itself, was seen by many as part of a campaign to weaken the president and his camp by rivals within the country’s power system.

                  Serious health issues seemed to make the president’s position even more precarious. On April 27, Bouteflika suffered what official reports confirmed was a mini stroke, and was immediately flown to receive treatment at the Val-de-Grace hospital in Paris. For the following eight weeks, speculation over the extent and seriousness of his condition, further intensified by the quasi-silence from official media, dominated conversations, both off and online. On June 11, in a clear attempt to stem the debilitating tide of rumour and counter-rumour, footage was released of him receiving a visit from the Prime Minister, Abdelmalek Sellal, and the army chief, Ahmed Gaid Saleh. These images were generally considered far from reassuring, but a month later, on July 16, official state media announced the president’s return to Algiers. Many predicted an imminent curtain call, declaring the president a spent force and dismissing prospects of a fourth term as an impossibility.

                  Instead, the three months since his comeback have witnessed a spectacular turn of events. In the past few weeks, Bouteflika has overseen a series of unprecedented changes at the heart of the country’s ruling apparatus, whose scale and unceremonious brutality took the most seasoned of observers by surprise.

                  Most notably, the country’s powerful security services agency, the Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) - widely considered a principal rival pole of power alongside the military and presidential institutions – had three key units amputated, thus considerably reducing its political influence and reach, including its ability to support a viable alternative candidate at next year’s elections. This move was further accompanied by changes at the top of the military hierarchy, with a number of potential adversaries sent into retirement.

                  Meanwhile, a protracted months-long battle within the ranks of the FLN, the country’s biggest political force, finally reached its dénouement at the end of August with the ascent of Amar Saidani, a Bouteflika loyalist, to the leadership, effectively securing the party’s all-important allegiance at next year’s elections. Finally, on Sep 11, a government reshuffle saw ten ministers moved, with key portfolios - such as the Justice, Interior, Foreign Affairs and Defence posts – all assigned to presidential loyalists, while most of Bouteflika’s political opponents (or those deemed insufficiently loyal, such as FLN ministers who had opposed Saidani’s leadership,) lost their briefs. Both Gaid Saleh and Sellal emerged as winners, consolidating their positions and underlining their roles as instrumental players in the push for a fourth term.

                  What happens now remains unclear. Six months before the elections, no serious rival candidates have come forward, with the sole exception of Ahmed Benbitour, a reformist former Prime Minister. Most seem to be waiting for the presidential camp to make its anticipated move of pushing through a constitutional revision plan that introduces the post of Vice President. Once this happens, many believe, the ruling system will have secured its key - arguably sole – objective: its own survival and the preservation of the enormous network of interests it represents and protects.

                  Amidst these transformative changes, the political class has been dependably inert and ineffectual. Though the country boasts more than fifty registered political parties, the vast bulk of these formations are no more than empty shells, devoid of any popular anchorage and usually confined to the role of supplying plausible electoral scenery. Meanwhile, the more established opposition is not only fragmented and riddled with internecine fault lines, a number of the larger parties - such as the secular RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie) and the country’s biggest Islamist party, the MSP (Mouvement de la Société de Paix) – have seen their oppositional credentials fatally compromised by their participation in a number of successive governments during the Bouteflika era. Their hurried attempts to distance themselves from the ruling system have, so far, proved underwhelming.

                  Meanwhile, the country’s socio-economic realities for millions of Algerians - of endemic unemployment, a spiralling cost of living and deepening inequality – present a recipe for disaster in the absence of a clear and coherent strategy for national development. The current political model, based on a rentier elite purchasing social peace with the proceeds of oil wealth, patently unsustainable and utterly dependent on the capricious fortunes of oil prices, is a disaster in waiting. Indeed, social unrest continues to grow: no day seems to go by without a demonstration, or a strike, or a sit-in, or a road-blockade taking place somewhere in the country in an attempt to highlight some grievance or other. On the civil liberties front, some worrying developments have been noted signalling a tightening of the media-political space. On Sunday, Abdelghani Aloui, a youth arrested four weeks ago for posting cartoons mocking the president was again denied bail. His case has raised the alarm among many in the Algerian press (as well as among a number of NGOs such as Amnesty and HRW) about what this presages for press and political freedoms in the country in the weeks and months ahead.

                  As next year’s presidential elections loom larger on the national horizon, the country seems to be heading towards a political non-event. While the population at large continues to show deep indifference towards the political shenanigans of the elites, there seems to be little enthusiasm among the political class for any change worthy of the challenges facing the country. Sadly, for most Algerians, 2013 will have been a strange year: so much has happened and yet, in the final analysis, so little is set to change.


                  About the author
                  Hicham Yezza is an Algerian writer and human rights activist. He is the editor-in-chief of Ceasefire Magazine. Follow him on Twitter: @HichamYezza and @Ceasefire_Mag

                  Commentaire


                  • #10
                    Juste du bas niveaux d'une presse haineuse et anti Algerienne , qu'il m'impressionnent un jour par des tableaux d'un développement humain supérieur au maroc qu'en Algérie mais c'est loin d'etre le cas .

                    Commentaire


                    • #11
                      Notre sujet n'est pas là !

                      Merci de ne pas polluer le topic en cherchant à dévier la discussion pour ménager siadek les caporaux!!

                      La ficelle est trop grosse....

                      Encore une fois lemag ne fait que rapporter les écrits d'un site britannique....SERPICO
                      Je ne polue pas.

                      Je t'apporte simplement une énormité , que le journal que tu cites tant, est en fait , du papier à chiotes , sinon pourquoi avoir sortti une pareille énormité .

                      Vous rêvez de tant de choses , que pour vous , les rêves c'est la réalité .

                      Donc essaie de trouver autre chose de plus crédible.
                      C'est vrai, que vu ton état, c'est trop te demander .
                      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                      Commentaire


                      • #12
                        About the author
                        Hicham Yezza is an Algerian writer and human rights activist. He is the editor-in-chief of Ceasefire Magazine. Follow him on Twitter: @HichamYezza and @Ceasefire_Mag
                        c'est pire que je ne me l'imaginais .

                        Merci d'avoir été jusqu'à la signature, tu court circuites le Serpico .
                        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                        • #13
                          «Des incidents qui ont eu lieu récemment en Algérie portent à croire que la répression devra se poursuivre dans les semaines et les mois qui viennent», alerte la source, soulignant que «cette situation suscite les inquiétudes des organisations internationales de défense des droits de l'homme dont Amnesty International et Human Rights Watch».

                          Quels incidents récents ? Du printemps arabes
                          "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

                          Commentaire


                          • #14
                            Oui, j'ai vu l'article écrit par Hicham Yezza, mais il est loin du titre

                            "‘Le régime politique algérien, une catastrophe en attente",n'est pas "BOUTEFLIKA contre-attaque"
                            Le but de Lemag est de noircir le tableau "Algérie"
                            Dernière modification par nacera90, 26 octobre 2013, 17h23.

                            Commentaire


                            • #15
                              Envoyé par nacera90
                              Le but de Lemag est de noircir le tableau "Algérie"
                              C'est plutôt de rendre les makhzani plus cons qu'ils ne le sont déjà, car mis à part eux, personne ne lit ce torchon.
                              Vive le Polisario ! ....... Haba man haba, wa kariha man kariha

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