Il est une femme parmi les femmes.(1)
Il est des femmes dont les caresses du regard sont une rivière de sérénité qui emporte dans ses ondes claires toutes les turbulences des quotidiens affolés par les indifférences et les mésalliances.
Il est des femmes dont le coeur est un temple dressé pour accueillir les suppliques des coeurs qui luttent contre les turpitudes des instants violents et des matins agressifs.
Il est des femmes qui initient et inventent des rêves qui content la beauté du monde, la beauté des femmes qui arpentent langoureusement leurs allées pour perpétuer leur existence.
Il est des femmes dont la constance et l'endurance devant les blessures de la vie sont une source d'admiration et d'émulation pour tous ceux qui refusent d'abdiquer devant les impossibles.
Il est des femmes dont le sourire est un vaste soleil dont la chaleur bienfaisante rétablit les déséquilibres des regards et panses les âmes blessées souffrant des absences.
Il est des femmes dont les larmes de bonheur perlant au bord du regard frémissant irrigue les désertiques espaces des coeurs consumés par les doutes de l'exil sentimental.
Il est des femmes dont le vie est un champ de blé ondoyant sous les cieux assagis des avrils renouvelés qui parsèment des myriades de fleurs dont les effluves apaisent les tumultes des horizons des coeurs esseulés.
Il est des femmes auprès desquelles on aimerait s'asseoir entouré d'inconnues contant les mystères inventeurs des heures de joies qui arrosent les désespoirs faisant renaître l'amour de la femme, l'amour de la vie, la confiance dans les espérances et connivence enracinée dans les coeurs.
Il est des femmes dont le frémissement ensorceleur des lèvres, fleurs vermeilles nées dans les contrées magiques de la grâce et de la beauté, procure de voluptueuses harmonies qui charment les sens et éblouissent les moments abandon.
Il est des femmes dont les caresses du regard sont une rivière de sérénité qui emporte dans ses ondes claires toutes les turbulences des quotidiens affolés par les indifférences et les mésalliances.
Il est des femmes dont le coeur est un temple dressé pour accueillir les suppliques des coeurs qui luttent contre les turpitudes des instants violents et des matins agressifs.
Il est des femmes qui initient et inventent des rêves qui content la beauté du monde, la beauté des femmes qui arpentent langoureusement leurs allées pour perpétuer leur existence.
Il est des femmes dont la constance et l'endurance devant les blessures de la vie sont une source d'admiration et d'émulation pour tous ceux qui refusent d'abdiquer devant les impossibles.
Il est des femmes dont le sourire est un vaste soleil dont la chaleur bienfaisante rétablit les déséquilibres des regards et panses les âmes blessées souffrant des absences.
Il est des femmes dont les larmes de bonheur perlant au bord du regard frémissant irrigue les désertiques espaces des coeurs consumés par les doutes de l'exil sentimental.
Il est des femmes dont le vie est un champ de blé ondoyant sous les cieux assagis des avrils renouvelés qui parsèment des myriades de fleurs dont les effluves apaisent les tumultes des horizons des coeurs esseulés.
Il est des femmes auprès desquelles on aimerait s'asseoir entouré d'inconnues contant les mystères inventeurs des heures de joies qui arrosent les désespoirs faisant renaître l'amour de la femme, l'amour de la vie, la confiance dans les espérances et connivence enracinée dans les coeurs.
Il est des femmes dont le frémissement ensorceleur des lèvres, fleurs vermeilles nées dans les contrées magiques de la grâce et de la beauté, procure de voluptueuses harmonies qui charment les sens et éblouissent les moments abandon.
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