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Belles chansons de Francis Carbel

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  • Belles chansons de Francis Carbel

    Elle te fera changer la course des nuages,
    Balayer tes projets, vieillir bien avant l'âge,
    Tu la perdras cent fois dans les vapeurs des ports,
    C'est écrit ...
    Elle rentrera blessée dans les parfums d'un autre,
    Tu t'entendras hurler "que les diables l'emportent"
    Elle voudra que tu pardonnes, et tu pardonneras,
    C'est écrit...

    Elle n'en sort plus de ta mémoire
    Ni la nuit, ni le jour,
    Elle danse derrière les brouillards
    Et toi, tu cherches et tu cours ...

    Tu prieras jusqu'aux heures ou personne n'écoute,
    Tu videras tous les bars qu'elle mettra sur ta route,
    T'en passeras des nuits à regarder dehors.
    C'est écrit...

    Elle n'en sort plus de ta mémoire
    Ni la nuit, ni le jour,
    Elle danse derrière les brouillards
    Et toi, tu cherches et tu cours,
    Mais y a pas d'amours sans histoires.
    Et tu rêves, tu rêves...

    Qu'est-ce qu'elle aime, qu'est-ce qu'elle veut ?
    Et ses ombres qu'elle te dessine autour des yeux ?
    Qu'est-ce qu'elle aime ?
    Qu'est-ce qu'elle rêve, qui elle voit ?
    Et ces cordes qu'elle t'enroule autour des bras ?
    Qu'est-ce qu'elle aime ? ...

    Je t'écouterai me dire ses soupirs, ses dentelles,
    Qu'à bien y réfléchir, elle n'est plus vraiment belle,
    Que t'es déjà passé par des moments plus forts,
    Depuis ...

    Elle n'en sort plus de ta mémoire
    Ni la nuit, ni le jour,
    Elle danse derrière les brouillards
    Et toi, tu cherches et tu cours,
    Mais y a pas d'amours sans histoires.
    Oh tu rêves, tu rêves...

    Elle n'en sort plus de ta mémoire
    Elle danse derrière les brouillards
    Et moi j'ai vécu la même histoire
    Depuis je compte les jours...
    Depuis je compte les jours...
    Depuis je compte les jours...
    Dernière modification par Harrachi78, 20 septembre 2006, 22h58.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

  • #2
    Rosie

    Elle était déjà là bien avant
    Que les camions ne viennent,
    Elle tournait comme une enfant,
    Une poupée derrière la scène.
    C'était facile de lui parler,
    On a échangé quelques mots,
    Je lui ai donné mon passe
    Pour qu'elle puisse entrer voir le show.

    Elle s'est assise à côté de moi
    Sur des caisses de bière,
    Pendant que je mixais le son pour le groupe,
    Sur la scène en arrière,
    Elle les fixait à s'en brûler la peau,
    Moi, je la trouvais tellement belle,
    Après le dernier morceau,
    Le batteur est parti avec elle.

    Oh Rosie, tout est blanc,
    Tes yeux m'éclairent,
    De t'avoir eu un instant,
    J'étais tellement fier,
    Tout ce qu'il me reste à présent,
    L'envie de tout foutre en l'air,
    Et de recommencer la nuit...
    ...Rosie.

    Je suppose j'aurais dû deviner,
    Qu'elle venait pour les stars,
    Et m'empêcher de l'imaginer
    Dans mes bras plus tard,
    Depuis tout le temps que j'en tremble,
    Ce soir quand même j'ai compris,
    Faut pas dire à qui je ressemble,
    Faut dire qui je suis.

    Oh Rosie, tout est blanc,
    Tes yeux m'éclairent,
    De t'avoir eu un instant,
    J'étais tellement fier,
    Tout ce qu'il me reste à présent,
    L'envie de tout foutre en l'air,
    Et de recommencer la nuit...
    Recommencer la nuit...
    Recommencer la nuit...
    Rosie...Rosie...Rosie...Rosie...Rosie...

    http://www.youtube.com/watch?v=XbptUhQPu3w
    Dernière modification par Harrachi78, 23 septembre 2006, 13h54.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #3
      Question d'équilibre

      Je suis tout seul ce soir
      J'ai les bras collés au comptoir
      J'ai les pieds en bas dans la poussière
      La tête là-haut dans le brouillard
      Dans tous les couloirs
      J'ai cru revoir les courbes de ton corps
      Dans toutes les salles des aérogares
      Dans toutes les cales des navires du port

      J'ai besoin de toi pour vivre
      C'est une question d'équilibre
      Quand t'es partie ça m'a coupé les ailes
      Depuis le plancher m'appelle
      Le plancher m'appelle
      Le plancher m'appelle

      Faut pas m'en vouloir
      J'suis pas en état de te revoir
      J'ai laissé toutes les larmes de mon corps
      Couler dans le ruisseau en bas du trottoir
      Et tous les autres m'agacent
      Ceux qui parlent haut, ceux qui parlent fort
      Je ne vois que toi dans les grandes glaces
      Entre les bouteilles de "Southern Comfort"

      J'ai besoin de toi pour vivre
      C'est une question d'équilibre
      Quand t'es partie ça m'a coupé les ailes
      Depuis le plancher m'appelle
      Le plancher m'appelle
      Le plancher m'appelle

      Encore un verre
      Après je me couche par terre
      Je veux dormir en essayant de croire
      Que c'est encore un de tes retards
      Mais tous les autres m'agacent
      Ceux qui parlent haut, ceux qui parlent fort
      Je ne vois que toi dans les grandes glaces
      Entre les bouteilles de "Southern Comfort"

      J'ai besoin de toi pour vivre
      C'est une question d'équilibre
      Quand t'es partie ça m'a coupé les ailes
      Et depuis le plancher m'appelle
      Le plancher m'appelle
      Le plancher m'appelle
      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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      • #4
        Quand j'aime une fois, j'aime pour toujours

        J'ai marqué d'une croix
        La clôture de ta cour,
        Je suis rentré chez moi
        Par la sortie d' secours.

        Je me suis dit tout bas:
        "Non, ce n'est pas mon jour,
        Son cœur est un détroit,
        Ses yeux un carrefour."

        J'ai pris l'harmonica,
        Descendu dans la cour
        Et dessous le lilas
        J'ai chanté sans détour:

        Quand j'aime une fois,
        J'aime pour toujours.

        L'amour est un tournoi
        Où tombent tour à tour
        Les guerriers maladroits
        Noyés dans la bravoure.

        Si c'est ce que tu crois,
        Si tel est ton discours,
        Sois sûre qu'une proie
        Deviendra ton vautour.

        Alors que fais-tu là,
        Enfermée dans ta tour ?
        Je veux briser les lois
        Qui règlent tes amours.

        Quand j'aime une fois,
        J'aime pour toujours.

        Tu entendras ma voix
        Dans le ciel du faubourg.
        J'avancerai vers toi
        Avec les yeux d'un sourd.

        N'entends-tu pas déjà
        Le compte à rebours?
        Ouvre ta véranda,
        Annonce mon retour.

        Je foncerai comme un ours
        Aux pattes de velours.
        Je veux toucher du doigt
        La peau de ton tambour

        Quand j'aime une fois,
        J'aime pour toujours.

        Je foncerai comme un ours
        Aux pattes de velours.
        Je veux toucher du doigt
        La peau de ton tambour

        Quand j'aime une fois,
        J'aime pour toujours.
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #5
          quel immortel poet est francis cabrel
          de trop jolies paroles
          de tres douces melodies
          a ecouté en toute sircontance dans la joie comme dans la tristesse
          mais moi bizrarement je le préfere quand je suis d'humeur morrose je dois etre assez mazo car il m'enfonce dans ma tristesse et ça me soulage :22:
          ma préféré de ces chansons est
          c'etait l'hiver
          elle disait que jai deja trop marché
          mon coeur est deja trop lourd de secrets
          trop lourd de peines......




          oh lala elle me tue cette chanson
          ps;harrachi maintenant que je lai dans la téte je la fredonnerai pendant longtemps je pense
          c'est ma souere qui va peté un cable :22:
          Je vis de sorte que personne ne se réjouisse de ma mort ..
          .................................................. .................................
          Llah yerhmek notre rico.

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          • #6
            @larevanche

            Oui, y'en encore plein de jolies chansons de Cabrel, mais ce soir j'ai le blues, ce sont donc juste celles-là qui m'ont inspiré le plus ...
            "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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            • #7
              Merci Harrachi... (au fait, corrige le titre "carbel")

              Voici un des concert de Cabrel (de 2h17)
              http://video.google.fr/videoplay?doc...+down+on+earth...

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              • #8
                UN ami est allé le voir en concert, il donne de sa personne ... il avait continué à chanter après les 2 heures requises , tout seul sans ses musiciens encore une heure après le concert .....



                il habite dans mon coin ....

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                • #9
                  Harrachi je te rejoinds dans ton coup de blues et dans les chansons de cabrel
                  voici mes preferees


                  l encre de tes yeux


                  Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
                  Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
                  Puisqu'ils sont si nombreux
                  Même la morale parle pour eux
                  J'aimerais quand même te dire
                  Tout ce que j'ai pu écrire
                  Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

                  Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
                  À trop vouloir te regarder,
                  J'en oubliais les miennes
                  On rêvait de Venise et de liberté
                  J'aimerais quand même te dire
                  Tout ce que j'ai pu écrire
                  C'est ton sourire qui me l'a dicté.

                  Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
                  Tu viendras toujours du côté
                  Où le soleil se lève
                  Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
                  J'aimerais quand même te dire
                  Tout ce que j'ai pu écrire
                  Aura longtemps le parfum des regrets.

                  Mais puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
                  Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
                  Puisqu'ils sont si nombreux
                  Même la morale parle pour eux
                  J'aimerais quand même te dire
                  Tout ce que j'ai pu écrire
                  Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

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                  • #10
                    celle ci tres forte aussi

                    lisa

                    Lisa nos barques en papier
                    Dans le grand bassin bleu
                    Tes premiers pinceaux de noir pour les yeux
                    Tu disais souvent "on vivra ailleurs"
                    Je courais me cacher
                    Quand je voulais que tu pleures
                    Quelques hommes jouent encore
                    Comme des enfants cruels
                    Ce soir Odessa s'endort sous le ciel
                    Lisa c'est partout les mêmes
                    Les fumées des avions
                    T'es juste du mauvais côté de l'horizon
                    Les seuls trains qui partent
                    Sont des trains de banlieue
                    T'as beau tendre tes mains
                    Y a tout ce vide au milieu
                    Et tes chansons retombent
                    Aux pianos des hôtels
                    Pendant qu'Odessa s'endort sous le ciel
                    Il me reste le nom que tu portes
                    J'imagine le son de ta voix
                    Un beau jour c'est certain tu t'envoleras
                    Lisa des soldats surveillent
                    Les camions de courrier
                    Tes mots en reviennent tout déshabillés...
                    Quelques hommes jouent encore
                    Comme des enfants cruels
                    Sans doute Odessa s'endort sous le ciel
                    Il me reste le nom que tu portes
                    J'imagine le son de ta voix
                    Un beau jour c'est certain tu t'envoleras
                    Lisa, accrochée aux ailes
                    Des oiseaux dissidents

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                    • #11
                      et celle la :22: souvenirs


                      je reve

                      Le vent a fait s'approcher les nuages
                      Il fait gris au dessus des plages
                      Et la mer a l'air triste aussi
                      Le ciel n'est plus qu'un long tissu de brume
                      Il va faire une nuit sans lune
                      Et demain je n'aurai pas dormi
                      Peut-être je vais rencontrer une dame
                      Quand j'irai accrocher mon âme
                      Sur les arêtes des rochers
                      Mais le vent souffle si fort sur ces pierres
                      C'est plus la peine que j'espère
                      L'amour ne peut pas s'y poser
                      Mais je rêve
                      Je lance des mots
                      Vers le jour qui s'achève
                      Je voulais qu'il reste
                      Il n'a pas entendu
                      Plus loin sur les rocs que la mer assaille
                      Cheveux et jupon en bataille
                      Combien de femmes ont attendu
                      Combien ont crevé leur cœur sur les vagues
                      Pour celui qui avait l'autre bague
                      Et qui n'est jamais revenu
                      Mais je rêve
                      Je lance des mots
                      Vers le jour qui s'achève
                      Je voulais qu'il reste
                      Il n'a pas entendu
                      La mer est plus forte que mon courage
                      Mais ce soir il y a des nuages
                      Et je sais qu'elle est triste aussi
                      Quand ces mots seront devenus des braises
                      Je monterai sur la falaise
                      Jeter leurs cendres dans la nuit
                      Mais je rêve
                      Je lance des mots
                      Vers le jour qui s'achève
                      Je voulais qu'il reste
                      Il n'a pas entendu
                      Je dédie ces mots
                      Aux amours qui s'achèvent
                      Je voudrais que tu restes


                      ado j'étais mordu de Cabrel je les connais toutes par coeur!

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                      • #12
                        Une de mes prefere c'est l'encre de tes yeux superbe et Octobre aussi
                        Everything happens for a reason but it's up to you to find the good in it

                        Commentaire


                        • #13
                          Idem.....fan de Cabrel

                          j'aime aussi bcp celle lá

                          Elle changeait les draps de l'hôtel
                          Les traces de doigts sur les poubelles
                          Petite hirondelle, au milieu des corbeaux
                          Elle chantait "Desperado"
                          Moi, j'avais du retard sur le sommeil
                          Je m'étais fait doubler par le soleil
                          Elle de l'autre côté du couloir
                          Elle faisait chanter les miroirs
                          J'ai passé une heure de sa vie
                          Une heure sous le soleil d'Algérie
                          Sous la course des planètes
                          Y a des moments qu'on regrette
                          Derrière ses paupières mi-closes
                          Je voyais plus de gris que de rose
                          Quand je suis parti, j'ai bien compris
                          Que je perdais quelque chose
                          Ces enfants qui font rien à l'école
                          Et qui ont les poches pleines de tubes de colle
                          De toute façon personne ne t'aide
                          Quand tu t'appelles Saïd ou Mohamed
                          C'est le ciel en tôle ondulée pour toujours
                          C'est la fenêtre sur la troisième cour
                          C'est le cri des voisines plein les oreilles
                          Et les heures de mauvais sommeil
                          Mais s'il y a quelqu'un autour qui comprend
                          Le mauvais français, le musulman,
                          Sous la course des planètes
                          Ma serait bien qu'il s'inquiète
                          Avant que ses paupières n'explosent
                          Et qu'elles prennent ce gris en overdose
                          Quand je suis parti j'ai bien compris
                          Qu'on y pouvait quelque chose...
                          Toi t'envoies dix francs
                          Pour les enfants du Gange
                          Parce que t'as vu les photos qui dérangent.
                          T'envoies dix francs
                          Pour les enfants d'ailleurs
                          Parce que t'as vu les photos qui font peur
                          Et elle que tu croises en bas de chez toi
                          Elle que tu croises en bas de chez toi...
                          Depuis je suis retourné à Marseille
                          Ses amis n'ont pas de nouvelles
                          Y a trop d'hirondelles
                          Ou trop de corbeaux
                          Elle a du changer de ghetto
                          Moi, je crois plutôt qu'elle
                          Change les draps d'un autre hôtel
                          D'autres traces de doigts
                          Sur d'autres poubelles
                          De l'autre côté d'un autre couloir
                          Elle doit faire chanter les miroirs
                          Chanter les miroirs, chanter les miroirs, chanter les miroirs

                          et celle lá

                          Moi je n'étais rien
                          Et voilà qu'aujourd'hui
                          Je suis le gardien
                          Du sommeil de ses nuits
                          Je l'aime à mourir
                          Vous pouvez détruire
                          Tout ce qu'il vous plaira
                          Elle n'a qu'à ouvrir
                          L'espace de ses bras
                          Pour tout reconstruire
                          Pour tout reconstruire
                          Je l'aime à mourir

                          Elle a gommé les chiffres
                          Des horloges du quartier
                          Elle a fait de ma vie
                          Des cocottes en papier
                          Des éclats de rire
                          Elle a bâti des ponts
                          Entre nous et le ciel
                          Et nous les traversons
                          À chaque fois qu'elle
                          Ne veut pas dormir
                          Ne veut pas dormir
                          Je l'aime à mourir

                          Elle a dû faire toutes les guerres
                          Pour être si forte aujourd'hui
                          Elle a dû faire toutes les guerres
                          De la vie, et l'amour aussi
                          Elle vit de son mieux
                          Son rêve d'opaline
                          Elle danse au milieu
                          Des forêts qu'elle dessine
                          Je l'aime à mourir

                          Elle porte des rubans
                          Qu'elle laisse s'envoler
                          Elle me chante souvent
                          Que j'ai tort d'essayer
                          De les retenir
                          De les retenir
                          Je l'aime à mourir
                          Pour monter dans sa grotte
                          Cachée sous les toits
                          Je dois clouer des notes
                          À mes sabots de bois
                          Je l'aime à mourir

                          Je dois juste m'asseoir
                          Je ne dois pas parler
                          Je ne dois rien vouloir
                          Je dois juste essayer
                          De lui appartenir
                          De lui appartenir
                          Je l'aime à mourir

                          Elle a dû faire toutes les guerres
                          Pour être si forte aujourd'hui
                          Elle a dû faire toutes les guerres
                          De la vie, et l'amour aussi
                          Moi je n'étais rien
                          Et voilà qu'aujourd'hui
                          Je suis le gardien
                          Du sommeil de ses nuits
                          Je l'aime à mourir

                          Vous pouvez détruire
                          Tout ce qu'il vous plaira
                          Elle n'aura qu'à ouvrir
                          L'espace de ses bras
                          Pour tout reconstruire
                          Pour tout reconstruire
                          Je l'aime à mourir

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                          • #14
                            Pouvez vous dire à ce francis qu'il arrête de me plagier, n'est pas romantique qui veut...

                            Snif, snif...

                            J'aime aussi la chanson "la corrida"...

                            Depuis le temps que je patiente
                            Dans cette chambre noire
                            J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante
                            Au bout du couloir ;
                            Quelqu'un a touché le verrou
                            Et j'ai plongé vers le grand jour
                            J'ai vu les fanfares, les barrières
                            Et les gens autour

                            Dans les premiers moments j'ai cru
                            Qu'il fallait seulement se défendre
                            Mais cette place est sans issue
                            Je commence à comprendre
                            Ils ont refermé derrière moi
                            Ils ont eu peur que je recule
                            Je vais bien finir par l'avoir
                            Cette danseuse ridicule...

                            Est-ce que ce monde est sérieux ?
                            Est-ce que ce monde est sérieux ?
                            Andalousie je me souviens
                            Les prairies bordées de cactus
                            Je ne vais pas trembler devant
                            Ce pantin, ce minus !
                            Je vais l'attraper, lui et son chapeau
                            Les faire tourner comme un soleil

                            Ce soir la femme du torero
                            Dormira sur ses deux oreilles
                            Est-ce que ce monde est sérieux ?
                            Est-ce que ce monde est sérieux ?
                            J'en ai poursuivi des fantômes
                            Presque touché leurs ballerines
                            Ils ont frappé fort dans mon cou
                            Pour que je m'incline

                            Ils sortent d'où ces acrobates
                            Avec leurs costumes de papier ?
                            J'ai jamais appris à me battre
                            Contre des poupées
                            Sentir le sable sous ma tête
                            C'est fou comme ça peut faire du bien
                            J'ai prié pour que s'arrête
                            Andalousie je me souviens

                            Je les entends rire comme je râle
                            Je les vois danser comme je succombe
                            Je pensais pas qu'on puisse autant
                            S'amuser autour d'une tombe
                            Est-ce que ce monde est sérieux ?
                            Est-ce que ce monde est sérieux ?
                            Si, si hombre, hombre
                            Baila, baila

                            Hay que bailar de nuevo
                            Y mataremos otros
                            Otras vidas, otros toros
                            Y mataremos otros
                            Venga, venga a bailar...
                            Y mataremos otros

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