Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Doing business 2014 : Le maroc gagne 10 places

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Doing business 2014 : Le maroc gagne 10 places

    Le Maroc occupe la 87ème place dans le dernier classement de la Banque mondiale sur l'environnement des affaires.

    Enfin une bonne nouvelle qui doit booster le moral des politiques et des opérateurs économiques ! Le Maroc occupe la 87ème place dans le classement Doing Business 2014, dévoilé lundi soir. Le royaume gagne ainsi 10 places par rapport à 2013, année où il avait perdu trois rangs dans le classement général (97ème place). Doing Business est un rapport annuel de la Banque mondiale qui évalue l'évolution des dispositions mises en oeuvre pour améliorer le climat des affaires. Couvrant 189 économies, il est très attendu par les gouvernements, la communauté des affaires, les ONG et les médias.

    Singapour, Hong Kong, Nouvelle-Zélande, Etats-Unis et Danemark forment le top 5 des pays où il fait bon d'investir. A la lecture du rapport Doing Business 2014, l’Ukraine, le Rwanda, la Fédération de Russie, les Philippines et le Kosovo figurent parmi les économies ayant le plus progressé en 2012/13 dans les domaines étudiés par Doing Business.

    le360.ma

  • #2
    Top 10 des pays africains dans le rapport Doing Business 2014

    1. Maurice (20*)
    2. Rwanda (32)
    3. Afrique du Sud (41)
    4. Tunisie (51)
    5. Botswana (56)
    6. Ghana (67)
    7. Seychelles (80)
    8. Zambie (83)
    9. Maroc (87)
    10. Namibie (98)
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

    Commentaire


    • #3
      Quand on voit des pays pauvres Rwanda (32) Zambie (83).
      Et des puissances économiques régionales émergentes Brésil (116e) Algérie (153e).

      On comprend que ce classement n'est pas du tout mais alors du tout fiable !

      Commentaire


      • #4
        Laraki...Oui comme l'autre classement des écoles de business....il sera fiable quand un certain pays d'afrique du nord occupe les première places

        Commentaire


        • #5
          @barthez
          Ces classement bidons ne servent pas à grand chose. L'Algerie a 12 fois le PIB du Rwanda, et 2 fois le PIB du Maroc.

          Commentaire


          • #6
            Ces classement bidons ne servent pas à grand chose. L'Algerie a 12 fois le PIB du Rwanda, et 2 fois le PIB du Maroc.
            Selon ta logique, les USA doivent être les champions du monde de football et Qatar doit battre la côte d'ivoire ou le ghana

            Commentaire


            • #7
              Je comprend pas la relation avec le football, on parle d’économie.

              Le PIB mesure la richesse créée et à ce niveau l'Algerie dépasse largement ces pays Rwanda et Maroc.

              Commentaire


              • #8
                Car ça n'a rien avoir avec le PIB...c'est un choix, une politique faite par un pays dans un domaine....et ici le classement parle de pays où il fait bon d'investir....et à ce sujet la on sais que l'Algérie est pays où est pas bon d'investir vu les les contraintes administratives aux IDE.

                Commentaire


                • #9
                  En Algerie, on a la loi 51/49, on ne courbe pas l’échine aux investisseurs étrangers. Si on est dernier dans ce classement tant mieux.


                  Le résultat final est la richesse. Et le PIB algerien est 2 fois supérieur au PIB marocain qui courbe l’échine à ses maitres blancs.

                  Commentaire


                  • #10
                    Et t entends quoi par il est bon d investir

                    ce classement devrait etre lu comme pays ou l esclavagisme economique est encourage
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                    Commentaire


                    • #11
                      Exactement Solas tu me l’enlèves de la bouche.

                      C'est le classement de l'esclavagisme économique. Heureusement que l'Algerie est en bas. Les Algériens sont fiers.

                      Commentaire


                      • #12
                        Voila...quand un classement n'arrange pas ça tourne aux insultes haineuses. Ya rebbi te3fo 3lina de cette mentalité du moyen age.

                        Commentaire


                        • #13
                          ce classement devrait etre lu comme pays ou l esclavagisme economique est encourage
                          C'est la définition exacte.
                          Ceux qui travaillent plus et reçoivent moins sont les mieux classés.
                          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                          Commentaire


                          • #14
                            un cas desespéré

                            En Algerie, on a la loi 51/49, on ne courbe pas l’échine aux investisseurs étrangers. Si on est dernier dans ce classement tant mieux.
                            tout à fait d'accord avec toi. il vaut mieux soutenir les mûrs et manger dans les poubelles.

                            Commentaire


                            • #15
                              laraki tu crois que tes paroles vont changer quelqueshose a la realite des choses ???


                              eduque toi l'ami

                              Actualité >
                              High-Tech
                              "Smart Kigali": le Rwanda attire les investisseurs avec le wifi gratuit


                              Dans un espace flambant neuf de la Kigali City Tower, Lee Il-mo jongle avec son ordinateur portable, son Smartphone et sa tablette numérique. Avant, pour utiliser internet, il devait consommer une boisson dans un café, désormais l'accès est gratuit. | Tony Karumba Réagir

                              Dans un espace flambant neuf de la Kigali City Tower, Lee Il-mo jongle avec son ordinateur portable, son Smartphone et sa tablette numérique. Avant, pour utiliser internet, il devait consommer une boisson dans un café, désormais l'accès est gratuit.
                              "Je télécharge des vidéos et des livres", glisse ce Sud-Coréen de 31 ans depuis le centre de la capitale rwandaise.
                              Depuis quelques années, le président Paul Kagame, au pouvoir depuis que son parti, l'ex-rébellion du Front patriotique rwandais, a mis fin au génocide des Tusti en 1994, rêve de transformer son pays, encore largement rural, en un centre névralgique régional en matière de nouvelles technologies.

                              MON ACTIVITÉ
                              Vos amis peuvent maintenant voir cette activité Supprimer X
                              Le mois dernier, Kigali a annoncé le déploiement du wifi gratuit dans certains lieux clés de la capitale, avec pour ambition de généraliser cet accès à tous les bâtiments publics, les hôtels, les bus ou encore les écoles secondaires du pays.
                              Le but, selon le ministre des Technologies de l'Information et de la Communication, Jean Philibert Nsengimana, est d'"accélérer la croissance du marché d?Internet au Rwanda" et d'attirer les investisseurs.
                              "La connectivité est l?un des plus grands atouts pour les affaires dans cet âge de l'économie numérique", affirme-t-il, soulignant que ce projet n'est que "la partie émergée de l?iceberg", que "la chose la plus importante, c?est la 4G".
                              En juin, Kigali a signé un partenariat avec l'entreprise sud-coréenne KT Corp, pour la construction d?un réseau 4G large bande. L?objectif: permettre à 95% des Rwandais d'avoir accès au haut débit d?ici trois ans -- seulement 10% de la population a pour l'instant accès à la 3G.
                              "L?internet à large bande, on le considère comme un bien de première nécessité, comme l?eau et l'électricité", plaide M. Nsengimana, précisant qu'une fois le stade de la 4G atteint, l?accès gratuit disparaîtra.
                              Sur cette ambitieuse route, se dressent cependant encore d'importants obstacles : la fourniture d'électricité laisse encore à désirer et si le Rwanda a fait des progrès en matière de lutte contre la pauvreté, il devra aussi réduire le fossé entre Kigali et les milieux ruraux pour permettre l'accès au matériel informatique à une population au pouvoir d'achat très faible.
                              Main d'oeuvre insuffisante
                              En attendant, pour réaliser son "Smart Kigali", le gouvernement compte sur le secteur privé.
                              Le wifi gratuit à Kigali "n?a rien coûté au gouvernement", explique M. Nsengimana. C'est "une contribution" volontaire du secteur des télécommunications.
                              Du côté du privé, l?enthousiasme est là, mais plus mesuré: "Smart Kigali est réellement un test, il va permettre de donner aux gens un aperçu des progrès à venir", dit Alex Ntale, directeur de la Chambre des Nouvelles technologies de l'information et de la communication du Rwanda.
                              "Mais ce ne sera pas éternel, quelqu?un va devoir payer un moment ou un autre.(?) Les entreprises cherchent leur modèle économique.(?) elles essaient de voir si le marché est effectivement là", explique-t-il. Si elles "ne trouvent pas de modèle économique, c?est leur droit d?éteindre les machines".
                              "Smart Kigali" a-t-il réellement les moyens de transformer le Rwanda en "centre d'affaires régional"?
                              A long terme, peut-être, estime Mark Bohlund, économiste spécialiste de l'Afrique subsaharienne chez IHS Global Insight, même si à court terme, dit-il, l'économie rwandaise "demeurera dépendante des revenus du tourisme".
                              L'idée serait d'abord de servir de tête de pont à l'Est, riche mais instable, de la République démocratique du Congo (RDC) voisine. Car le Rwanda restera confronté à la concurrence de la première économie régionale, le Kenya, leader en matière de paiement mobile et qui héberge déjà des géants des nouvelles technologies comme Intel, Google et Microsoft.
                              Elettra Pauletto, analyste chez Control Risks, juge elle que le Rwanda a encore des progrès à faire avant d?attirer de gros investisseurs.
                              Car, si le pays est l'un des moins corrompus d'Afrique et classé 3e en Afrique sub-saharienne par la Banque mondiale pour son amélioration de l'environnement des affaires, il reste "très faible en matière de suivi des entreprises nouvellement créées", juge-t-elle.
                              De plus, poursuit-elle, les qualifications "demeurent faibles, même si elles s'améliorent" et le Rwanda ne bénéficie pas encore d?une réserve de main d??uvre suffisante pour attirer les gros investisseurs.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X