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ABUJA, 29oct 2013 (SPS) - Les travaux d’une conférence africaine de solidarité avec le peuple du Sahara Occidental dans son combat pour l’indépendance se sont ouverts lundi à Abuja (Nigéria), avec la participation du ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh.
Le coup d’envoi de cette conférence de trois jours a été donné par le
président du syndicat nigérian des travailleurs, Abdulwahed Omar, en présense de délégations représentants 27 pays, 17 africains et 10 d’Europe et d’Amérique latine.
Dans son allocution, Abdulwahed Omar a, en substance, émis le
vœu que "la présente conférence fasse la lumière sur les raisons qui empêchent encore le peuple sahraoui d’accéder à l’indépendance", réitérant le soutien du Nigéria au Sahara occidental "dans son droit inaliénable à l’autodétermination conformément à la légalité internationale".
Selon les organisateurs, l’objectif de cette conférence est de "réaffirmer
la nature africaine du conflit et de rappeler que l’Afrique n’est pas entièrement libérée puisque un de ses territoires, le Sahara Occidental, demeure sous le joug du colonialisme".
L’Algérie est représentée à ce rendez-vous africain à travers une délégation conduite par le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS).
Le CNASPS avait indiqué qu’il saisirait cette occasion afin de plaider
pour le "respect" des droits de l’Homme au Sahara occidental occupé et pour continuer d’appeler à la mise en place d’un "mécanisme onusien" de surveillance et de protection de ces droits dans les territoires sahraouis sous occupation marocaine.
A partir de cette tribune africaine, le Comité que préside Mahrez Lamari,
compte également lancer un appel "pressant" à l’ONU pour lui rappeler "la responsabilité qui incombe à son Conseil de sécurité dans le processus devant conduire au parachèvement de la décolonisation du territoire du Sahara occidental".
Le programme de la première journée comporte la diffusion d’un film
documentaire de 12 mn sur la question sahraouie intitulée "Pas d’alternative (à l’autodétermination)" .
La projection sera suivie d’un débat sur le thème de "La décolonisation
au Sahara occidental: responsabilité de l’Union africaine (UA) et des Nations unies". (SPS) 088/700/090
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Le coup d’envoi de cette conférence de trois jours a été donné par le
président du syndicat nigérian des travailleurs, Abdulwahed Omar, en présense de délégations représentants 27 pays, 17 africains et 10 d’Europe et d’Amérique latine.
Dans son allocution, Abdulwahed Omar a, en substance, émis le
vœu que "la présente conférence fasse la lumière sur les raisons qui empêchent encore le peuple sahraoui d’accéder à l’indépendance", réitérant le soutien du Nigéria au Sahara occidental "dans son droit inaliénable à l’autodétermination conformément à la légalité internationale".
Selon les organisateurs, l’objectif de cette conférence est de "réaffirmer
la nature africaine du conflit et de rappeler que l’Afrique n’est pas entièrement libérée puisque un de ses territoires, le Sahara Occidental, demeure sous le joug du colonialisme".
L’Algérie est représentée à ce rendez-vous africain à travers une délégation conduite par le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS).
Le CNASPS avait indiqué qu’il saisirait cette occasion afin de plaider
pour le "respect" des droits de l’Homme au Sahara occidental occupé et pour continuer d’appeler à la mise en place d’un "mécanisme onusien" de surveillance et de protection de ces droits dans les territoires sahraouis sous occupation marocaine.
A partir de cette tribune africaine, le Comité que préside Mahrez Lamari,
compte également lancer un appel "pressant" à l’ONU pour lui rappeler "la responsabilité qui incombe à son Conseil de sécurité dans le processus devant conduire au parachèvement de la décolonisation du territoire du Sahara occidental".
Le programme de la première journée comporte la diffusion d’un film
documentaire de 12 mn sur la question sahraouie intitulée "Pas d’alternative (à l’autodétermination)" .
La projection sera suivie d’un débat sur le thème de "La décolonisation
au Sahara occidental: responsabilité de l’Union africaine (UA) et des Nations unies". (SPS) 088/700/090
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