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L'Algérie à la traîne dans les universités privées

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  • L'Algérie à la traîne dans les universités privées

    «La Tunisie possède 25 universités privées, le Maroc 17 universités privées et l'Algérie n'en possède aucune!»
    Dans la poursuite des travaux du séminaire sur les ressources humaines et les compétences, qui a été retenu hier à Alger, M.Reda Hamiani, président du forum des chefs d'entreprises a souligné qu'après l'ouverture d'une université privée en Corée du Nord, L'Algérie demeure le seul pays dans le monde qui n'a pas adapté et autorisé l'ouverture de L'université privée.
    «La situation de l'étudiant algérien nécessite un bouleversement absolu d'une politique renouvelée d'éducation, d'enseignement supérieur et de formation professionnelle», a souligné M. Hamiani, en indiquant que le débat a été retenu autour d'une organisation sous forme de panels pour donner de multiples occasions d'échange entre les panélistes, d'une part et entre ceux-ci et l'ensemble des participants, d'autre part. Il ajoute, en outre que «la Tunisie possède 25 universités privées, le Maroc 17 universités privées et l'Algérie ne possède aucune!».
    Les participants ont insisté sur l'organisation, la formation et l'employabilité.
    «Nous devons prendre conscience qu'un système d'éducation, d'enseignement supérieur, de recherche de formation et de perfectionnement professionnel de qualité est la clé de voûte de toute politique de développement économique et social et une assurance importante pour l'avenir», a souligné M. Omar Ramdane, présidant d'honneur du Forum des chefs d'entreprises, il a ajouté qu'«il n'existe pas de modèle unique d'organisation, mais des règles de bonne gouvernance».
    M.Ramdane invite les autorités à multiplier les efforts en offrant des opportunités de formations au profit des jeunes exclus du système éducatif et qui sont à la recherche d'une qualification favorisant l'insertion professionnelle et la création d'autoemploi.
    De son côté, M.Mohamed Saïb Musette a indiqué que «les jeunes sont découragés et perdus, ils ne sont ni à l'école, ni dans le monde de l'emploi, où sont-ils?
    On remarque une baisse du contrat à durée indéterminée (CDI), et une hausse du contrat à durée déterminée». En regrettant la triste réalité des jeunes qui interprètent une grave situation.
    Il indique que seulement 30% d'entre eux ont un emploi permanent.
    «Une gouvernance des établissements de formation pour une meilleure adéquation formation d'emploi et une meilleure employabilité des diplômés, en 2011 plus de 1400.000 diplômés universitaires ont fini leurs études, et plus de 5 millions d'étudiants sont inscrits», ajoute M.Mohamed Saïb Musette.
    Par ailleurs, le FCE veut contribuer à faire évoluer la réflexion sur la question sensible de l'emploi et sur la relation d'interdépendance qui existe entre l'emploi, la formation et l'employabilité d'une part, le développement économique et social, d'autre part.
    L'objectif est également de formuler des propositions de nature à contribuer à amorcer la connexion entre le monde de l'entreprise et de l'économie en général, notamment la formation

    l'expression

  • #2
    «La Tunisie possède 25 universités privées, le Maroc 17 universités privées et l'Algérie n'en possède aucune!»
    Dieu nous en préserve.

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    • #3
      «La Tunisie possède 25 universités privées, le Maroc 17 universités privées et l'Algérie n'en possède aucune!»
      n'importe quoi ces statistiques....universités privées ne servent à rien....indice INDH...taux analphabète....

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      • #4
        «La Tunisie possède 25 universités privées, le Maroc 17 universités privées et l'Algérie n'en possède aucune!»
        Et alors.

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        • #5
          les universités privés possédent un reseau que le public ne peut pas offrir.
          Ces universités privés ou ecole privé comptent parmi eux des chef d'entreprises , des cadres dans de grandes societés , des personnes trés influentes dans la sphere privée du monde du travail.
          Ils connaissent donc beaucoup mieux le marché du travail et les besoins des grandes entreprises au niveau des ressources humaines.

          Se priver des écoles universités privés , c'est de s'exclure du monde de travail où des nouvelles competences nouveaux diplomes sont en pleines evolutions.
          Le notable a son bouclier fiscal , et l'esclave doit se battre avec une couverture sociale....

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          • #6
            Au Canada, non plus , il n'y a pas d'universités privées...
            Privées ou publiques, elles ont toujours besoin de financement de l'état et elles peuvent être bonnes ou mauvaises.
            Au Maghreb, privées ou publiques, elles sont toutes les der de der.

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            • #7
              les étudiants qui n'arrivent pas à accéder aux grandes écoles et aux facultés techniques faute de très bonnes notes , et s'ils ont les moyens , peuvent continuer leurs études dans les écoles supérieures privées qui donnent des formations en management ou en ingénierie ce qui leurs permettraient au moins d'avoir plus de chance de trouver un travail dans le secteur privé , au lieu de poursuivre des études académiques sans lendemain
              Dernière modification par haddou, 30 octobre 2013, 16h10.

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              • #8
                pour toi donc, les universités privées, c'est pour les cancres qui n'ont pas assez de bonnes notes pour aller au public ?

                ce n'est pas comme ça que ça fonctionne partout au monde. Je connais des universités privées qui ne prennent que les meilleurs, les moins bons ne peuvent, de toutes les façons, suivre le rythme.

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                • #9
                  Harvard est privée...

                  A force de vilifier le privé pour un tout-etat, vous tuez la concurrence et vous poussez l'etat a rester dans la nullité. Le privé doit avoir sa place,d'abord parce que l'etat ne peut pas assurer toutes les specialites et toutes les formations. Ensuite, parce que les entreprises qui embauchent doivent etre le seul juge des profils de formation.

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                  • #10
                    pour toi donc, les universités privées, c'est pour les cancres qui n'ont pas assez de bonnes notes pour aller au public ?

                    tu as déformé mon idée , les places sont limitées donc on demande un maximum de notes pour y accéder , le reste même s'ils sont bons doivent poursuivre leurs études , ce sont les écoles privées qui les reçoivent

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                    • #11
                      L'idée de base de l'article est ridicule. Certes, l'Etat doit autoriser les universités privées pour offrir plus de choix aux étudiants, mais cela ne veut pas absolument pas dire que sans les universités privées, l'Algérie est pénalisée par rapport au Maroc ou à la Tunisie comme le suggère l'article. En France par exemple, les meilleures universités sont publiques. La priorité de l'Algérie doit être d'offrir un enseignement supérieur de qualité ET de coût abordable à tous les étudiants algériens.

                      Aux Etats-Unis, "la Mecque" des universités privées, l'écrasante majorité des étudiants deviennent très endettés après leurs études. Un chiffre qui parle de lui même: la dette totale des étudiants américains est estimée à 1200 milliards $, soit environ 7,5% du PIB américain ou encore près de 50% du PIB total de tous les pays arabes réunis!

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                      • #12
                        Au Maroc certaines filières ou Masters n'existent que dans certaines universités privés cas de l'université Al akhawayne. Concernant l'endettement...ces universités offre la gratuité ou des réduction (de 10 à 70%) de frais pour les étudiants mieux classés cad des bourses d'excellences sont offertes (étudiants boursés)

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                        • #13
                          Les Etats unis est un systeme particulier, oui les etudes sont payants, mais a la sortie les jobs sont generalement assures et bien payes, les etudiants remboursent leur dette generalement sans probleme.

                          Pour le reste, tout a fait, l'etat doit se limiter a garantir une formation publique adequate, et ne doit aucunement entraver le privé. Ces deux sont complementaires et le besoin est tel que le public et le prive seront satures en tous les cas.

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                          • #14
                            salam

                            hisbicis meme le president hussein baraka president des etat unis a reconnu avoir regle sa dettes cote etude en 2012

                            Je peut te dire qu ils sort pas de la cuisse de jupitere

                            havards tu me rire

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                            • #15
                              suite

                              Les hobyy s est une pratique angloxaxon hisbucus

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