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Les malades souffrant du lymphome ont des chances d’être guéris si le diagnostic est fait assez tôt. En plus de la prise en charge à l’hôpital, le traitement de ce type de cancer, mal connu, coûte 17 000 euros par malade.
C’est ce qui ressort de la réunion scientifique qui a regroupé les chefs de service d’hématologie de différents CHU, pour discuter des perspectives thérapeutiques concernant les maladies de lymphomes, qui s’est tenue à Alger.
Dans ce contexte, les spécialistes en la matière ont plaidé pour la création d’un centre de greffe, en plus de celui du CPMC, et ce pour alléger la charge sur ce dernier. Selon eux, la cause exacte du lymphome reste encore méconnue et il existe sous différentes formes.
Le lymphome est un terme général pour désigner un cancer du système lymphatique. Ce dernier fait partie du système immunitaire du corps et se compose d’un ensemble complexe d’organes lymphoïdes dont la moelle osseuse, le thymus et la rate.
Le système lymphatique est rempli d’un liquide appelé lymphe, qui transporte des nutriments, des déchets et des globules blancs (lymphocytes) à travers le corps. Lorsque les lymphocytes se développent anormalement ou ne disparaissent pas du système, ils s’accumulent dans les ganglions lymphatiques et forment des tumeurs.
Cependant, certaines formes de lymphome sont susceptibles de se développer chez les personnes suivant un traitement médical à la suite d’une greffe ou chez les personnes dont les défenses immunitaires sont affaiblies, à cause, par exemple, du VIH/Sida.
L’exposition à certains produits chimiques contenus dans les pesticides et certains produits d’entretien pour le bois pourrait être à l’origine de la maladie. Néanmoins, le lymphome n’est ni contagieux ni héréditaire. Concernant les symptômes et diagnostics, les symptômes les plus courants sont, entre autres, une grosseur indolore au niveau du cou ou des aisselles, des sueurs nocturnes, une fièvre inexplicable, une perte de poids et une grande fatigue, une toux et des difficultés respiratoires et une constante démangeaison sur tout le corps.
Les grosseurs liées à la maladie peuvent aussi se manifester sur d’autres parties du corps, comme par exemple l’estomac, le système nerveux ou la peau. Seul un examen au microscope d’un ganglion lymphatique permet d’affirmer le diagnostic ; c’est ce qu’on appelle une biopsie.
Par ailleurs, il existe plusieurs traitements possibles contre le lymphome. Pour le choix du traitement, certains facteurs entrent en ligne de compte, comme le stade d’avancement de la maladie. Les principaux traitements peuvent être suivis séparément ou être associés.
Le professeur Réda Benabdallah, de l’Institut de l’unité de lymphome à Marseille, a présenté les lymphomes folliculaires à forte masse tumorale et le traitement de cette maladie qui passe par la chimiothérapie. Le lymphome est un cancer du sang qui tue près de 200 000 personnes, chaque année, dans le monde.
- Le jeune Indépendant
C’est ce qui ressort de la réunion scientifique qui a regroupé les chefs de service d’hématologie de différents CHU, pour discuter des perspectives thérapeutiques concernant les maladies de lymphomes, qui s’est tenue à Alger.
Dans ce contexte, les spécialistes en la matière ont plaidé pour la création d’un centre de greffe, en plus de celui du CPMC, et ce pour alléger la charge sur ce dernier. Selon eux, la cause exacte du lymphome reste encore méconnue et il existe sous différentes formes.
Le lymphome est un terme général pour désigner un cancer du système lymphatique. Ce dernier fait partie du système immunitaire du corps et se compose d’un ensemble complexe d’organes lymphoïdes dont la moelle osseuse, le thymus et la rate.
Le système lymphatique est rempli d’un liquide appelé lymphe, qui transporte des nutriments, des déchets et des globules blancs (lymphocytes) à travers le corps. Lorsque les lymphocytes se développent anormalement ou ne disparaissent pas du système, ils s’accumulent dans les ganglions lymphatiques et forment des tumeurs.
Cependant, certaines formes de lymphome sont susceptibles de se développer chez les personnes suivant un traitement médical à la suite d’une greffe ou chez les personnes dont les défenses immunitaires sont affaiblies, à cause, par exemple, du VIH/Sida.
L’exposition à certains produits chimiques contenus dans les pesticides et certains produits d’entretien pour le bois pourrait être à l’origine de la maladie. Néanmoins, le lymphome n’est ni contagieux ni héréditaire. Concernant les symptômes et diagnostics, les symptômes les plus courants sont, entre autres, une grosseur indolore au niveau du cou ou des aisselles, des sueurs nocturnes, une fièvre inexplicable, une perte de poids et une grande fatigue, une toux et des difficultés respiratoires et une constante démangeaison sur tout le corps.
Les grosseurs liées à la maladie peuvent aussi se manifester sur d’autres parties du corps, comme par exemple l’estomac, le système nerveux ou la peau. Seul un examen au microscope d’un ganglion lymphatique permet d’affirmer le diagnostic ; c’est ce qu’on appelle une biopsie.
Par ailleurs, il existe plusieurs traitements possibles contre le lymphome. Pour le choix du traitement, certains facteurs entrent en ligne de compte, comme le stade d’avancement de la maladie. Les principaux traitements peuvent être suivis séparément ou être associés.
Le professeur Réda Benabdallah, de l’Institut de l’unité de lymphome à Marseille, a présenté les lymphomes folliculaires à forte masse tumorale et le traitement de cette maladie qui passe par la chimiothérapie. Le lymphome est un cancer du sang qui tue près de 200 000 personnes, chaque année, dans le monde.
- Le jeune Indépendant