Immédiatement après la visite de Christopher Ross en Algérie, le pouvoir algérien a lancé, comme pour se venger, une suite d’agressions politiques et médiatiques contre le Maroc.
Mercredi après midi, s’est tenue à New York, une réunion du conseil de sécurité de l’ONU, pour évaluer les derniers développements de l’affaire du Sahara.
A pris part à cette réunion, l’envoyé personnel du secrétaire général des nations unies pour le Sahara, Christopher Ross ainsi que le patron de la MINURSO.
Durant cette rencontre, Ross a exposé les résultats de sa récente tournée dans la région nord-africaine, durant laquelle il a visité les deux pays belligérants, le Maroc et l’Algérie.
Le fait inédit et qui rompt avec l’habitude qu’a pris Ross dans le traitement de ce dossier, c’est qu’il a décidé de retourner dans la région, des semaines seulement après y avoir été.
Deux visites en des délais aussi rapprochées, et la réaction enragée du pouvoir algérien qui a fait dégrader ses relations avec le Maroc, immédiatement après le départ de Ross, laisse à croire que le régime algérien a été choqué et terrorisé par ce que l’envoyé onusien lui aurait exposé.
Devant le conseil de sécurité, Ross a indiqué qu’il allait reprendre ses rencontres avec toutes les parties, chacune à part, et qu’il n’organiserait de négociation directe que s’il obtient des garanties de tous, pour des avancées substantielles sur le chemin de résolution du dossier.
La solution serait-elle ainsi proche et ferait-elle tant peur au pouvoir algérien au point de provoquer sa rage constatée?
Le président malade Abdelaziz Bouteflika a, ainsi, balayé les résolutions de l’ONU sur le Sahara, qui parlent de solution politique et mutuellement acceptable.
Il est allé malgré son hémiplégie, composer, par des termes guerriers qualifiant le Maroc de «forces d’occupation» et le Sahara de «Territoires occupés», son message adressé à des subsahariens pro-polisario, ameutés en urgence par Alger à Abuja, pour insulter et menacer le Maroc.
Reste à savoir quelle solution, Ross a annoncé à Alger, au point de tant terroriser le pouvoir algérien, qui devrait avoir peur que des régions algériennes, n’en exige aussi ?
lemag
Mercredi après midi, s’est tenue à New York, une réunion du conseil de sécurité de l’ONU, pour évaluer les derniers développements de l’affaire du Sahara.
A pris part à cette réunion, l’envoyé personnel du secrétaire général des nations unies pour le Sahara, Christopher Ross ainsi que le patron de la MINURSO.
Durant cette rencontre, Ross a exposé les résultats de sa récente tournée dans la région nord-africaine, durant laquelle il a visité les deux pays belligérants, le Maroc et l’Algérie.
Le fait inédit et qui rompt avec l’habitude qu’a pris Ross dans le traitement de ce dossier, c’est qu’il a décidé de retourner dans la région, des semaines seulement après y avoir été.
Deux visites en des délais aussi rapprochées, et la réaction enragée du pouvoir algérien qui a fait dégrader ses relations avec le Maroc, immédiatement après le départ de Ross, laisse à croire que le régime algérien a été choqué et terrorisé par ce que l’envoyé onusien lui aurait exposé.
Devant le conseil de sécurité, Ross a indiqué qu’il allait reprendre ses rencontres avec toutes les parties, chacune à part, et qu’il n’organiserait de négociation directe que s’il obtient des garanties de tous, pour des avancées substantielles sur le chemin de résolution du dossier.
La solution serait-elle ainsi proche et ferait-elle tant peur au pouvoir algérien au point de provoquer sa rage constatée?
Le président malade Abdelaziz Bouteflika a, ainsi, balayé les résolutions de l’ONU sur le Sahara, qui parlent de solution politique et mutuellement acceptable.
Il est allé malgré son hémiplégie, composer, par des termes guerriers qualifiant le Maroc de «forces d’occupation» et le Sahara de «Territoires occupés», son message adressé à des subsahariens pro-polisario, ameutés en urgence par Alger à Abuja, pour insulter et menacer le Maroc.
Reste à savoir quelle solution, Ross a annoncé à Alger, au point de tant terroriser le pouvoir algérien, qui devrait avoir peur que des régions algériennes, n’en exige aussi ?
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