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(ministre)
ALGER, 31 oct 2013 (APS)- Le ministre des moudjahidine, Mohamed Cherif Abbas a affirmé, jeudi, que la loi sur le moudjahid et le chahid "ne considère pas systématiquement toute victime de la barbarie du colonisateur comme étant un ‘ayant-droit’".
Dans un entretien à l’APS à la veille de la célébration du 59ème anniversaire du déclenchement de la guerre de libération, M. Cherif Abbas a souligné que la loi en question "a fixé les critère d’octroi de la qualité de chahid aux victimes de la guerre de libération" ajoutant que "cette loi qui a fixé les cadres et critères d’octroi de la qualité de moudjahid et de chahid et consacré leurs droits sociaux, ne considère pas systématiquement toute victime de la barbarie du colonisateur comme étant un ayant-droit".
Parmi les conditions d’éligibilité, il convient de prouver que "l’intéressé a participé de manière effective et continue à la guerre de libération dans les rangs du Front et de l’armée de libération nationales ou sous leur bannière", a précisé le ministre ajoutant que l’opération de reconnaissance des victimes des massacres du 8 mai 1945 "est une question épineuse".
Pour rappel, le groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS) à l’APN avait déposé auprès du bureau de l’APN, il y a un mois, un projet de loi proposant d’inclure les victimes des massacres du 8 mai 1945 à la liste des chouhada.
"Même si nous reconnaissons que des millions de personnes ont payé de leur vie le prix de l’indépendance durant la résistance et la lutte armée, cependant, les chouhada tombés au champs d’honneur durant les périodes précédant la guerre de libération n’ont pas été répertoriés et leur participation effective n’a pas été établie, comme l’est le cas des chouhada de la guerre de libération", a affirmé le ministre.
"Le terme de chahid n’a pas été occulté dans tout ce qui a traitant aux différentes périodes de la résistance algérienne et jusqu’à la fin de la guerre", a rappelé le ministre affirmant que "les massacres du 8 mai constituent l’une des principales étapes historiques ayant balisé le terrain à la lutte armée dont nous célébrons le 59ème anniversaire et qui fut couronnée de l’indépendance et du recouvrement de la souveraineté nationale".
aps
ALGER, 31 oct 2013 (APS)- Le ministre des moudjahidine, Mohamed Cherif Abbas a affirmé, jeudi, que la loi sur le moudjahid et le chahid "ne considère pas systématiquement toute victime de la barbarie du colonisateur comme étant un ‘ayant-droit’".
Dans un entretien à l’APS à la veille de la célébration du 59ème anniversaire du déclenchement de la guerre de libération, M. Cherif Abbas a souligné que la loi en question "a fixé les critère d’octroi de la qualité de chahid aux victimes de la guerre de libération" ajoutant que "cette loi qui a fixé les cadres et critères d’octroi de la qualité de moudjahid et de chahid et consacré leurs droits sociaux, ne considère pas systématiquement toute victime de la barbarie du colonisateur comme étant un ayant-droit".
Parmi les conditions d’éligibilité, il convient de prouver que "l’intéressé a participé de manière effective et continue à la guerre de libération dans les rangs du Front et de l’armée de libération nationales ou sous leur bannière", a précisé le ministre ajoutant que l’opération de reconnaissance des victimes des massacres du 8 mai 1945 "est une question épineuse".
Pour rappel, le groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS) à l’APN avait déposé auprès du bureau de l’APN, il y a un mois, un projet de loi proposant d’inclure les victimes des massacres du 8 mai 1945 à la liste des chouhada.
"Même si nous reconnaissons que des millions de personnes ont payé de leur vie le prix de l’indépendance durant la résistance et la lutte armée, cependant, les chouhada tombés au champs d’honneur durant les périodes précédant la guerre de libération n’ont pas été répertoriés et leur participation effective n’a pas été établie, comme l’est le cas des chouhada de la guerre de libération", a affirmé le ministre.
"Le terme de chahid n’a pas été occulté dans tout ce qui a traitant aux différentes périodes de la résistance algérienne et jusqu’à la fin de la guerre", a rappelé le ministre affirmant que "les massacres du 8 mai constituent l’une des principales étapes historiques ayant balisé le terrain à la lutte armée dont nous célébrons le 59ème anniversaire et qui fut couronnée de l’indépendance et du recouvrement de la souveraineté nationale".
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