Après le communiqué du SNPM (Syndicat national de la presse makhzenienne) se félicitant de la libération du journaliste Ali Anouzla, alors qu’il l’avait enfoncé lors de son arrestation, voici venu le tour du ministre de l’injustice et du peu de libertés, El Mostafa Ramid, pour tenter de s’amender.
Ramid, qui avait également enfoncé Anouzla en défendant la décision du parquet de le poursuivre sur la base de la loi antiterroriste (une loi que le PJD avait combattu quand il était dans l’opposition…), a tenu, en catimini, à féliciter le directeur de Lakome après sa mise en liberté.
Un journaliste, qui s’était présenté à la porte de la prison de Salé pour accueillir Anouzla, a été utilisé par le ministre de l’injustice pour faire passer ses « félicitations ». Hors des caméras et des regards indiscrets, ce journaliste, dont certains pensent qu’il s’agit de Taoufik Bouachrine, le directeur du quotidien arabophone Akhbar Al Yaoum, a reçu, tout à fait par hasard bien entendu, sur son portable un coup de fil de Ramid. Entreprenant, il a passé le portable à Anouzla qui, selon le site Goud, « a été piégé » puisqu’il ne s’y attendait pas.
Le bon Ramid a alors félicité Anouzla pour sa mise en liberté. B’la hchouma !
source : demainonline
Ramid, qui avait également enfoncé Anouzla en défendant la décision du parquet de le poursuivre sur la base de la loi antiterroriste (une loi que le PJD avait combattu quand il était dans l’opposition…), a tenu, en catimini, à féliciter le directeur de Lakome après sa mise en liberté.
Un journaliste, qui s’était présenté à la porte de la prison de Salé pour accueillir Anouzla, a été utilisé par le ministre de l’injustice pour faire passer ses « félicitations ». Hors des caméras et des regards indiscrets, ce journaliste, dont certains pensent qu’il s’agit de Taoufik Bouachrine, le directeur du quotidien arabophone Akhbar Al Yaoum, a reçu, tout à fait par hasard bien entendu, sur son portable un coup de fil de Ramid. Entreprenant, il a passé le portable à Anouzla qui, selon le site Goud, « a été piégé » puisqu’il ne s’y attendait pas.
Le bon Ramid a alors félicité Anouzla pour sa mise en liberté. B’la hchouma !
source : demainonline
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