En 14 ans de pouvoir, Bouteflika a pu financer de nombreux grands projets publics (infrastructures, logements...etc) grâce à l'argent des hydrocarbures dont les prix ont fortemement augmentés depuis les années 2000.
Mais Bouteflika a fait peu voire rien du tout pour moderniser l'Algérie pour en faire un un Etat de droit, démocratique et prospère.
Avec un PIB d'environ 210 milliards $ en 2012, l'Algérie est la 48e puissance économique du monde selon le FMI et a donc les ressources financières nécessaires pour être une vraie puissance africaine et mondiale, mais dans la majorité des classements définissant le profil d'un pays, l'Algérie est parmi les mauvais élèves du monde.
Quelques exemples. L'Algérie est:
- 125e dans la liberté de la presse (Classement RSF 2013)
- 138e dans l'innovation (Global Innovation Index 2013)
- 153e dans le climat des affaires (Classement Doing Business 2014))
- 105e dans la lutte contre la corruption (Indice de perception de la corruption 2012)
Autrement dit, les vastes richesses de l'Algérie sont très mal gérées et ne profitent qu'à une minorité, dont les corrompus de la classe dirigeante (civile et militaire).
Avec un bilan aussi médiocre, l'incompétent Bouteflika veut continuer à végéter à El Mouradia (4e mandat?) en condamnant l'Algérie à la stagnation pendant que les autres pays du monde se font une concurrence acharnée pour être les meilleurs et les plus attractifs.
Mais Bouteflika a fait peu voire rien du tout pour moderniser l'Algérie pour en faire un un Etat de droit, démocratique et prospère.
Avec un PIB d'environ 210 milliards $ en 2012, l'Algérie est la 48e puissance économique du monde selon le FMI et a donc les ressources financières nécessaires pour être une vraie puissance africaine et mondiale, mais dans la majorité des classements définissant le profil d'un pays, l'Algérie est parmi les mauvais élèves du monde.
Quelques exemples. L'Algérie est:
- 125e dans la liberté de la presse (Classement RSF 2013)
- 138e dans l'innovation (Global Innovation Index 2013)
- 153e dans le climat des affaires (Classement Doing Business 2014))
- 105e dans la lutte contre la corruption (Indice de perception de la corruption 2012)
Autrement dit, les vastes richesses de l'Algérie sont très mal gérées et ne profitent qu'à une minorité, dont les corrompus de la classe dirigeante (civile et militaire).
Avec un bilan aussi médiocre, l'incompétent Bouteflika veut continuer à végéter à El Mouradia (4e mandat?) en condamnant l'Algérie à la stagnation pendant que les autres pays du monde se font une concurrence acharnée pour être les meilleurs et les plus attractifs.
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