Par : Madjid T
Une cérémonie de réinhumation des restes de quatre chahid de la révolution a été organisée samedi dans la commune de Souk El-Had (wilaya de Boumerdès), en présence des autorités locales et de nombreux élèves et lycéens de la région. Les restes des chouhada tombés au champ d’honneur le 14 mai 1957 ont été identifiés : il s’agit de Bentaleb Mohamed et son fils, Kourougli Ali et Rekkas Lounès. Ils ont été retrouvés dans la région dite Laghouari (commune de Souk El-Had) et faisaient partie de la Katiba locale dirigée alors par Timizar Lounès et Chabi Mohamed. Deux héros de la guerre de Libération nationale qui ont travaillé avec le colonel Ouamrane. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le responsable local de l’ONM a déclaré que cet hommage est un “signe de reconnaissance suprême de la nation envers ses martyrs” et un “gage de notre fidélité au serment des chouhada et l’expression de la continuité de leur combat”, réaffirmant l’engagement de la famille révolutionnaire à “défendre et à préserver cette mémoire” et à “poursuivre l’œuvre d’édification”. La commune de Souk El-Had, qui a abrité le sinistre centre de torture de Goutier, comptait, au lendemain de l’indépendance, 560 chahids sur une population estimée à 1 400 personnes. à noter que c’est pour la première fois que des élèves, des collégiens et des lycéens assistent à un tel événement.
M. T.
LIBERTE
Une cérémonie de réinhumation des restes de quatre chahid de la révolution a été organisée samedi dans la commune de Souk El-Had (wilaya de Boumerdès), en présence des autorités locales et de nombreux élèves et lycéens de la région. Les restes des chouhada tombés au champ d’honneur le 14 mai 1957 ont été identifiés : il s’agit de Bentaleb Mohamed et son fils, Kourougli Ali et Rekkas Lounès. Ils ont été retrouvés dans la région dite Laghouari (commune de Souk El-Had) et faisaient partie de la Katiba locale dirigée alors par Timizar Lounès et Chabi Mohamed. Deux héros de la guerre de Libération nationale qui ont travaillé avec le colonel Ouamrane. Dans une allocution prononcée à cette occasion, le responsable local de l’ONM a déclaré que cet hommage est un “signe de reconnaissance suprême de la nation envers ses martyrs” et un “gage de notre fidélité au serment des chouhada et l’expression de la continuité de leur combat”, réaffirmant l’engagement de la famille révolutionnaire à “défendre et à préserver cette mémoire” et à “poursuivre l’œuvre d’édification”. La commune de Souk El-Had, qui a abrité le sinistre centre de torture de Goutier, comptait, au lendemain de l’indépendance, 560 chahids sur une population estimée à 1 400 personnes. à noter que c’est pour la première fois que des élèves, des collégiens et des lycéens assistent à un tel événement.
M. T.
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