Il est une femme parmi les femmes.(2)
Il est des femmes dont le regard est un miroir qui éclaire les chemins des sources de jouissance tant recherchées par les coeurs assoiffés de plénitude afin de calmer les brûlures des moments perdus dans les exils inutiles et panser les plaies des souvenirs acérés qui torturent les mémoires.
Il est des femmes dont la sérénité oriente et guide les coeurs nostalgiques des réalités essentielles sur les chemins des origines et des espaces qui ouvrent les portes sur des mondes qui refusent les défaites et les adversités des contingences qui rétrécissent les horizons.
Il est des femmes dont les mondes mystérieux attirent et captivent les coeurs qui se souviennent des jardins des roses dont les senteurs calment les angoisses et effacent les exils.
Il est des femmes auxquelles on aimerait appartenir, dont on aimerait pénétrer les soupirs pour accéder à l'écume parfumée et vaporeuse des pulsions qui parcourent les océans de leurs désirs.
Il est des femmes auprès desquelles on rêve d'assouvir ses soifs aux sources balbutiantes d'où coule à flot un nectar dont la saveur envoûte les parcelles des désirs et dont les senteurs enivrent les souvenirs de bonheur.
Il est des femmes dont on rêve d'accompagner les nuits sans sommeil, troublées par les ivresses frénétiques des sens, et de célébrer les réveils souriants éclairés par la satisfaction des désirs et l'espoir des retrouvailles prochaines prometteuses de mille et un délices.
Il est une femme qu a démêlé l’écheveau de mes espoirs et percé les secrets des souffrances endolorissent ma mémoire déchirée par tant de tessons acérés qui sont autant de braises profondément enracinés dans ses souvenirs.
Il est une femme dont la gaieté et la lumière qui éclaire l’ombre des rosiers qui parlent des mystères m’a réconcilié avec la voix musicienne de la complicité harmonieuse que mon cœur avait peur d’avoir à jamais perdu les notes cristallines.
Il est une femme qui m’a, un jour, pris par la main pour me montrer les étangs de la sérénité qui ondulent langoureusement sous le souffle bienveillant des soupirs de satisfaction et du bonheur d’être deux.
Il est une femme qui a banni de mes espaces anciens les ombres mouvantes de tranches d’existence, échouées comme des épaves aux bords tourmentés de mes heures révolues dont tout mon être renie la mémoire.
Il est des femmes dont le regard est un miroir qui éclaire les chemins des sources de jouissance tant recherchées par les coeurs assoiffés de plénitude afin de calmer les brûlures des moments perdus dans les exils inutiles et panser les plaies des souvenirs acérés qui torturent les mémoires.
Il est des femmes dont la sérénité oriente et guide les coeurs nostalgiques des réalités essentielles sur les chemins des origines et des espaces qui ouvrent les portes sur des mondes qui refusent les défaites et les adversités des contingences qui rétrécissent les horizons.
Il est des femmes dont les mondes mystérieux attirent et captivent les coeurs qui se souviennent des jardins des roses dont les senteurs calment les angoisses et effacent les exils.
Il est des femmes auxquelles on aimerait appartenir, dont on aimerait pénétrer les soupirs pour accéder à l'écume parfumée et vaporeuse des pulsions qui parcourent les océans de leurs désirs.
Il est des femmes auprès desquelles on rêve d'assouvir ses soifs aux sources balbutiantes d'où coule à flot un nectar dont la saveur envoûte les parcelles des désirs et dont les senteurs enivrent les souvenirs de bonheur.
Il est des femmes dont on rêve d'accompagner les nuits sans sommeil, troublées par les ivresses frénétiques des sens, et de célébrer les réveils souriants éclairés par la satisfaction des désirs et l'espoir des retrouvailles prochaines prometteuses de mille et un délices.
Il est une femme qu a démêlé l’écheveau de mes espoirs et percé les secrets des souffrances endolorissent ma mémoire déchirée par tant de tessons acérés qui sont autant de braises profondément enracinés dans ses souvenirs.
Il est une femme dont la gaieté et la lumière qui éclaire l’ombre des rosiers qui parlent des mystères m’a réconcilié avec la voix musicienne de la complicité harmonieuse que mon cœur avait peur d’avoir à jamais perdu les notes cristallines.
Il est une femme qui m’a, un jour, pris par la main pour me montrer les étangs de la sérénité qui ondulent langoureusement sous le souffle bienveillant des soupirs de satisfaction et du bonheur d’être deux.
Il est une femme qui a banni de mes espaces anciens les ombres mouvantes de tranches d’existence, échouées comme des épaves aux bords tourmentés de mes heures révolues dont tout mon être renie la mémoire.
Commentaire