La «Task-force» tiendra sa 1re réunion lors de la 4e conférence internationale de solidarité au droit des peuples à la résistance, à l’image du peuple sahraoui, qui se tiendra les 14 et 15 décembre prochain.
Instauration d’une «journée spéciale» de solidarité avec la lutte du peuple sahraoui
Les organisateurs de la 1re conférence africaine d’Abuja ont fait part dans leur «Déclaration finale» de la création d’un comité africain de coordination de la solidarité avec la cause sahraouie. Cette «Task force» mènera des «actions multiformes» et sera composée de sept pays : l’Algérie, le Kenya, le Nigeria, l’Afrique du Sud, le Cameroun et le Bénin.
Les rédacteurs de la «Déclaration finale d’Abuja» ont également relevé que le Bénin, en tant que pays, représenté par Dagba A. Therèse, secrétaire général adjoint de l’Union nationale du syndicat des travailleurs béninois, est désigné pour abriter la deuxième édition en 2014. Cette résolution a permis également de mettre au point le fait que le secrétariat de ce comité siègera au Nigeria, élu présidente jusqu’à la prochaine conférence.
On apprendra, d’autre part, que la «Task force» tiendra sa première réunion en marge de la 4e conférence internationale de solidarité au droit des peuples à la résistance, à l’image du peuple sahraoui, qui se tiendra les 14 et 15 décembre prochain, a fait savoir Mahrez Lamari, président du Cnasps, lors de son intervention.
À l’issue de travaux de cette conférence, le comité organisateur a également décidé que cette instance assurera la coordination avec le mouvement de solidarité avec l’indépendance du Sahara occidental, synchroniser les efforts dans le cadre de l’Union africaine et multiplier les actions pour mettre en évidence, «l’urgence de presser le Maroc à se mettre en conformité avec les résolutions de l’Onu, seule force de souveraineté».
La «Déclaration finale d’Abuja» a mis en relief «la responsabilité de l’Union africaine à même de libérer le Sahara occidental qui est la dernière colonie de l’Afrique». Cet effort que l’UA est appelée à déployer se veut un moyen d’«arrêter les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés». Car, aujourd’hui, l’UA, selon la «Déclaration finale d’Abuja», «n’avance pas au rythme escompté pour libérer les Sahraouis». S’agissant du Maroc, le document confirme que «ce pays ne dispose d’aucun droit pour maintenir le Sahara occidental en tant que colonie».
Les différents responsables réunis pendant trois jours à Abuja ont condamné «le pillage illégal et inhumain des richesses naturelles du Sahara occidental».
Source: El Moudjahid
Instauration d’une «journée spéciale» de solidarité avec la lutte du peuple sahraoui
Les organisateurs de la 1re conférence africaine d’Abuja ont fait part dans leur «Déclaration finale» de la création d’un comité africain de coordination de la solidarité avec la cause sahraouie. Cette «Task force» mènera des «actions multiformes» et sera composée de sept pays : l’Algérie, le Kenya, le Nigeria, l’Afrique du Sud, le Cameroun et le Bénin.
Les rédacteurs de la «Déclaration finale d’Abuja» ont également relevé que le Bénin, en tant que pays, représenté par Dagba A. Therèse, secrétaire général adjoint de l’Union nationale du syndicat des travailleurs béninois, est désigné pour abriter la deuxième édition en 2014. Cette résolution a permis également de mettre au point le fait que le secrétariat de ce comité siègera au Nigeria, élu présidente jusqu’à la prochaine conférence.
On apprendra, d’autre part, que la «Task force» tiendra sa première réunion en marge de la 4e conférence internationale de solidarité au droit des peuples à la résistance, à l’image du peuple sahraoui, qui se tiendra les 14 et 15 décembre prochain, a fait savoir Mahrez Lamari, président du Cnasps, lors de son intervention.
À l’issue de travaux de cette conférence, le comité organisateur a également décidé que cette instance assurera la coordination avec le mouvement de solidarité avec l’indépendance du Sahara occidental, synchroniser les efforts dans le cadre de l’Union africaine et multiplier les actions pour mettre en évidence, «l’urgence de presser le Maroc à se mettre en conformité avec les résolutions de l’Onu, seule force de souveraineté».
La «Déclaration finale d’Abuja» a mis en relief «la responsabilité de l’Union africaine à même de libérer le Sahara occidental qui est la dernière colonie de l’Afrique». Cet effort que l’UA est appelée à déployer se veut un moyen d’«arrêter les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés». Car, aujourd’hui, l’UA, selon la «Déclaration finale d’Abuja», «n’avance pas au rythme escompté pour libérer les Sahraouis». S’agissant du Maroc, le document confirme que «ce pays ne dispose d’aucun droit pour maintenir le Sahara occidental en tant que colonie».
Les différents responsables réunis pendant trois jours à Abuja ont condamné «le pillage illégal et inhumain des richesses naturelles du Sahara occidental».
Source: El Moudjahid
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