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Tunis - L'état d'urgence en vigueur depuis la révolution de janvier 2011 sera prolongé selon une décision de La présidence tunisienne, jusqu'à juin 2014.
Le président de la République Moncef Marzouki a prorogé l'état d’urgence sur le territoire de la République jusqu'à la fin du mois de juin 2014, d’un décret présidentiel N°300 en date du 2 novembre 2013", selon un communiqué de la présidence, rapporté par la TAP.
Pour la première fois depuis le soulèvement qui a renversé Zine El AbidineBen Ali, deux sites touristiques ont été ciblés mercredi: l'un a été visé parun attentat suicide qui n'a pas fait de victime et l'autre par une tentativedéjouée à temps.
Durant le seul mois d'octobre, neuf gendarmes et policiers ont été tués dans des affrontements.
Le dialogue national entamé il y a une semaine était censé débouchersur la nomination de la personnalité indépendante appelée à succéder au Premierministre Ali Larayedh et conduire la Tunisie vers des élections à la tête d'ungouvernement apolitique.
Les négociateurs ne parviennent pas à départager deux candidats:Mohamed Ennaceur, 79 ans, soutenu par l'opposition, et Ahmed Mestiri, 88 ans,soutenu par Ennahda et ses alliés.
Le syndicat UGTT, principal médiateur de la crise politique tunisienne,a indiqué dimanche que la date limite pour que la classe politique s'accordesur le nom du nouveau Premier ministre a été portée à lundi midi.
lemag.
Le président de la République Moncef Marzouki a prorogé l'état d’urgence sur le territoire de la République jusqu'à la fin du mois de juin 2014, d’un décret présidentiel N°300 en date du 2 novembre 2013", selon un communiqué de la présidence, rapporté par la TAP.
Pour la première fois depuis le soulèvement qui a renversé Zine El AbidineBen Ali, deux sites touristiques ont été ciblés mercredi: l'un a été visé parun attentat suicide qui n'a pas fait de victime et l'autre par une tentativedéjouée à temps.
Durant le seul mois d'octobre, neuf gendarmes et policiers ont été tués dans des affrontements.
Le dialogue national entamé il y a une semaine était censé débouchersur la nomination de la personnalité indépendante appelée à succéder au Premierministre Ali Larayedh et conduire la Tunisie vers des élections à la tête d'ungouvernement apolitique.
Les négociateurs ne parviennent pas à départager deux candidats:Mohamed Ennaceur, 79 ans, soutenu par l'opposition, et Ahmed Mestiri, 88 ans,soutenu par Ennahda et ses alliés.
Le syndicat UGTT, principal médiateur de la crise politique tunisienne,a indiqué dimanche que la date limite pour que la classe politique s'accordesur le nom du nouveau Premier ministre a été portée à lundi midi.
lemag.