Une bouteille à la mer.
Mon cœur saigne de ne pouvoir toucher
Mon si tendre homme chéri et aimé
Il paraît proche mais en réalité
Enorménent lointain
Que tout me semble vain
Il se lamente et croit avoir affaire
Au mirage d’une étoile filante
Aussi précieuse que le rouge corail
Aussi mon cœur se serre
Je ne suis qu’une banale aimante
Qui vit bien loin de son sérail
Où es tu mon bien aimé ?
Ne laisse pas filer
Ce sentiment de nous, né
Car nous non irrigué
Il risque d’agoniser.
Il suffit pourtant,
Même de tempe en temps
Quelquefois dans le temps
De l’abreuver tout simplement.
Revient vers moi
Je n’attends que toi
Bienveillante et consentante
Douce et pleinement confiante.
Nuit et jour à tout venant,
Les graines que tu as semé
Poussent dans mon cœur consentant
Il n’y a que toi pour moi.
Ton silence n’est que chaque jour plus pesant.
Et dans mon cœur encor reposent sagement
Tous les baisers que tu m’as donné
Telles les fleurs rouges de ton bouquet.
Merci de m’avoir lu
22/09/2006.
Mon cœur saigne de ne pouvoir toucher
Mon si tendre homme chéri et aimé
Il paraît proche mais en réalité
Enorménent lointain
Que tout me semble vain
Il se lamente et croit avoir affaire
Au mirage d’une étoile filante
Aussi précieuse que le rouge corail
Aussi mon cœur se serre
Je ne suis qu’une banale aimante
Qui vit bien loin de son sérail
Où es tu mon bien aimé ?
Ne laisse pas filer
Ce sentiment de nous, né
Car nous non irrigué
Il risque d’agoniser.
Il suffit pourtant,
Même de tempe en temps
Quelquefois dans le temps
De l’abreuver tout simplement.
Revient vers moi
Je n’attends que toi
Bienveillante et consentante
Douce et pleinement confiante.
Nuit et jour à tout venant,
Les graines que tu as semé
Poussent dans mon cœur consentant
Il n’y a que toi pour moi.
Ton silence n’est que chaque jour plus pesant.
Et dans mon cœur encor reposent sagement
Tous les baisers que tu m’as donné
Telles les fleurs rouges de ton bouquet.
Merci de m’avoir lu
22/09/2006.
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