il pleut sur ma ville
êtres sans volonté
qui vivent par des promesses soudoyés
faisant mine de ne rien voir
je les vois du haut de mon perchoir
bassesses échangées
sur un banc rouillé
le vent porte un mouchoir
qui danse ou qui pleur dans le noir
tard le soir je souris
je vogue par mon esprit
et quand la 13ème heure retentit
mon ciel s'illumine, je revis
je revois des jours écoulés
qui s'agitent, tournoient depuis les tréfonds
bribes d'images depuis le lointain envoyés
dansent transportant la saveur d’antan
des paysages se dessinent
sous une lune de lueur timide
ceux d'avant ne sont plus
ceux de maintenant sont venus
les jours passent
la tirelire des souvenirs je casse
mille éclats d'entre lesquels jaillissent
parfums et senteurs, gouts qui mon coeur attendrissent
je vois alors
songes et éclats d'or
que dire à cet autre moi depuis l’aujourd’hui
qui de derrière le rideau gris me sourit
crois, tant que tu ne sais pas
entre les murs du sordide je fais les cents pas
qui sur ce sable ne font que s’effacer
en attendant de pouvoir trépasser
et cette vie qui se rallonge
qui veut me séduire en se dévêtant
me chante, me murmure
me complimente sur mon allure
en ce jour maudit je nourrit
un mince espoir de regagner le paradis
je vous le dis mes amis
parfois le sursit au lieu d'endurcir durci
je ramasse tant de bouteilles jetées à la mer
n'y découvre que mots salés ou amers
naufragés de la vie restez où vous vous trouvez
ailleurs c'est pire, ici personne ne saura vous sauver
que vivent les songes même si proches du mensonge
que la réalités ne les fracasse,
qu'ils laissent das un firmament mille et une trace
je marche contre le temps
rouillé par le vent
sous ce toit noir, grisé par mon espoir
nous pleurons dans ma grise ville
car il pleut sur ma vie
êtres sans volonté
qui vivent par des promesses soudoyés
faisant mine de ne rien voir
je les vois du haut de mon perchoir
bassesses échangées
sur un banc rouillé
le vent porte un mouchoir
qui danse ou qui pleur dans le noir
tard le soir je souris
je vogue par mon esprit
et quand la 13ème heure retentit
mon ciel s'illumine, je revis
je revois des jours écoulés
qui s'agitent, tournoient depuis les tréfonds
bribes d'images depuis le lointain envoyés
dansent transportant la saveur d’antan
des paysages se dessinent
sous une lune de lueur timide
ceux d'avant ne sont plus
ceux de maintenant sont venus
les jours passent
la tirelire des souvenirs je casse
mille éclats d'entre lesquels jaillissent
parfums et senteurs, gouts qui mon coeur attendrissent
je vois alors
songes et éclats d'or
que dire à cet autre moi depuis l’aujourd’hui
qui de derrière le rideau gris me sourit
crois, tant que tu ne sais pas
entre les murs du sordide je fais les cents pas
qui sur ce sable ne font que s’effacer
en attendant de pouvoir trépasser
et cette vie qui se rallonge
qui veut me séduire en se dévêtant
me chante, me murmure
me complimente sur mon allure
en ce jour maudit je nourrit
un mince espoir de regagner le paradis
je vous le dis mes amis
parfois le sursit au lieu d'endurcir durci
je ramasse tant de bouteilles jetées à la mer
n'y découvre que mots salés ou amers
naufragés de la vie restez où vous vous trouvez
ailleurs c'est pire, ici personne ne saura vous sauver
que vivent les songes même si proches du mensonge
que la réalités ne les fracasse,
qu'ils laissent das un firmament mille et une trace
je marche contre le temps
rouillé par le vent
sous ce toit noir, grisé par mon espoir
nous pleurons dans ma grise ville
car il pleut sur ma vie
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