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salam
L’Algérie envisage de prendre part à une force africaine d’intervention rapide pour régler les conflits sur le continent, a-t-on appris ce mercredi 6 novembre de source sûre.
« Sur le plan du principe, l'Algérie est pour une solution africaine aux problèmes africains et contre les ingérences étrangères. Elle ne va pas envoyer ses troupes, mais elle pourrait contribuer éventuellement dans le domaine de la logistique en ce qui concerne le transport », explique notre source.
Mardi, le président sud-africain Jacob Zuma avait annoncé, lors d’une réunion de chefs d’État à Pretoria, que cette force pourrait voir le jour avant fin 2013, rapporte Radio France Internationale (RFI) sur son site internet. Cette réunion avait regroupé les représentants de onze pays dont l’Algérie, le Tchad, le Niger, le Sénégal, le Ghana et l’Éthiopie, pour discuter des avancées de cette force dont la création avait été annoncée en mai dernier, après la crise au Mali et l’intervention militaire française, selon RFI.
Les Africains ont été incapables de constituer une force armée pour libérer le Nord-Mali qui était occupé par les terroristes. Cette force, qui sera composée de soldats africains, pourrait intervenir rapidement sur différentes crises du continent, confronté à la multiplication des guerres civiles et des tentatives de coup d’État.
tsa
L’Algérie envisage de prendre part à une force africaine d’intervention rapide pour régler les conflits sur le continent, a-t-on appris ce mercredi 6 novembre de source sûre.
« Sur le plan du principe, l'Algérie est pour une solution africaine aux problèmes africains et contre les ingérences étrangères. Elle ne va pas envoyer ses troupes, mais elle pourrait contribuer éventuellement dans le domaine de la logistique en ce qui concerne le transport », explique notre source.
Mardi, le président sud-africain Jacob Zuma avait annoncé, lors d’une réunion de chefs d’État à Pretoria, que cette force pourrait voir le jour avant fin 2013, rapporte Radio France Internationale (RFI) sur son site internet. Cette réunion avait regroupé les représentants de onze pays dont l’Algérie, le Tchad, le Niger, le Sénégal, le Ghana et l’Éthiopie, pour discuter des avancées de cette force dont la création avait été annoncée en mai dernier, après la crise au Mali et l’intervention militaire française, selon RFI.
Les Africains ont été incapables de constituer une force armée pour libérer le Nord-Mali qui était occupé par les terroristes. Cette force, qui sera composée de soldats africains, pourrait intervenir rapidement sur différentes crises du continent, confronté à la multiplication des guerres civiles et des tentatives de coup d’État.
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Apres penser a l'afrique!
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