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« La Banque Mondiale gérera le financement par le fonds de transition du partenariat de Deauville, d’un projet de renforcement et d’amélioration du système de la protection sociale dans le pays, par la somme de 4.7 milliards de dollars », a affirmé Heba El Gazzar, la spécialiste du développement humain à la Banque Mondiale.
Ce projet, ajoute-t-elle, est financé par les fonds de transition MENA et vise à soutenir la croissance inclusive au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, afin de lutter contre la pauvreté.
La spécialiste de la BM précise également que le Gouvernement tunisien et la BM projettent une collaboration sur trois axes :
- Mener une étude d’envergure pour la réforme de la protection sociale.
- Mettre en place une base de données nationale unifiée des différents transferts sociaux actuellement répartis sur les différents ministères et organismes. Chaque Tunisien n’aurait qu’un seul identifiant unique se rapportant à ces transferts.
- Instaurer des mécanismes de dialogue continu avec la société civile et la population pour amener l’adhésion à la politique de protection sociale.
S’agissant des pertes enregistrées par les caisses sociales en Tunisie, elle a noté que la situation économique se répercute inévitablement sur la situation sociale, et qu’il faut revoir le système de gestion de ces caisses.
- l'économiste maghrébin
Ce projet, ajoute-t-elle, est financé par les fonds de transition MENA et vise à soutenir la croissance inclusive au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, afin de lutter contre la pauvreté.
La spécialiste de la BM précise également que le Gouvernement tunisien et la BM projettent une collaboration sur trois axes :
- Mener une étude d’envergure pour la réforme de la protection sociale.
- Mettre en place une base de données nationale unifiée des différents transferts sociaux actuellement répartis sur les différents ministères et organismes. Chaque Tunisien n’aurait qu’un seul identifiant unique se rapportant à ces transferts.
- Instaurer des mécanismes de dialogue continu avec la société civile et la population pour amener l’adhésion à la politique de protection sociale.
S’agissant des pertes enregistrées par les caisses sociales en Tunisie, elle a noté que la situation économique se répercute inévitablement sur la situation sociale, et qu’il faut revoir le système de gestion de ces caisses.
- l'économiste maghrébin