Le timide hommage aux troupes africaines entenaire de la Guerre 14-18 :
Demain 11 novembre je rend hommage a tous nos nos aïeux qui sont tombés pour la France
Qui n'as pas un parent tombé pour la France ....
Et dire que peut etre le Monument au morts L'arc de triomphe il y a des africains .....
François Hollande souhaite qu’aucun Français impliqué dans la Guerre 14-18 "ne soit oublié" des commémorations qui se sont ouvertes jeudi. Mais l'honneur rendu par la République aux troupes africaines reste timoré, selon l'essayiste Charles Onana.
Lancées depuis l’Élysée par un discours solennel du chef de l’État, François Hollande , ce jeudi 7 novembre, les commémorations du centenaire de la Grande Guerre seront placées sous le signe de la cohésion nationale mais aussi de l'amitié entre les pays ayant pris part il y a 100 ans au premier conflit mondial (voir encadré ci-dessous). Pour la présidence, ce "cycle mémoriel" est ainsi l’occasion de rendre hommage à tous ceux qui ont combattu pour la France entre 1914 et 1918. "Aujourd’hui, je souhaite qu’aucun des Français impliqués dans cette mêlée sanguinaire ne soit oublié", a indiqué le président.
Lors de son discours, François Hollande a notamment salué les 430 000 soldats des colonies françaises "qui ont pris part à une guerre qui avait pu ne pas être la leur". Certains historiens et observateurs déplorent ainsi que la place de ces hommes dans la mémoire collective soit réduite à la portion congrue. "Les troupes africaines ont participé activement à la Première Guerre mondiale, leur contribution fut déterminante, observe Charles Onana, journaliste-essayiste français, auteur de "La France et ses tirailleurs" (éd. Duboiris, 2003). Or, à part dans les villages et les campagnes où ils étaient présents, le grand public n’en a pas toujours conscience. Bien souvent, j’ai pu me rendre compte que les élèves, les étudiants, n’avaient aucune idée de cet engagement."
Pourtant, durant les quatre années de ce sanglant conflit qui fit près de 1,7 million de morts côté français, la puissance coloniale qu’est alors la France aura appelé quelque 500 000 hommes du continent africain à se battre aux côtés des 8 millions de soldats mobilisés en métropole. Parmi ces combattants composant les rangs de ce qu’on appelle alors l’Armée coloniale se trouvent 175 000 Algériens, 40 000 Marocains, 80 000 Tunisiens et 180 000 Subsahariens, plus communément appelés "tirailleurs sénégalais".
Par Guillaume GUGUEN
Lancées depuis l’Élysée par un discours solennel du chef de l’État, François Hollande , ce jeudi 7 novembre, les commémorations du centenaire de la Grande Guerre seront placées sous le signe de la cohésion nationale mais aussi de l'amitié entre les pays ayant pris part il y a 100 ans au premier conflit mondial (voir encadré ci-dessous). Pour la présidence, ce "cycle mémoriel" est ainsi l’occasion de rendre hommage à tous ceux qui ont combattu pour la France entre 1914 et 1918. "Aujourd’hui, je souhaite qu’aucun des Français impliqués dans cette mêlée sanguinaire ne soit oublié", a indiqué le président.
Lors de son discours, François Hollande a notamment salué les 430 000 soldats des colonies françaises "qui ont pris part à une guerre qui avait pu ne pas être la leur". Certains historiens et observateurs déplorent ainsi que la place de ces hommes dans la mémoire collective soit réduite à la portion congrue. "Les troupes africaines ont participé activement à la Première Guerre mondiale, leur contribution fut déterminante, observe Charles Onana, journaliste-essayiste français, auteur de "La France et ses tirailleurs" (éd. Duboiris, 2003). Or, à part dans les villages et les campagnes où ils étaient présents, le grand public n’en a pas toujours conscience. Bien souvent, j’ai pu me rendre compte que les élèves, les étudiants, n’avaient aucune idée de cet engagement."
Pourtant, durant les quatre années de ce sanglant conflit qui fit près de 1,7 million de morts côté français, la puissance coloniale qu’est alors la France aura appelé quelque 500 000 hommes du continent africain à se battre aux côtés des 8 millions de soldats mobilisés en métropole. Parmi ces combattants composant les rangs de ce qu’on appelle alors l’Armée coloniale se trouvent 175 000 Algériens, 40 000 Marocains, 80 000 Tunisiens et 180 000 Subsahariens, plus communément appelés "tirailleurs sénégalais".
Par Guillaume GUGUEN
Qui n'as pas un parent tombé pour la France ....
Et dire que peut etre le Monument au morts L'arc de triomphe il y a des africains .....
Commentaire