La défaite de la presse algérienne
Nezha Tabech - publié le Lundi 11 Novembre 2013 à 18:08 modifié le Lundi 11 Novembre 2013 - 21:28
Pour que demain l’Algérie ne soit plus un enfer pour ces propres enfants.
Pour la refondation d’une nouvelle République : celle du citoyen et la citoyenneté.
Démocrates algériens unissez-vous !
Rendez-vous en avril 2014 !
L’annulation par Barack OBAMA de la visite de John KERRY, en même temps qu’il invite le Roi du Maroc le 22 novembre à Washington, a mis la presse algérienne dans la stupeur et le désarroi.
De Liberté-Algérie (John KEERY, le cauchemar de Mohammed VI), à El Watan (la bataille perdue de Mohammed VI), c’est une défaite cuisante d’une presse algérienne héritière du standard de la presse de l’Est du temps du rideau de fer et du stalinisme. D’ailleurs, depuis plus de 35 ans, cette presse aux ordres de l’un ou de l’autre puissant parrain des centres de décision en Algérie, vit un Trafalgar permanent quant à ses pronostics d'une une faillite économique, sociale et politique du Maroc.
Groggy, TSA (Tout Sur l’Algérie) titrait ces dernières heures : "Sahara occidental : un « cache-misère » de la diplomatie algérienne ?" Tout en avouant la défaite de la diplomatie algérienne, le journaliste TSA tenait à proclamer la victoire par les Algériens de la bataille de la communication ! Peut-être faisait-il allusion aux 750 millions de dollars engagés dans la guerre médiatique contre le Maroc ?
Mais, la question du Sahara, n’est-elle pas surtout un cache-misère de l’horrible absence d’une vision politique pour l’avenir de la société algérienne ? La question du Sahara n’est-elle pas le triangle des Bermudes de la politique de santé, de l’éducation nationale, du logement des plus démunis, de la formation professionnelle, de la lutte contre le chômage en Algérie… ?
Une Algérie riche de milliards de pétrodollars, et une économie à la traîne, un chômage très élevé, une population presque au seuil de la misère : n’est-il pas là le drame algérien ?
Quelle est cette logique qui pose l’avenir de plus de 70 millions de marocains et d’algériens en termes de défaite de l’un et de victoire de l’autre ? Sinon celle d’un journalisme sans morale ni déontologie et d’un régime qui n’a aucune pitié pour ses propres citoyens !
Les dirigeants algériens sont comptables devant l'histoire des souffrances de leur propre peuple. L'ensemble des centres de décision de ce régime prédateur et voyou ; tous sont coupables, devant l'histoire pour les grandes peines qu'ils infligent au peuple algérien depuis l'indépendance, et pour l'échec de l'Union du Maghreb.
Djemila Bouhired s’est indignée : « l’enfer, ce sont ceux qui gouvernent l’Algérie. »
Pour que demain l’Algérie ne soit plus un enfer pour ses propres enfants.
Pour la refondation d’une nouvelle République : celle du citoyen et la citoyenneté.
Démocrates algériens unissez-vous !
Rendez-vous en avril 2014 !
Le Mag.
Nezha Tabech - publié le Lundi 11 Novembre 2013 à 18:08 modifié le Lundi 11 Novembre 2013 - 21:28
Pour que demain l’Algérie ne soit plus un enfer pour ces propres enfants.
Pour la refondation d’une nouvelle République : celle du citoyen et la citoyenneté.
Démocrates algériens unissez-vous !
Rendez-vous en avril 2014 !
L’annulation par Barack OBAMA de la visite de John KERRY, en même temps qu’il invite le Roi du Maroc le 22 novembre à Washington, a mis la presse algérienne dans la stupeur et le désarroi.
De Liberté-Algérie (John KEERY, le cauchemar de Mohammed VI), à El Watan (la bataille perdue de Mohammed VI), c’est une défaite cuisante d’une presse algérienne héritière du standard de la presse de l’Est du temps du rideau de fer et du stalinisme. D’ailleurs, depuis plus de 35 ans, cette presse aux ordres de l’un ou de l’autre puissant parrain des centres de décision en Algérie, vit un Trafalgar permanent quant à ses pronostics d'une une faillite économique, sociale et politique du Maroc.
Groggy, TSA (Tout Sur l’Algérie) titrait ces dernières heures : "Sahara occidental : un « cache-misère » de la diplomatie algérienne ?" Tout en avouant la défaite de la diplomatie algérienne, le journaliste TSA tenait à proclamer la victoire par les Algériens de la bataille de la communication ! Peut-être faisait-il allusion aux 750 millions de dollars engagés dans la guerre médiatique contre le Maroc ?
Mais, la question du Sahara, n’est-elle pas surtout un cache-misère de l’horrible absence d’une vision politique pour l’avenir de la société algérienne ? La question du Sahara n’est-elle pas le triangle des Bermudes de la politique de santé, de l’éducation nationale, du logement des plus démunis, de la formation professionnelle, de la lutte contre le chômage en Algérie… ?
Une Algérie riche de milliards de pétrodollars, et une économie à la traîne, un chômage très élevé, une population presque au seuil de la misère : n’est-il pas là le drame algérien ?
Quelle est cette logique qui pose l’avenir de plus de 70 millions de marocains et d’algériens en termes de défaite de l’un et de victoire de l’autre ? Sinon celle d’un journalisme sans morale ni déontologie et d’un régime qui n’a aucune pitié pour ses propres citoyens !
Les dirigeants algériens sont comptables devant l'histoire des souffrances de leur propre peuple. L'ensemble des centres de décision de ce régime prédateur et voyou ; tous sont coupables, devant l'histoire pour les grandes peines qu'ils infligent au peuple algérien depuis l'indépendance, et pour l'échec de l'Union du Maghreb.
Djemila Bouhired s’est indignée : « l’enfer, ce sont ceux qui gouvernent l’Algérie. »
Pour que demain l’Algérie ne soit plus un enfer pour ses propres enfants.
Pour la refondation d’une nouvelle République : celle du citoyen et la citoyenneté.
Démocrates algériens unissez-vous !
Rendez-vous en avril 2014 !
Le Mag.
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