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Sellal à Khenchela face à la colère des citoyens

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  • Sellal à Khenchela face à la colère des citoyens

    L'Algérie profonde, les citoyens oubliés, loin des salons feutrés ou se rencontrent les chroniqueurs et pseudo analystes politiques qui philosophent à longueur de journée à Alger ou là bas chez nous à Paris


  • #2
    Tout va bien!


    (APS) mardi 12 novembre 2013 10 : 41

    Khenchela, une image vivante d’une Algérie qui avance


    KHENCHELA— Située à mi-chemin entre la bande frontalière nord-est du pays et les portes du Sahara, la wilaya de Khenchela, où le Premier ministre, Abdelmalek Sellal est attendu mardi pour une visite de travail, offre à ses visiteurs, malgré certains aléas, l’image vivante d’une Algérie qui avance.


    Wilaya historique, connue pour ses hauts faits d’armes durant la glorieuse Révolution, cette région des Aurès se distingue par une formidable vitalité puisée du caractère que l’on dit "bourru" d’une population travailleuse, jalouse de ses terroirs et qui ne fait jamais marche arrière et qui ne regarde dans le rétroviseur que lorsque c’est nécessaire.

    Cette wilaya, qui semble avoir horreur des sauts dans l’inconnu, a su planifier son devenir en misant sur le développement des ressources par lesquelles elle se singularise et qu’elle maîtrise le mieux, telles que l’agro-pastoralisme, la céréaliculture, la culture maraîchère et l’industrie laitière, entre autres.

    Khenchela, une wilaya qui aime les challenges

    Les prouesses réalisées par cette wilaya dans le domaine de l’agriculture, même si les dégâts occasionnés, cette année, par les intempéries sont sévères et ont sinistré de nombreux agriculteurs, ne sont pas un mythe, mais une réalité palpable et vécue par une population qui a pu rompre avec la précarité socioéconomique grâce à un plan de développement agricole mis en œuvre par des professionnels.

    La concentration des efforts sur le développement de l’agriculture a donné ses fruits et cette wilaya, qui dissimulait timidement sa "plaie" de 50% des communes classées, en 2001, comme zones pauvres, a positivement renversé l’équation en annonçant, en 2013, son intégration au "club des 50" (régions où les rendements céréaliers sont égaux ou supérieurs à 501 quintaux à l’hectare).

    Cet exploit a eu son effet sur l’amélioration des conditions de vie de la population de la wilaya de Khenchela réputée pour son attachement à la terre.

    S’agissant des autres filières agricoles, cette wilaya qui produit plus de 30 millions de litres de lait par an, également réputée pour son miel onctueux et ses pommes si savoureuses, tend à devenir une "place agricole forte" dans un pays où le développement du travail de la terre et son corollaire, l’autosuffisance alimentaire, est aujourd’hui une priorité nationale.

    La rupture de l’isolement des zones les plus enclavées, l’autre pari de Khenchela

    L’éradication pure et simple de l’habitat précaire en milieu rural et la création de structures d’accompagnement dans les zones éloignées figurent parmi les solutions préconisées par les autorités locales pour fixer les populations rurales et, partant, booster l’agriculture.

    Le désenclavement de ces zones reste cependant une condition sine qua non pour atteindre le triple objectif de sédentariser les habitants, d’améliorer leurs revenus à travers les projets de développement rural et de donner un véritable "coup de fouet" aux activités agricoles, maraîchères et arboricoles. Des centaines de milliers de dinars ont été consacrés, notamment depuis 1999, à la construction et/ou à la modernisation de routes, à l’aménagement de pistes agricoles et à la réalisation d’ouvrages d’art.

    Il peut être cité, pour illustrer cet effort, la réalisation de deux ouvrages d’art à Siar et à Meita, dans les communes de Chechar et Babar (partie saharienne au sud de la wilaya de Khenchela).

    Des ouvrages destinés à éliminer les risques d’isolement liés aux crues de l’oued Siar et à améliorer le trafic vers les périmètres agricoles en cours de mise en valeur dans cette vaste région de 110 000 hectares.

    Habitat : des performances indéniable

    Cette wilaya de l’est du pays qui ne comptabilise plus aucune construction précaire en milieu rural, a su, en matière d’habitat social, gérer ce dossier sans appréhensions et dans la sérénité, et en lui faisant accomplir d’indéniables performances. En effet, de 56 logements à caractère social distribués durant la période 2004-2010, l’année 2012 a vu l’attribution de plus de 5.000 unités de ce segment.

    Les services de la wilaya affirment que le "climat de confiance" instauré entre l’administration et les entreprises de réalisation est pour beaucoup dans cette avancée considérable.

    Cette wilaya qui "souffrait", il y a quelques années à peine, du non lancement de plus de 20.000 unités, est en voie, avec la mise en chantier prochaine de 1.800 logements publics locatifs (LPL), de contourner ce type de problèmes.

    Entre 2005 et 2012, pas moins de 54.070 unités d’habitation, dont 21.922 LPL, ont été réalisées dans la wilaya de Khenchela. Concernant le logement à caractère social, un quota de 1.436 unités sera attribué avant la fin de l’année 2013, tandis qu’un lot de 2.456 logements est programmé pour être distribué au début de l’année 2014.

    Le pôle urbain de la ville de Khenchela, composé de 5.000 logements, tous segments confondus, constitue la fierté de cette wilaya qui a choisi de s’inscrire dans une logique d’équité et de professionnalisme.

    Ce pôle urbain est doté de toutes les infrastructures d’accompagnement nécessaires (établissements scolaires, de santé, de jeunes, de loisirs et de sécurité, entre autres).

    Le projet de réalisation de la "vitrine urbaine" de la ville de Khenchela (plus de 2.000 logements de type AADL et promotionnels aidés), de 1.200 places pédagogiques à l’université Abbas-Laghrour et autres infrastructures d’accompagnement et de commerce représentent le nouveau défi que la wilaya de Khenchela devra relever pour confirmer le sens de la rigueur et du professionnalisme dont elle est fière de se prévaloir.

    Par ailleurs, le projet de restructuration de la ville de Khenchela, devant cibler, dans une première étape, 3 sites, constitue l’autre opération dans laquelle les responsables locaux se sont engagés pour redorer le blason de cette cité révolutionnaire.

    L’effort de développement consenti au bénéfice de cette wilaya cible tous les secteurs, à l’image de l’enseignement supérieur qui vient de bénéficier d’un projet de 8.000 places pédagogiques et de 4.000 lits, qui s’ajouteront aux 9.000 places opérationnelles.

    Le secteur de la santé qui continue néanmoins de souffrir d’un problème d’encadrement, a bénéficié d’un programme de réalisation de 4 hôpitaux et de 11 polycliniques qui devraient avoir un impact certain sur la prise en charge de la population.

    Dans cette wilaya où l’on peut faire du ski le matin, dans les monts de Bouhmama, et aller bronzer l’après-midi dans les régions du sud saharien, le regard est plus que jamais tourné vers l’avenir, chacun scrutant l’horizon dans le même sens que le pays tout entier.

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    • #3
      (aps) mardi 12 novembre 2013 10 : 41

      khenchela, une image vivante d’une algérie qui avance

      :22::22::22::22::22:

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      • #4
        Dans cette wilaya où l’on peut faire du ski le matin, dans les monts de Bouhmama, et aller bronzer l’après-midi dans les régions du sud saharien, le regard est plus que jamais tourné vers l’avenir, chacun scrutant l’horizon dans le même sens que le pays tout entier.
        Celui qui a rédigé l'article a fait certainement du ski à Zurich et bronzé à Nice. Quant à Khenchla, l'oubliée, c'est une autre affaire.

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        • #5
          Il y a des villes Wallah en Algérie totalement marginalisée, comme Khenchla.....
          il y a deux ou trois ville qui ont bénéficié des richesse avec le pouvoir pourri, je l'ai appelle les villes du pouvoir ( Tlémcen, Oran, Sétif, Alger....), les autres villes ils compte pour de la merde ...

          Hogra hogra...trop d'injustice vivement que ce pourri salop de Boutesrika dégage ....

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          • #6
            Il y a des villes, j'ai carrement cru qu'elles sont effacé de la carte tellement on en parle pas et tellement elles sont marginalisées ( ni projet économique, culturel, ni forum international, ni dévelopement, ... ), des villes mortes que le pouvoir pourris à tuer ....pouvoir régionaliste et pourris...vivement que ces ville se réveille et saccage tout afin que le pouvoir pourri comprend que la richesse du pays n'appartient pas à leur mère ...Pouvoir pourri tfou ..
            Dernière modification par votrefrere, 12 novembre 2013, 20h47.

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            • #7
              Le partage des richesses se fait à travers le travail, de meilleures conditions de vie, un pouvoir d'achat adéquat, la santé, l'éducation etc.

              Ce gouvernement serait-il complètement dépassé ?

              À la place de Sellal, je resterai dans mon bureau, je prendrai les outils nécessaires (en hommes et organismes de contrôle) pour voir aux projets et aux dépenses, suivre l'état d'embauche, les besoins en main-d’œuvre et perfectionnement, l'instauration des normes de travail, l'équilibre d'investissements entre les wilayas chacune avec sa spécificité...
              L'état ne peut aucunement subvenir au placement des jeunes, d'où l'encouragement du privé et même l'ouverture sur les investisseurs étrangers.

              Cette façon de faire de dépenser ce qu'on sort du sous-sol et sillonner le pays de long en large est contre productive.

              La preuve, les jeunes sont mécontents.
              وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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              • #8
                je l'ai appelle les villes du pouvoir ( Tlémcen, Oran, Sétif, Alger....),
                je ne le crois il faut allez sur place pour le vérifier..toutes les villes
                sont dans la situation..si il ya eu dont d'argent en tout cet argent n'est pas investie ici en Algérie mais transféré ailleurs..allez y voir la ville de GhazaouetE elle tombe en ruine et pourtant économiquement parlant c'est le poumon de Tlemcen.. ou va l'argent de ghazaouet?? ou va le poisson vendu dans le large en devise par les ghazaoueties??
                il ya de l'exportation hors hydrocarbure mais elle n'est pas visible sur les factures de transactions...Apres le coup de force de 88 toute l'algerie est transférée ailleurs....la disparition de bouteflika fait un remous tous les exporateurs et les transfereurs sont dans l'angoisse..il veulent un president qu'on tient sur lui des foto comprométantes..ou tu signes ou on publient...
                faudra que le future president déclare sa perversité pour ruiner ces groupes...''il ny a plus de sentiment de culpabilité le president sera injusticiable''

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                • #9
                  Non .

                  Oran a elle seule a bénéficie d'immense projet ( culturel, économique, scientifique , des disaines de salon et forum interational, zone industrielle....) on lui a donné une dimension internationale, on veut en faire un pôle économique stye Maroc ( Rabat ville politique et casa économique du pays ...), la stratégie est claire et net.

                  Tlémcen n'en parlons même pas ...arrosé par des milliards depuis 15 ans ..
                  Alger, évident, puisque c'est la ville du pouvoir par exellence .
                  Sétif a bénéficié d'abord de l'aide des ses habitants ( hommes d'affaires ...) mais a vite été récupéré par le pouvoir .

                  Il n' y a aucun doute, ce sont les villes qui ont bénéficié le plus du pouvoir...

                  Khenchla, annaba, guelma, , ghilizane, msila, souk aharas....sont des villes qui compte de la merde pour le pouvoir ....
                  Dernière modification par votrefrere, 12 novembre 2013, 20h48.

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                  • #10
                    Il y a des villes, j'ai carrement cru qu'elles sont effacé de la carte tellement on en parle pas et tellement elles sont marginalisées
                    Wallah idem pour moi ! J'ai complètement oublié qu'elle existait, comme un bon nombre d'autres villes d'ailleurs, comme euh... bordj bou arreridj, al bayadh, tissemsilet, Oum El Bouaghi, Saïda, M'Sila, El Oued, Souk Ahras, Aïn Defla, Naâma ...

                    Sérieux pour certaines, pour m'en rappeler j'ai dû regarder Wiki :22:

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                    • #11
                      Si vous voulez faire du bien pour cette Algérie demander
                      a ce que le gouvernement ordonne a chaque wilaya de
                      faire son bilan économique de chaque année elle doit affiché son PIB
                      et son inflation..le chiffre du gouvernent concernant la performance cache le role de chaque wilaya en plus elle déforme la réalité..on ne sait pas quelle wilaya est sérieuse et quelle wilaya est parasite ...
                      parce que une wilaya c'est la superficie de la suisse de la Belgique de hongkong, de Koweit, du Liban, suede etc....

                      Commentaire


                      • #12
                        L'Algérie profonde, les citoyens oubliés, loin des salons feutrés ou se rencontrent les chroniqueurs et pseudo analystes politiques qui philosophent à longueur de journée à Alger ou là bas chez nous à Paris
                        Là où passe le capitalisme c'est le racket, le vol légal et organisé, c'est la dépendance économique, c'est les pays sous-développés transformés en bazar de consommation, interdits de s'industrialiser, d'avoir un projet national indépendant de développement, c'est la capitalisme impérialiste, c'est le néo-colonialisme. Pour que nos pays quittent la misère et les injustices il faut azppliquer le contraire du capitalisme, c'est quoi? Son contraire est le SOCIALISME scientifique!!!

                        Partout où vous allez au Yémen, au Maroc, en Arabie, en Algérie, au Soudan, en Egypte vous trouverez des capitalistes, gouvernants et entreprises qui sucent qui pompent les richesses de nos pays au profit des multinationales et de leurs suppots locaux les poignées de voleurs,les bourgeoisies nationales, des minorités, devenues archi-milliardaires... Jusqu'à quand allons-nous nous mentir à nous même?? La réalité est là : c'est la privatisation de nos pays au profit des milliardaires étrangers et nationaux qui est la cause de notre pauvreté, de notre détresse, et des agressions et guerres d'occupation contre nous peuples du tiers-monde! Donc pour couper court à tous ces vols, à ces brigandages, ces filouteries... exigeons le SOCIALISME dans nos pays!!!

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                        • #13
                          salam

                          Zaki

                          citation

                          Si vous voulez faire du bien pour cette Algérie demander
                          a ce que le gouvernement ordonne a chaque wilaya de
                          faire son bilan économique de chaque année elle doit affiché son PIB
                          et son inflation..le chiffre du gouvernent concernant la performance cache le role de chaque wilaya en plus elle déforme la réalité..on ne sait pas quelle wilaya est sérieuse et quelle wilaya est parasite ...
                          parce que une wilaya c'est la superficie de la suisse de la Belgique de hongkong, de Koweit, du Liban, suede etc....

                          Bien repondu

                          Tlemcen dans le future ne fera plus parti de la willaha des commune comme nedroma est guazouet quand bouteflicat ne plus de ce monde

                          Ils a fait aucun passe droie de s est origine dar bentatha

                          Aucun invertissement depuis 20 ans d Alger ...... dieu merci la population s est releve les manches

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                          • #14
                            votre frere

                            citation

                            Il y a des villes Wallah en Algérie totalement marginalisée, comme Khenchla.....
                            il y a deux ou trois ville qui ont bénéficié des richesse avec le pouvoir pourri, je l'ai appelle les villes du pouvoir ( Tlémcen, Oran, Sétif, Alger....), les autres villes ils compte pour de la merde ...

                            Hogra hogra...trop d'injustice vivement que ce pourri salop de Boutesrika dégage ....



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                            • #15
                              Wallah idem pour moi ! J'ai complètement oublié qu'elle existait, comme un bon nombre d'autres villes d'ailleurs, comme euh... bordj bou arreridj, al bayadh, tissemsilet, Oum El Bouaghi, Saïda, M'Sila, El Oued, Souk Ahras, Aïn Defla, Naâma ...

                              Sérieux pour certaines, pour m'en rappeler j'ai dû regarder Wiki
                              ahhh tissemsilet , j'ai carrement oublié qu'elle existait...heuresement que les horraires du ftour de ramadhan est là pour nous rappeler qu'il y a 48 wilaya en Algérie et non que 5 wilaya !

                              chlef aussi, mila, skikda ...
                              pouvoir pourri, y a rien à dire ..

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