La deuxième édition de « We run Algiers »
Une course de 6 km à travers Alger centre, s’est élancée ce vendredi à 9 H 30 de la place de la Grande Poste. Avec Carl Lewis !
La place de la Grande Poste noire de monde. Noire comme le T-Shirt Nike qu’arboraient ce matin les quelque 5.000 coureurs amateurs qui ont participé à la deuxième édition de la course « We Run Algiers », organisé par l’équipementier américain, dans les rues de la capitale.
Des jeunes, des groupes d’amis, des familles entières, tous se sont donnés rendez-vous au pied de la Grande Poste pour un dernier échauffement.
Sur les côtés, les retardataires enfilent leur dossard équipé d’une puce électronique reliée à leur compte Facebook. Ainsi nos amis peuvent suivre notre course en temps réel sur Facebook, explique un participant.
9 H.
L’heure du départ approche.
L’adrénaline commence à monter, confie une jeune Algéroise, qui participe pour la première fois à ce semi-marathon. Au rythme d’un groupe de musiciens habillés en djelaba, qui reprend des classiques du répertoire algérien, elle s’avance suivant une foule impressionnante.
Une course de 6 km à travers Alger centre, s’est élancée ce vendredi à 9 H 30 de la place de la Grande Poste. Avec Carl Lewis !
La place de la Grande Poste noire de monde. Noire comme le T-Shirt Nike qu’arboraient ce matin les quelque 5.000 coureurs amateurs qui ont participé à la deuxième édition de la course « We Run Algiers », organisé par l’équipementier américain, dans les rues de la capitale.
Des jeunes, des groupes d’amis, des familles entières, tous se sont donnés rendez-vous au pied de la Grande Poste pour un dernier échauffement.
Sur les côtés, les retardataires enfilent leur dossard équipé d’une puce électronique reliée à leur compte Facebook. Ainsi nos amis peuvent suivre notre course en temps réel sur Facebook, explique un participant.
9 H.
L’heure du départ approche.
L’adrénaline commence à monter, confie une jeune Algéroise, qui participe pour la première fois à ce semi-marathon. Au rythme d’un groupe de musiciens habillés en djelaba, qui reprend des classiques du répertoire algérien, elle s’avance suivant une foule impressionnante.